Petite escapade en Normandie, par Michel Bindault
L'air de la mer vous manque.... Allez revoir la Normandie!
Ce mois de septembre si beau et clément dans l'Ouest nous a incité à sortir de notre Alsace pour nous ressourcer quelques jours dans le Calvados.
Aussi Doris et moi avons plaisir à partager avec vous ces quelques photos qui vous inciteront, peut-être, à connaître ou redécouvrir cette belle et attachante région.
Nous voici tout d'abord à Vierville-sur-mer ( ou Omaha-beach ), village niché entre les ports de Grandcamp et Port-en-Bessin.
Plage à marée haute - Plage basse mer - Les étendues de sable
Le monument " Les Braves " érigé pour le 60e anniversaire du débarquement du 6 juin 1944 en l'honneur des troupes alliées
Le manoir du Vaumicel ( et ses chambres d'hôtes )
A une encablure du village, découvrons la commune de Louvières où nous résidons l'été.
Son église et son très beau clocher effilé, en pierres, typique du Bessin.
Eglise Notre-Dame de Louvières, classée aux monuments historiques (Liste de 1840.)
- Ses chemins creux bordés de murs.
Plus au nord, en dépassant Cabourg puis Deauville nous voici à Honfleur.
Découvrons le " Vieux bassin "
Plus au nord, en dépassant Cabourg puis Deauville nous voici à Honfleur.
Découvrons le " Vieux bassin "
( photos 10-11-12-13-14 )
On peut comprendre que ce cadre, ces lumières et reflets aient pu inspirer de nombreux peintres, dont Eugène Boudin,et continuent d'en attirer.
La Vieille ville avec ses boutiques typiques, ses très nombreux restaurants (fruits de mer et crevettes ) sauront vous retenir si vous visitez cette cité pittoresque, pleine de charmes et unique.
On peut comprendre que ce cadre, ces lumières et reflets aient pu inspirer de nombreux peintres, dont Eugène Boudin,et continuent d'en attirer.
La Vieille ville avec ses boutiques typiques, ses très nombreux restaurants (fruits de mer et crevettes ) sauront vous retenir si vous visitez cette cité pittoresque, pleine de charmes et unique.
Merci Michel.
Nous attendons vos témoignages sur vos escapades, invitations aux voyages!...
La femme: Avenir de l'Art Contemporain !
Hommage au couturier YOHJI YAMAMOTO de Gine Goma Delauney
La FIAC 2014 ouvre ses portes ce jour, au Grand palais où sont exposées des œuvres de femmes de renom, tandis qu’aux Docks - Cité de la Mode et du Design est présentée une autre version de la FIAC avec des talents qui n’ont pas à rougir.
Mais lorsque l’on réside ou qu’on se promène en Normandie, on découvre la galerie de notre collègue Gine Goma Delauney :
Pas de doute… la femme est l’avenir de l’Art contemporain!...
Le tableau de Gine est un hommage au grand couturier japonais : YOHJI YAMAMOTO qui s’inscrit comme Gine l’a ressenti et vécu lors de sa carrière dans la MODE ! …
YOHJI YAMAMOTO est aussi célèbre qu’un Karl Lagerfeld, Calvin Klein, Azzedine Alaïa, JC de Castelbaljac….
Gine nous dit :
" Styliste japonais créateur de mode comptant parmi les designers les plus rigoureux du monde de la mode, les vêtements qu'il crée peuvent être considérés comme intellectuels, parfois difficiles, mais toujours beaux. J'ai peint cette toile en 2007. Hommage à mon styliste préféré. Aujourd'hui, il est toujours mon créateur de mode préféré.
Dans sa collection 2015 : La ligne est structurée, assumée, c'est l'encrage. Les pans du vêtement coupés-destructurés sont mobiles, l'ensemble donne une impression de fluidité, de légèreté. Le mannequin défile maîtrise son corps, seul le vêtement est en mouvement ' mystère, sensualité, émotion ' C'est magnifique! C'est de l'art."
Pour en savoir plus et voir le défilé 2015 :
http://www.delauney.canalblog.com/
SUPERBE !..... BRAVO !..... Gine.
"YOHJI YAMAMOTO" Spring Summer 2015 Paris by Fashion Channel
The best videos, the most exclusive moments of the internatiornal runway since 1982 until now, of the most representative fashion weeks of the world. Backstage secrets, insights make-up and hair ...
Défilé 2014
Découvrez Paris cet automne, grâce à notre conférencier Didier Bouchard
Encore de bonnes idées!
Revivez Paris, avec notre guide Didier Bouchard en ce 4 ème trimestre 2014
Bonnes découvertes et nos remerciements à Didier .
Conférences Didier Bouchard
Conférencier national, diplômé
de l’institut d’art et d’archéologie de la Sorbonne
Ancien élève de l’école du Louvre
Boite 17 bât. D, 8, rue cannebière
75012 paris. Tel: 01.43.07.09.69.
Dimanche 26 octobre
15h Ménilmontant méconnu : la maison des saint-simoniens, le pavillon carre de Beaudouin (1771, une villa palladienne en plein paris), et quelques villas et hameaux bucoliques et fleuris..
Rendez-vous. angle des rues des Pyrénées et de Ménilmontant. 11€.sur inscription Au 0143070969
Lundi 27 octobre
14h30 : Parties fermées au public de la Sorbonne, salons du rectorat, grand-amphithéâtre, chapelle et tombeau de Richelieu ; puis cour-jardin d’un collège méconnu.
Rendez-vous. 46 rue Saint-Jacques. 11€+entrée
Sur inscription Au 0143070969
Jeudi 30 octobre
14h30 la propriété Caillebotte à Yerres (Casin, chalet suisse, ferme ornée, glacière, vaste parc a l’anglaise, rives de l’yerres, potager…)
Evocation de la vie et de l’œuvre de Gustave Caillebotte.
Quelques places sur inscription Au 0143070969, confirmée par l’envoi du règlement.
(12€). Accès possible par rer.
Vendredi 31 octobre
14h30 l’hôtel de Camondo, ses exceptionnelles collections. Ses décors intérieurs, et ses communs.
Rendez-vous. 63 rue de monceau. 11€+entrée (20pers.) Sur inscription Au 0143070969
Samedi 1er novembre
10h : Escalier d’onyx et baignoire d’argent : les salons de l’hôtel de la Paiva.
Un chef-d’œuvre du style napoléon III, et l’étonnant destin d’une courtisane.
Rendez-vous. 25 av. Des Champs-Elysées.11€+entrée. Sur inscription Au 0143070969
14h30 somptueux décors XVIIIe et XIXe du conseil d’état, au sein du palais royal : appartements des ducs d’Orléans et du prince Napoléon.
Histoire du palais, présentation du conseil d’état.
Rendez-vous. 1 place du palais royal. 11€+entrée. (Sur inscription au 0143070969, confirmée par l’envoi du règlement)
Vendredi 7 novembre
13h50 les salons de l’hôtel de ville (grand décor 19e : Puvis de Chavannes, Dalou, Bonnat, histoire de la municipalité depuis Etienne Marcel.)
Rendez-vous devant l’entrée du 5 rue Lobau
(30pers.) Carte d’identité. Inscription au 0143070969 (11 €+entrée)
Lundi 10 novembre
14h30 parties fermées au public de la Sorbonne, salons du rectorat, grand-amphithéâtre, chapelle et tombeau de Richelieu ; puis cour-jardin d’un collège méconnu. Rendez-vous. 46 rue Saint-Jacques. 11€+entrée. Inscription Au 0143070969
Mardi 18 novembre
15h50 les Borgia et leur temps. Botticelli, Melozzo da Forli, Perugin, Raphael, Leonard de Vinci, Michel-Ange. Turpitudes et mécénat à Rome autour de l’an 1500. Evocation d’Alexandre vi Borgia et de ses enfants, César et Lucrèce.
20 pers. Sur inscription Au 01 43070969, confirmée par l’envoi du règlement. 11€+entrée
Rendez-vous. 61 rue de grenelle.
Jeudi 27 novembre
14h50 les Borgia et leur temps. Botticelli, Melozzo da Forli, Perugin, Raphael, Leonard de Vinci, Michel-Ange. Turpitudes et mécénat à Rome autour de l’an 1500. Evocation d’Alexandre vi Borgia et de ses enfants, César et Lucrèce.
20 pers. Sur inscription Au 01 43070969, confirmée par l’envoi du règlement. 11€+entrée
Rendez-vous. 61 rue de grenelle.
Vendredi 28 novembre
14h30 rare visite du pavillon des indes de l’exposition universelle de 1878,
Et du pavillon de Suède-Norvège, avec les collections du musée Roybet- Fould. (Sculptures de carpeaux, peintures de F. Roybet))
Rendez-vous. 178 boul. Saint-Denis à Courbevoie. (Accès, à 8mn à pied : gare SNCF de Bécon)
17 personnes, sur inscription au 0143070969. (11€)
Jeudi 4 décembre
16h exposition « Viollet le Duc », à la cite de l’architecture et du patrimoine. Peintre, théoricien, restaurateur, bâtisseur, décorateur : à la découverte d’un génie, à travers dessins, mobilier…
Rendez-vous. dans l’entrée. Sur inscription Au 0143070969
1 place du Trocadéro.11€+entrée
Lundi 8 décembre
15h45 exposition « Saint-Louis » dans les salles gothiques de la Conciergerie.
Rendez-vous. 8 boul. Du palais. Sur inscription Au 0143070969
(20 pers.) 11€+entrée
Lundi 22 décembre
14h30 le Palais du Luxembourg, siège du Sénat.
Grand décor intérieur 17e et 19e, galerie du trône de Napoléon III. Evocation de Marie de Médicis.
Rendez-vous. 15 rue de Vaugirard .carte d’identité.11€
Sur inscription au 0143070969
Mercredi 14 janvier 2015
16h15 exposition « le Pérugin, le maitre de Raphael » au musée Jacquemart-André.
Quelques places sur inscription au 0143070969, confirmée par l’envoi du règlement. 11€+entrée
Rendez-vous. 158 boul. Haussmann
Du Grand-Magasin Parisien à leurs œuvres sociales 17/22 par JP Franssens.
Pour mémoire : 1936, année de crise, de nombreuses inondations dans toute la France et Paris n'est pas épargné. Mais place à Jean-Pierre....
Je terminerais cette présentation sociale, par les extraits de textes écrits par Jean-Damien dans son exposé de 2011. Ses conclusions me semblent correctes et elles comportent une certaine logique.
1936, année fatale, année de bouleversements. Le climat social devient tendu. Le patronat, la gestion paternaliste des entreprises étaient menacés par une volonté manifeste de changement qui vint du bas de l'échelle, des employés et ouvriers. C'est la crise...Les principales causes du déclenchement de la grève de juin 36 sont liés à des revendications salariales et syndicales. La demande est ; hausses de salaires, élaboration de contrats collectifs, liberté syndicale et absence de sanctions pour faits de grèves...
« En juin 36, les directeurs de magasins virent, sidérés, leur monde s'effondrer. Depuis des dizaines et des dizaines d'années, rien n'avait changé dans leur monde. Le modèle patronal de leurs pères et grands-pères était le leur, ce qui leur semblait fort naturel et dans l'ordre des choses. Ils aimaient leur personnel, leurs employés, ils avaient pour eux une certaine affection....et jusque- là, les problèmes s'étaient réglés en interne...une grève...pas vu depuis 1869.
Tout cela leur semblait appartenir au passé, mais le régime politique du front populaire et l'arrivée au pouvoir de Léon Blum allaient changer l'ordre des choses ».
Il ne faut pas ignorer que les patrons des Grands Magasins n'aimaient pas beaucoup les syndicats et des sanctions directes ou indirectes étaient prises à l'encontre du personnel qui s'engageait dans cette voie.
L'après-grève va apporter la victoire syndicaliste alors....Conséquence indirecte, l'abandon par les directions de leur politique paternaliste envers leurs employés. Un désengagement par rapport à la vie sociale.
En 1928, la Loi Loucheur (Habitation Low Cost… pardon à Bas-Coût), en 1930 les parlementaires mettent en place les Assurances Sociales et un Ministère de Santé Publique est mis en place (déjà en 1920 existait un ministère de l'Hygiène, de l'Assistance et de la Prévoyance).
En 1932, le patronat doit verser 4% des salaires à une caisse d’Allocations familiales. Octobre 1935, par décret-Loi, l’État s'engagea à garantir une assistance hospitalière communale. Ce qui pouvait dès lors dégager les magasins de cette assistance).
1939, les Assurances Sociales devraient être généralisées et une prime de salaire unique devait être créée.
L'état était donc amené par diverses mesures à remplacer les initiatives privées.
L'ère du paternalisme est révolue. La politique a fait brutalement irruption au sein des magasins et désormais, ce sont les syndicats qui vont plus ou moins orienter les mesures sociales prises par les diverses directions.
Vous ne trouverez ici aucun commentaire personnel...je laisse chacun réagir selon sa sensibilité. Il y aurait bien sûr matière à un passionnant débat.
Additif : La France s'interroge sur l'avenir de sa jeunesse.
La session de médecine de 1936, présidée par Georges Duhamel, homme de lettres eet médecin, s'interroge sur un très gros problème : l'enfant à l'âge scolaire et la double orientation qu'il peut subir entre onze et treize ans au moment où on l'aiguillera soit vers une profession intellectuelle , soit vers un métier dont il commencera l'apprentissage.
Un arrêté de septembre 1933 complété en février 34 prescrit un exament en fin de septième : CM2: l'élève qui n'a pas la moyenne ne passe pas dans le secondaire.
Cet examen divise l'opinion médicale car trois causes peuvent influencer les résultats de l'enfance : la croissance, le surmenage les maladies (endocriniens, cardiaques insuffisances alimentaires, les pulmonaires, les sourds et les insuffisants visuels) ....
On créera les ateliers- école où des enfants de 12 à 16 ans pourront découvrir différents métiers de la vie courante :vendeurs, tailleurs, ajusteurs, carrossiers, cuisiniers...En cinq ans 15 000 enfants de région Parisienne sont passés par ces ateliers,beaucoup ont postulés à un emploi.
Voici un sujet de presque 80 ans....
Du Grand-Magasin Parisien à leurs œuvres sociales 16/22 par JP Franssens.
Tout d'abord, un grand merci à tous ceux qui ont répondu positivement ou négativement, pour le rendez-vous du 17 novembre, merci aussi à ceux qui ajoutent des petits mots d'encouragement pour ce réseau.
Il nous manque encore des réponses.....
Merci aussi, à Jean-Pierre pour ce sujet si bien traité qui nous rappelle les débuts de la politique familiale en France au moment où nos politiciens remettent en cause leurs fondements.
Suite des bonnes œuvres des Grands Magasins :
Les Grands Magasins du Louvre vont apporter un soutien financier à une fondation nommée « Léopold Bellan».
En priorité à l'Hôpital du même nom dans le 14ème, mais pour y apporter l'accueil, en ce que l'on appelle « lits perpétuels », de patients qui n'avaient pas les moyens de payer leur hospitalisation.
Dons de 2500frs en 1936.
Il serait bien long de citer tous les établissements dans tous les domaines médicaux, sociaux, éducatifs, ouverts en Seine, Seine et Oise, Seine et Marne et une dans les Vosges, par la fondation Bellan. Ils sont au nombre de 21.
Une autre fondation « L’œuvre de Villepinte » est financée par le Louvre avec un lien pour la Samaritaine. Cette association était destinée a fournir des lits pour leurs employés au sanatorium de Champrosey. Il ne s'agissait donc pas d'une pure politique d'aide à une fondation caritative.
Le Printemps a eu une très nette politique d'aide et en particulier à la Croix-Rouge Française.
Le « gros coup » a été en 1924 avec la mise à disposition des locaux du magasin à la Croix-Rouge pour organiser une vente de charité- au profit de la section de la jeunesse et du foyer des infirmières- suivie d'une Kermesse avec tombola.
Chaque étage était porteur d'un thème: les provinces française, au 2ème les colonies...orchestres divers, visiteurs célèbres.
La tombola tirée, le gros lot, une Citroen de 6cv fut gagnée par une ambulancière de la Croix-Rouge..pas mal !
Trois jours de fête extraordinaire que nul ne revit dans un Grand Magasin.
Il y a eu d'une manière certaine une politique d'aide envers des associations du type Croix-Rouge, au niveau des Trois Quartiers et peut-être par le biais de l'Union Sportive.
Mais lors du rachat du magasin les archives ont presque toutes été détruites.
Du Grand-Magasin Parisien à leurs œuvres sociales 15/22 par JP Franssens.
Les Bonnes œuvres des Grands Magasins
Nous sommes dans les années 29/35 et le Bazar de l'Hôtel de Ville soutient financièrement de nombreuses œuvres de Bienfaisance, avec la particularité de mener une politique caritative auprès de municipalités. Des communes comme Verberie, St Vast et Meulan en bénéficièrent. C'est d'ailleurs Meulan qui fut choisie pour accueillir les fêtes champêtres organisées par le magasin.
Par ailleurs, les nécessiteux de ces villes ont été aidés, Un courrier du Maire de Meulan, remerciant le BHV, en atteste. Remerciements pour la générosité apportée aux œuvres de bienfaisance et pour les dons de jouets pour les enfants de Meulan. L'on pouvait se rendre aux fêtes de Meulan par le train et dans le wagon spécial qui était au couleur du magasin.
L'US BHV était très engagé lors de ces fêtes qui eurent lieu dans les années 1920-22. Cette année-là, en Mars l'orchestre était dirigé par Monsieur Pineau vendeur au rayon chaussures. Mademoiselle Mathieu du rayon Mode est élue Reine avec 2 demoiselles d'honneur, mademoiselle Vau de la maroquinerie et mademoiselle Bouillotte de la papeterie.
1926, 1927 et 1929.( Pour les sapins de Noël se référer aux textes 5 et 6/6 « BHV d'Hier » en Mai et Juin 2013).
Dans les années 30, des aides financières furent allouées aux enfants des Chemins de Fer français lors d'une vente de charité. Aides aussi à l'association des anciens Mutilés et anciens combattants du Louvre ou encore à l’œuvre des orphelins des forts de Halles lors de la fête annuelle de cette structure d’entraide en novembre 1937.
Le Bon Marché n'était pas en reste, 1923 : fête avec tout le personnel, en 1924, c'est l'US BM qui organise comme en 1927 et 28 dans le cadre prestigieux de l'Hôtel Lutétia.
Il y eut encore les trois années suivantes. Le Bon Marché a aidé les scouts et leur a permis de paraître et se faire connaître à travers les publicités du magasin, ce qui était rare.
Il se peut aussi que la Croix-Rouge ait connu les bontés du magasin, mais peut-être dues au fait que la Croix-Rouge était porteuse d'actions dans les années 30, Elle a même vendu ses actions des autres enseignes pour en racheter BM. Nous sortons du caritatif.
Aux Galeries Lafayette, c'est l'US GL qui, sur la même période organise des fêtes de jour et de nuit, Il y eut particulièrement un « Rallye lâcher de ballons » par 5000 enfants sur les toits de GL en 1921. Des cartes postales étaient écrites et attachées aux ballons, Elles comportaient l'adresse de l'enfant.
Le gagnant de ce rallye a gagné un jouet d'une valeur de 500 francs. Son ballon avait parcouru 1043kms jusqu'à Villafranca en Espagne.
Merci Jean-Pierre pour ce récit passionnant et le temps et l'énergie passés pour nous le partager sur ce blog.
CD