Du Grand-Magasin Parisien à leurs œuvres sociales 5/22 par JP Franssens.
Un personnel choyé et qui devait se nourrir.
Je ne possède aucun renseignement sur la restauration du personnel au BHV. Voyons toutefois rapidement nos principaux concurrents,
A la Samaritaine on prenait ses repas sur 3 services au 6ème étage du magasin. 9000 couverts étaient ainsi servis.
Au Bon Marché, c'était au 3ème étage avec :
- Une salle pour les hommes,
- Une salle pour les femmes,
- Une salle pour les « chefs » et
- Une salle pour la Direction.
En 1920, 7000 couverts étaient distribués en 3 services. Bonne et copieuse nourriture car « un bon estomac, fait un bon caractère ! ».
On mange aussi fin XIXème, début XXème aux Grands Magasins du Louvre, à l'annexe, rue Marengo; puis après 1924 à la rue des enfants: 45 minutes pour manger, deux services au moins et trois salles pour hommes et une salle pour femmes.
Les Galeries Lafayette, proposaient des salles au 62 rue de Provence, sur 6 étages. Les frais de cantine faisaient partie du salaire. Chaque salle était coupée en deux par un vitrage. Côté hommes, côté femmes et aucun contact entre les deux (tout au moins lors du repas!). Au service, 20 cuisiniers et 4 bouchers.
Peu d'éléments pour les Trois Quartiers. Le personnel mangeait au sous-sol de la rue Duphot jusqu'en 1931, puis les salles sont transférées au Magasin principal.
Aucuns renseignements pour le Printemps, et le BHV. (Si vous possédez quelques éléments concernant la mise en place des cantines BHV, rue du plâtre, rue Ste Croix de la Bretonnerie où ailleurs, ils seraient les bienvenus...Merci.)
Du Grand-Magasin Parisien à leurs œuvres sociales 4/22 par JP Franssens.
Les Grands Magasins sont indépendants et concurrents.
Le seul inter-magasin de nouveautés est l' I.M.S un Inter magasin pour le Sport, à la date de 1894.
Nota : L'IMS a été relaté dans mes exposés de mai-juin 2013-BHV d'Hier-pages 2 et 3.
"....L’I.M.S était un groupement des sociétés sportives des grands magasins de nouveautés de Paris. Sa fondation remonte à l’année 1894. Sa direction était assurée par un président qui était secondé par trois vice-présidents, un trésorier, un archiviste et des censeurs. Les différents sports étaient représentés par des présidents de commissions.
En juillet 1933, suite au décès d’un Monsieur dénommé Fras qui était président IMS et aussi dirigeant de l’Union Sportive du Louvre (magasin) et d’un vice –président, les statuts de l’organisation furent modifiés. Quatre vice-présidents au lieu de trois. L’un chargé du cyclisme, le second de l’Athlétisme, du cross et du tir, le troisième de l’escrime et du tennis et le quatrième du football et de la natation.
Le financement : Celui ci était assuré par le versement des cotisations de la part des grands magasins de nouveautés."....
Cette même année est inauguré un vélodrome Municipal à Vincennes qui sera utilisé pour les premiers tournois olympiques durant l'exposition de 1900.
Eurent lieu des « concours internationaux d'exercices physiques et de sports » qui après débats devinrent « Jeux de la 2ème olympiade de l'ère moderne » (après les 1ers jeux symboliques d'Athènes en 1896).
C'est un nommé Pierre de Fredy, baron de Coubertin qui a prôné le sport scolaire en 1887, puis qui a créé le « Comité international Olympique » en juin 1894 Il en est le Président en 1896 jusqu'en 1925.
Portraits de Grands Magasins parisiens
Une volonté affichée de lutter pour le bien-être.
« Extraits du Mémoire de Maîtrise présenté par Jean-Damien Leveau-Sorbonne, session juin 2001 »
« A Paris il fut établi le principe d 'Assistance Publique dès l'année 1849. Au Moniteur Universel du vendredi 12 janvier 1849, en première page, on pouvait lire dans l'article premier du décret-loi de l'Assistance Publique que
-L'administration générale de l'Assistance Publique à Paris
comprend les services des secours à domicile et le service des hôpitaux et hospices civils.
Cette Administration est placée sous l'autorité du Préfet de la Seine et du Ministre de l'Intérieur ; elle est confiée à un directeur responsable, sous la surveillance d'un conseil.....
Les employés de certains Grands Magasins pouvaient, à Paris, bénéficier des services des divers hôpitaux de Paris, Pour les autres, cela dépendait des politiques médicales et sanitaires mises en place par les diverses directions... »
Il nous faut déjà noter (soulignés) les restrictions. « à Paris ...et certains... » .
Que se passait-il en banlieues et provinces ? D'autant que nous avons vu précédemment que Paris Intra-muros était déjà devenu un semblant de métropole inaccessible aux plus démunis.
Allons-nous donc rentrer dans un domaine de salariés de grands magasins relativement protégés ?
Talentueuse Peintre Ginette Goma
Encore un membre du réseau talentueux, vous la connaissez bien pour les plus anciens, Elle expose à Deauville...
Si c'est sur le chemin de vos vacances ou si vous habitez par là!...découvrez son expo.
Ginette écrit « Mon style facilement reconnaissable s'inscrit parfaitement dans l'actualité. C'est de l'art conceptuel. L'art conceptuel est fondé sur l'affirmation de la primauté de l'idée sur la réalisation, une idée conçue par l'esprit, une représentation mentale abstraite. »
L’Art Conceptuel, vous le connaissez sans le savoir :
Vous connaissez Marcel Duchamp et son fameux sèche-bouteilles acheté en 1914 au BHV, puis exposé à l’Observatoire du BHV en 2010 .
Vous connaissez Buren et ses anneaux à Nantes ou ses colonnes au Palais Royal à Paris.
Maintenant, nous découvrons la Peinture de Ginette Goma : ex acheteuse au BHV à la mode féminine, sous son nom d’artiste : Gine Louise Delauney.
Tout à fait le profil à exposer ses oeuvres dans la future Fondation des Galeries Lafayette, où se situait l’ancien service Formation, de la rue du Plâtre.
C’est tout à fait remarquable… Et puis, ne serait-ce point un retour aux sources ?
A suivre !....
En attendant, l’imagination de Gine se plait à créer des formes géométriques. Cet Art Conceptuel, n’est pas là que pour les matheux !
De Pytagore à Ginette, il n’y a qu’un trait !...
Je vous invite à découvrir ses œuvres … et son talent, chez Elle, à l'Atelier d'Artistes Deauville. Voici l'invitation.
CD
Grands Magasins Parisiens : Des œuvres sociales à l’Art-Déco 3/25
1877 au BHV ou Bazar Napoléon, les « Restaus du cœur » Une pension alimentaire au "n°18 " de la rue de la Verrerie sous la verrière : 400 couverts servis pour les plus démunis au prix de 40 à 50 centimes le repas. Cette initiative n'a guère duré car les restaurateurs et marchands de soupe du quartier réagirent en concurrence déloyale. Mais il était bien d'en rappeler l'initiative.
1878 « L'électricité produit la lumière ». Merveilleuse période qui a dû transformer les habitudes de nos « développeurs commerçants dynamiques» de nos présents ou futurs Grands Magasins.
Je ne citerais que quelques inventions importantes : Le téléphone de Graham Bell 1876, le microphone et le gramophone de Émile Berliner, 1877, l'ampoule a culot de Joseph Swan, 1878, 1879 la lampe électrique et l'ampoule à vis de Thomas Edison 1879, le principe du moteur à 4 temps de Beau de Rochas en 1862, repris par Eugène Lenoir 2 et 4 temps en 1883 et je terminerais par l'ascenseur a crémaillères électrique de Werner Von Siemens en 1880.
L'exposition suivante est en 1889 basée sur L'Art et l'Industrie et pour la première fois la présentation de la colonisation française. Il faut bien sûr citer la Tour métallique de 318mètres, de Gustave Eiffel, ce qui représente les progrès des sciences et techniques en France depuis 1789.
A noter : la galerie des machines * 110m x 420m dont St Gobain a fourni 35000m2 de surface vitrée PLATE, ce qui est une nouveauté.
*La Galerie des Machines fut un monument parisien, construit pour l'exposition universelle de Paris de 1889 et démoli en 1909. Il se situait dans le quartier de Grenelle.
Une fin de siècle de qualité et de Bienvenue, Fulgence de son prénom, ingénieur des ponts et chaussées, le père du métro parisien avec Edmond Huet polytechnicien, avant-projet en 1895, adopté en 1897 et premiers travaux en 1898. 1ere ligne, Vincennes-Maillot.
Ils créent la CMP, Compagnie des chemins de fer métropolitains, L'auteur du 1er projet de « tramway tubulaire souterrain» en 1848, Jean Baptiste Berlier -inspirateur de Bienvenue- crée sa compagnie Nord-Sud en 1902.
Peintures de Jacques Bouloc, cela vaut le détour.
Voici Jacques Bouloc, dont je vous ai déjà parlé…
Cet acheteur… à la retraite, sportif de haut niveau qui fut lorsqu’il travaillait : éleveur de lapins nains, de poules naines, apiculteur avec ses ruches et son miel, orpailleur, toujours prêt pour de nouvelles aventures…. ne tient décidemment pas en place…
Il découvre, invente, crée… remplit bien ses journées… Les mains se prêtent à de nouveaux exploits, dans ses tableaux, sur tous les thèmes…
Il vous invite à découvrir son exposition, pendant 2 semaines :
Du 5 au 20 juillet inclus, tous les jours de 14 h à 18 h (sauf le mardi.)
Salle municipale : Le Valentin
Parc des expositions des Capucins
Place Abel Leblanc (près : chapelle des capucins)
77 120 Coulommiers
Devenez Columérien le temps d’un week-end ou en semaine et découvrez dans la vallée du grand Morin qui traverse cette ravissante ville briarde riche d’histoire la ville de Coulommiers.
Si ce nom évoque son fromage, les nombreux petits canaux vous raviront et la route bordée de bois et de champs vous feront passer un moment bucolique !
Evadez-vous pour regarder les nombreux tableaux de Jacques Bouloc !
Bravo Jacques et nous te souhaitons beaucoup de succès.
Grands Magasins Parisiens : Des œuvres sociales à l’Art-Déco 2/25
Retrouvons Jean-Pierre...
Contexte de l’exposition universelle :
Tout ce petit monde, pour la majorité, va connaître l'exposition Universelle d'art et d'Industrie en avril/octobre 1867, au Champ de Mars avec 41 pays.
Et là entre autres, ils ont fait Mouche : Non je ne vous mène pas en bateau. Michel Pélizat et ses associés remontent 30 bateaux par fleuves et canaux, sur la Seine .
Ils sont fabriqués à Lyon dans le quartier Mouche au sud. Et les bateaux sont restés avec le nom de nombreux visiteurs, dont Otto von Bismark, Guillaume 1er de Prusse, Helmuth von Moltke, nos 3 prussiens aux casques à pointe que nous retrouverons à Versailles, là où Guillaume va se proclamer Empereur au sein de la galerie des glaces.
Nos grands magasins vont vivre cette guerre de 1870-71, vivre la lutte des fédérés contre les versaillais et en Mai 71, la semaine sanglante.
Les prussiens ne repartiront qu'en 1873 avec de fortes indemnités dues au fait que c'est la France qui avait déclaré la guerre. Donc crise de monnaie...mais on tient....
Nouvelle expo universelle en 1878 pendant le premier septennat de la 3ème République avec Mac Mahon. Création du palais du Trocadéro, démonté et remplacé par le palais de Chaillot en 1937.
Grands Magasins Parisiens : Des œuvres sociales à l’Art-Déco 1/25
Comme promis... Je laisse la plume blogueuse à notre ami Jean-Pierre Franssens.
C'est une découverte extraordinaire .... à suivre!
Suite de la présentation en 6 épisodes (mai à juin 2013-BHV d'Hier) qui se terminait par les fêtes et loisirs pour le personnel.
A travers les études de Jean Damien Leveau pour la période des années 20 et 30, j'ai noté que les actions en aides sociales ont été à la fois diverses et surtout plus ou moins importantes suivant l'enseigne. Pour bien comprendre la politique « paternaliste » de cette époque il faut évoquer l'ensemble des Grands Magasins dès l'origine et nous y trouverons notre BHV au rythme des ans. L'historique BHV avec son développement dû à la qualité de Xavier Ruel dès 1850, a été relaté.
NAISSANCE DES GRANDS MAGASINS et
LE PARI(S) de Georges, Eugène HAUSSMANN. (De 1852 à 1870)
Urbaniste et préfet de Seine sous la responsabilité de NAPOLEON III proclamé Empereur du Second Empire. Celui-ci aurait subventionné ce projet à la hauteur -équivalence-de 26 milliards d'Euros 2000.
Action : « Faire de Paris la plus belle ville du Monde » mais aussi, nécessité de donner un nouveau cadre à la ville. Sa superficie est doublée, larges voies, égouts, espaces verts....
Ce cadre urbain va révéler les classes sociales. Les loyers deviennent élevés, crise du logement et rejet en périphérie des classes à revenus devenus trop modestes.
Paris intra-muros, c'est la fête, le théâtre, les cafés, le bal, bref l'image de la vie parisienne par « Offenbach » et le post-impressionnisme et l'art nouveau de Toulouse Lautrec.
Dans ce contexte émergent en 1852, Le Bon Marché, le Crédit Foncier, le Bazar 1853/1856 date à laquelle, suivant « légende » Xavier Ruel aurait stoppé les chevaux ..fous.. de l'attelage de l'impératrice Eugénie , De ce fait, Xavier aurait eu des « avantages » pour prospérer et le magasin s'appela « Bazar Napoléon »....de toute manière vrai ou non...c'est beau....j'achète ! -Les magasins du Louvre datent de 1855.
1855 date de la première exposition universelle, basée sur le développement industriel. A cet effet a été créé un palais de l'industrie de 250m de long, Il a été détruit en fin de siècle pour laisser la place aux petit et grand palais. Création de la Société Générale en 1860 – En 1863 c'est au tour du Crédit Lyonnais . En 1865 en Mai, c'est le Printemps et nous attendrons 1869 pour voir arriver la Samaritaine. Mais oui, les Galeries Lafayette et bien leur première mercerie est de fin 1893.
Au temps du Vel d’Hiv ... et : Jean Pieters notre doyen
Nous sommes heureux de vous présenter un Livre qui sort le 19 juin 2014 dans toutes les grandes librairies de France ainsi qu'à la FNAC, Amazon…
Au temps du Vel d'Hiv.
Auteur: Dominique Grandfils
Edition: Gremese
Prix de base: 18 €
Sa connotation est historique, mais c'est avant tout une aventure sportive !
Notre collègue Jean Pieters a été interviewé. Comme vous le savez, Jean a travaillé au BHV et fut un des plus grands cyclistes de son époque. Jean soutenait aussi l’USBHV Cyclisme.
Notre ami : Aimé Calandri a pu aussi rappeler ses souvenirs à l’auteur.
L’ouvrage revient sur la fabuleuse épopée du Vélodrome d’Hiver de Paris, entre 1910 et 1959. A travers les exploits des plus grands sportifs, mais également des moments tragiques de l’Histoire de France comme la Rafle de juillet 1942.
Un récit riche en anecdotes et très documenté qui a bénéficié de la participation de quelques témoins de cette aventure : Jean Pieters et Robert Panier qui ont participé aux Six Jours et Aimé Calandri qui travailla avec Fausto Coppi pendant ses séjours parisiens.
Ce livre propose au lecteur une plongée dans l’univers du vélodrome du boulevard de Grenelle, véritable lieu de rendez-vous de toutes les classes sociales qui venaient encourager les champions cyclistes à l’occasion des fameux « Six Jours de Paris ». Après avoir évoqué les premières décennies du Vel’ d’Hiv’, l’ouvrage raconte la carrière de Jean Pieters, un jeune pistard de Belleville dont la carrière va être sérieusement contrariée, par la Seconde Guerre Mondiale.
On peut y lire un extrait bien sympathique sur Jean Pieters, relatant une course de 1941.
"La course est menée par Roux et Rousset qui parviennent pendant 60 tours à garder jusqu’à trois quart de piste d’avance. Malgré le freinage intempestif d’André Pousse, Jean qui a senti le danger ramène le peloton sur ceux qui ont osé partir. La coalition est dure à vaincre et il faut que Pieters et Panier, diminué par un rhume, donnent le maximum de leurs moyens pour réussir à en venir à bout.
Jean étonne les spectateurs par sa capacité à se faufiler et plonger sur ses adversaires, passant de la queue à la tête du peloton en un quart de tour.
Ce « môme » n’a pas fini de nous étonner et c’est tout logiquement qu’il remporte sa quinzième américaine sous les applaudissements de la foule du Vel’ d’Hiv’. Pour Robert Panier, qui jubile, gagner une américaine à Grenelle équivaut à remporter une grande course sur route. "
Vous pouvez relire l'article que nous avions écrit, il y a 4 ans :
http://www.rezo-bazar.com/article-jean-pieters-notre-doyen-grand-sportif-a-fete-ses-90-ans-56608030.html
Mais qui est l'auteur Dominique Grandfils ?
Je dirai avant tout, que pour nous, il le " Facteur " du réseau BHV pour Jean. Il est aussi son voisin et ami. A ce titre nous le remercions.
Les mordus du Rock, le connaissent certainement !
Mais qui est Dominique Grandfils ?
Je dirai avant tout que pour nous, il le « Facteur « du réseau BHV pour Jean, tout en étant son voisin et ami. A ce titre nous le remercions. Les mordus du Rock, le connaissent certainement !
Passionné par la musique, Dominique GRANDFILS a eu la chance de pouvoir faire partager ses coups de cœur sur les ondes de Radio « Ici & Maintenant! » dès janvier 1987. Sur la station pionnière de la bande FM parisienne, il a présenté l'émission Rock & Jazz avant de créer Rock Rendez-Vous.
Dans ce programme, il a reçu les principaux acteurs du rock français et quelque artistes internationaux.
En 1992, il troque le micro pour la plume. Après quelques articles pour la Revue du Spectacle, il démarre une chronique dans le journal Campus. Chaque mois, il présente les nouveautés discographiques et les concerts. Il propose une interview portrait d'un artiste.
Pendant cette période, il publie sa biographie de McCartney chez Zélie en 1993, Puis son recueil de citations 100% Rock en 1997.
A la fin de l'année 1999, il abandonne ses activités à Campus Mag pour se consacrer uniquement à l'écriture d'ouvrages musicaux. Puis, en 2008, il intègre l'équipe du site Maccablog consacré à Paul McCartney. En janvier 2014, Maccablog devient Maccaclub.
Nous avons repéré les liens ci-dessous pour commander le livre sur Internet
Peinture : Antoine Lindet
Peinture quand tu me tiens...
Tzvetan Todorov, essayiste, philosophe et écrivain français d’origine bulgare (75 ans) écrivit un jour :
« le peintre ne nous donne pas seulement à voir, il nous incite à regarder, à interpréter, de telle façon plutôt que de telle autre… »
Si vous passez au Mans.....
Notre collègue Antoine Lindet
a le plaisir de vous inviter à l'exposition de sa nouvelle série de paysages
où la lumière tient toujours une place si importante !
Centre de l'Etoile -26 rue Albert Maignan - 72000 Le Mans
du 16 au 29 juin 2014 - touts les jours de 10 à 19 heures
tel : 02 43 54 50 00 - http://www.centre-etoile.com
VERNISSAGE : Vendredi 20 juin de 17 à 21 heures
http://www.antoine-lindet.odexpo.com
Paris : cet été, avec notre guide Didier Bouchard
Petit interlude dans l’histoire du BHV….
Paris, si agréable l’été, et si distrayant avec notre guide : Didier Bouchard. Parisiens ou Provinciaux de passage à Paris ce programme est pour vous.
Conférences Didier Bouchard
Conférencier national, diplômé de l’institut d’art et d’archéologie de la Sorbonne
Ancien élève de l’école du Louvre
Boite 17, bât. D,
8, rue Cannebière
75012 paris.
Tel: 01.43.07.09.69.
Samedi 21 juin
(Au lieu du 28 juin initialement prévu)
15h le village des Batignolles, sur les traces de Mallarmé, Manet, Zola, Bazille, et la cite des fleurs.
Rdv. Sortie du métro Rome. 11€.
Inscription : 01 43 07 09 69
Lundi 23 juin
15h visite de l’atelier Art déco du verrier Barillet (1932, par Mallet Stevens) : nouveau musée des écoles de paris. (Exposition Mendjisky, vitraux de louis barillet), et les villas et ateliers d’artistes du quartier Vaugirard (villa Santos Dumont et la ruche -exter.)
Rdv. Angle des rues des morillons et Santos Dumont. 11€+ entrée
Inscription : 01 43 07 09 69
Jeudi 26 juin
15h exposition « les Impressionnistes en privé » au musée Marmottan (100 tableaux impressionnistes de collections particulières : Renoir, Sisley, Monet, Manet etc.) Rdv. 2 rue Louis Boilly. 11€+entrée. Nombre limité.
Sur Inscription : 01 43 07 09 69, confirmée par l’envoi du règlement.
Dimanche 29 juin
15h Ménilmontant méconnu : la maison des Saint-Simoniens, le Pavillon Carré de Beaudouin (1771, une villa palladienne en plein paris), et quelques villas et hameaux bucoliques et fleuris.
Rdv. Angle des rues des Pyrénées et de Ménilmontant. 11€
Inscription : 01 43 07 09 69
Samedi 5 juillet
14h30 la Basilique de Saint-Denis, chef-d’œuvre gothique, et les tombeaux des rois de France. Rdv. Façade de la basilique. 11€ +entrée.
Inscription : 01 43 07 09 69
dimanche 6 juillet
15h les écuries du château de Bercy, l’auberge de cartouche, puis le village de Bercy, des anciens chais aux nouveaux jardins.
Rdv. Sortie métro porte de Charenton, boulevard Poniatowski, numéros pairs. 11€
Inscription : 01 43 07 09 69
Samedi 26 juillet
15h le village des Batignolles, sur les traces de Mallarmé, Manet, Zola, Bazille, et la cite des fleurs.
Rdv. Sortie du métro Rome. 11€.
Inscription : 01 43 07 09 69
Dimanche 27 juillet
15h Folies Art-Nouveau et Palais de la belle époque dans le quartier du gros-caillou et autour du champ-de-mars.(l’hôtel de Montessuy et les immeubles art-nouveau de Jules Lavirotte, les hôtels Worth et Soutza, l’ancienne ile des cygnes et les écuries impériales).
Rdv. Angle rues saint-Dominique et sédillot.11€
Inscription : 01 43 07 09 69
Samedi 2 aout
15h Les salons baroques de l’hôtel de Lauzun (1659)
L’un des derniers décors 17e de paris, plafonds peints, boiseries.
Rdv. A 14h55 devant le 17 quai d’Anjou. 12€+entrée
Evocation de baudelaire.15 places.
Inscription : 01 43 07 09 69
Dimanche 3 août
15h Ménilmontant méconnu : la maison des Saint-Simoniens, le Pavillon Carré de Beaudouin (1771, une villa palladienne en plein paris), et quelques villas et hameaux bucoliques et fleuris.
Rdv. Angle des rues des Pyrénées et de Ménilmontant. 11€
Inscription : 01 43 07 09 69
Lundi 4 août
15h Les salons de l’hôtel de Ganay (visite intérieure) : un palais de la belle époque près des Champs-Élysées, et son voisinage : les hôtels de Caraman et de Wagram (extérieurs). (Une visite par an)
Rdv. Angle av. George v et rue de la Trémoïlle. Carte d’identité.11€
Inscription : 01 43 07 09 69
Vendredi 29 août
15h jardins et salons des hôtels de Varangéville et Amelot, escalier de l’hôtel de Tavannes, promenade vers l’atelier de Gustave doré. (Une visite par an)
rdv. 217 boulevard saint-germain. 10€. Carte d’identité
Inscription : 01 43 07 09 69
Dimanche 31 août
15h Ménilmontant méconnu : la maison des Saint-Simoniens, le Pavillon Carré de Beaudouin (1771, une villa palladienne en plein paris), et quelques villas et hameaux bucoliques et fleuris.
Rdv. Angle des rues des Pyrénées et de Ménilmontant. 11€
Inscription : 01 43 07 09 69
Lundi 1er septembre
14h30 le Palais du Luxembourg, siège du Sénat.
Grand décor intérieur 17e et 19e, galerie du trône de napoléon III. Evocation de marie de Médicis.
Rdv. 15 rue de Vaugirard .carte d’identité.11€
Inscription : 01 43 07 09 69
Mardi 2 septembre
13h50 les salons de l’Hôtel de Ville (grand décor XIXe : Puvis de Chavannes, Dalou, Bonnat, histoire de la municipalité depuis Etienne marcel.)
Rdv. devant l’entrée du 5 rue Lobau
(30pers.) Carte d’identité. (11 €+entrée)
Inscription : 01 43 07 09 69