france 5 centre
Nos belles régions : Beaune et ses remparts par Patrick Léault
On se change les idées par cette petite escapade...
Nous avions eu la chance de pouvoir découvrir l'article de Patrick à la mi-juin : les Hospices de Beaune par Patrick Léault. Nous allons à présent continuer cette superbe visite à partir de votre écran, en nous rendant aux remparts.
Merci Patrick!
Au cours de l'Histoire, la ville de Beaune s’est constamment occupée de ses fortifications. Les ducs de Bourgogne qui connaissaient l’importance de cette place, l'avaient soutenus financièrement.
Lors de l'affranchissement de la Commune par le duc de Bourgogne, Eudes III , la première préoccupation des habitants, fut de creuser des fossés et construire des remparts avec, comme soutien, quelques tours de faible diamètre.
C’est ainsi que la citadelle vit d’abord construire sa muraille (1478-1502).
Puis plus tard, entre 1513 et 1524, la muraille sera équipée de grosses tours aux angles et les murs furent épaissis.
Enfin seront a ajoutés après 1636, des bastions.
La ville avait alors, un aspect imposant : ses remparts, ses fossés, ses tours étaient en état, de tenir un siège
La Tour des Dames : Une des 4 tours construite au XVIe siècle. avec un mur d'une épaisseur de 7 m !
Le Bastion des Bretonnières, construit pendant la guerre de 30 ans ( 1637), il sera en partie démoli au XVIIIe siècle.
Le Bastion Sainte Anne avec son échauguette (Tour de guet) couverte en pierre et le Bastion Notre Dame avec son échauguette couverte de tuiles.
Du rempart st Jean au domaine de Bouchard dont la réputation de ce Bourgogne n'est plus à faire.
La tour des billes : Tour de guet au XIVe siècle . On y stockait le bois (bille) pour la défense.
La tour Renard construite entre 1465 et 1477
Le lavoir St Jacques datant de 1887
Le château de Beaune
Le Théâtre de verdure : anciens bains publics.
A partir de 1930, il est utilisé comme espace de spectacles en plein air.
le Bastion St Nicolas : Théâtre
la Tour Blondeau
La Tour des Poudres
Les remparts vu du bas !...
Merci Patrick pour ce superbe reportage....
A vous de découvrir ces remparts en vous promenant dans les semaines à venir !
CD
Nos belles régions : Beaune Ville par Patrick Léault
Beaune est une ville agréable, c'est une ville médiévale attachante . Patrick complète son dossier des Hospices et des remparts par ces quelques photos
Avis aux amateurs de vins de Bourgogne, de cuisine du terroir ou historiens... voilà un petit séjour qui va vous plaire!
La ville, la Collégiale et la célèbre moutarde Fallot
La collégiale Notre Dame, devenue basilique en 1958, vaut le coup d’œil.
Construite à partir du XIIe siècle, elle mesure 80 m de long, C'est l'une des plus grandes églises de la Bourgogne Romane. Les voyageurs se déplaçaient pour aller vénérer la Vierge en Majesté dite vierge noire.
L'extérieur :
La moutarde Fallot
Maison indépendante Bourguignonne et familiale depuis 1840
Tout du savoir-faire de l’artisan moutardier : broyage des graines à la meule de pierre qui conserve toutes les qualités gustatives de la pâte.
La moutarde Fallot est la référence gastronomique de grands chefs français .
Une gamme de moutarde traditionnelle et variée : (moutarde de Dijon, à l'ancienne) mais également aux saveurs très régionales (cassis, pain d'épices, noix, basilic, poivre vert).
Patrick vous souhaite une belle découverte de Beaune et nous le remercions.
Nos belles régions : les Hospices de Beaune par Patrick Léault
Beaune est la capitale des vins de Bourgogne. Mais Beaune est avant tout un foyer d’Art et d’Histoire qui séduit grand nombre d’entre nous. Patrick Léault, nous rapporte ce reportage sur les Hospices de Beaune avec de très belles photos.
Tout part d'une belle histoire d'amour entre Nicolas ROLIN et Guigone de SALINS
En 1443 ce chancelier de Bourgogne et son épouse fondent l'hôtel-Dieu sur les modèles des hôpitaux Flamands.
Leurs volonté : offrir des soins aux pauvres et aux déshérités.
Propriété des hospices Civils de Beaune: l'ancien hôpital ou Hôtel-Dieu ,
Son bâtiment principal est situé en centre-ville de Beaune
L'Architecture est imposante, son toit en ardoises à l'extérieur du bâtiment est austère:
Mais, il laisse découvrir une cour centrale pavée avec des toitures constituées de tuiles plates vernissées qui dessinent des motifs colorés de toute beauté ! (On aperçoit le puits au fond sur la première photo)
La salle des soins ou salles des malades,
comme un palais pour les pauvres!
Elle est impressionnante par sa taille de plus de 50 m de long.
Elle est restée en activité jusqu'au début des années 1970.
Pour la mise en place des soins, Nicolas Rollin fit appel à des hospitalières issues de l'Hôpital St Jacques de Valenciennes connues pour leur efficacité.
(Certains se souviendront du film : La grande Vadrouille avec le tournage dans cette salle)
Au fond de la salle de soins, existe une petite chapelle
Vous remarquerez la plaque commémoratives où les créateurs des hospices furent enterrés . Malheureusement, les révolutionnaires abimèrent la sépulture.
La collection de coffres et les tableaux et tapisseries sauvegardée des révolutionnaires, nous interpellent.
Voici une des œuvres remarquable des Hospices de Beaune
Le jugement dernier de de Rogier Van der Weyden, appartenant au mouvement des primitifs flamands.
Sur le retable fermé ci-dessous :
Nicolas Rolin, saint Sébastien et saint Antoine au centre, et l'épouse Guigone de Salins
Passons à l'Apothicairerie ou Pharmacie :
Cuisine
Un petit tour par les remparts ... où nous attendent de superbes fresques !
Merci Patrick pour ce beau reportage, qui donnera peut-être des idées à tes collègues.
Bonnes découvertes à toutes et tous.
CD
Nos belles régions : Chavaniac en Haute-Loire par Evelyne
C'est toujours avec un grand plaisir que nous accueillons les reportages d'Evelyne Boudot.
Evelyne nous donne toujours d'excellents conseils pour une visite hors du commun...
En Haute Loire, entre Brioude et Le Puy, dans le village de Chavaniac, (origine gallo-romaine) existait au 14ème siècle une maison forte.
Elle fut détruite par un incendie à la fin du XVIIe siècle, puis elle fut reconstruite, agrandie et entra dans la famille Lafayette où naquit le 6 septembre 1757 Gilbert du Motier, plus connu sous le nom de Marquis de Lafayette.
Celui-ci devint célèbre notamment pour son intervention pendant la guerre d'indépendance des États-Unis (1775/1783) puis sa participation aux 2 révolutions françaises (1789/1830).
Orphelin à l’âge de 13 ans, ce jeune noble aura une carrière exemplaire, d’abord militaire, il deviendra capitaine à 17 ans. Il arme un navire (La Victoire) et s’embarque en 1777, avec quelques officiers, pour l’Amérique. Il rentre en France en 1779 et obtient de Louis XVI l’envoi d’un corps expéditionnaire aux États-Unis (1780).
Il retournera en Amérique à bord de l’Hermione.
En France : ce héros des deux mondes, commandant de la Garde Nationale, participe à l’écriture de la Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen, il fait adopter la cocarde tricolore. Tout au long de sa vie il lutta pour la défense de la Liberté.
Cette vie bien remplie nous est bien contée entre les murs de ce château.
Cette maison forte du XIVe siècle est inscrite au titre des monuments historiques depuis 1989 et labellisé «Maisons des Illustres.
Découvrons l'intérieur du château.
Elle retrace les grandes étapes de la vie du marquis, son enfance heureuse et son mariage avec Adrienne de Noailles et en a fait un lieu emblématique de l'amitié franco-américaine.
Pour terminer, la visite du parc s'impose avec les multiples essences végétales, des arbres magnifiques et une très belle et odorante roseraie.
En sortant du château, la visite du parc, labellisé « jardin remarquable ». de 3 ha qui entoure le château dans lequel se succèdent roseraie et arboretum.
Merci Evelyne et à bientôt pour une autre découverte.
CD
Nos belles régions : Le château de la Rochelambert en Haute-Loire par Evelyne
Evelyne Boudot voyage à travers la France, pour découvrir de beaux sites historiques. Elle a la gentillesse de partager avec nous ce reportage.
Je vous laisse découvrir...
Merci Evelyne pour ta participation et tes superbes photos.
Les guides touristiques nous proposent souvent de visiter les sites les plus importants de notre pays. Cependant il en existe quelques uns qui méritent amplement le détour à l'exemple du Château de la Rochelambert situé à Saint Paulien, en Haute Loire, région Auvergne.
Cette ancienne forteresse militaire du 11ème siècle accolée au versant d'un ancien volcan contrôlait la route de Saint Jacques de Compostelle un peu plus bas.
Partiellement brûlé en 1562 lors des guerres de religions, le château est rénové, les fenêtres agrandies à la renaissance pour lui apporter plus de confort et un style qui rappelle celui des contes de fées.
En bout de coursive se trouve des cavités naturelles dans la roche, agrandies par la suite, ayant certainement servies pour un ancien casernement de soldats puis de saloir et de cuisine.
Le château est resté la propriété de la famille de la Rochelambert de son origine jusqu'en 1923.
En 1939, M. BRESSET, antiquaire de renom, en fait l'acquisition et y installe une riche collection d'objets, armures, meubles, tableaux de grande valeur, d'où l'interdiction de prendre des photos à l'intérieur.
Le 14 juin 1859, Aurore Lucile Dupin de Francueil, autrement dit Georges Sand, de passage dans le Velay, passe quelques jours au château. Celui-ci lui inspirera son livre "Jean de la Roche" écrit le mois suivant.
Elle laissera au château ses propres peintures et dessins dont un autoportrait qu'elle fit durant son séjour.
J'ajouterai cette recherche qui complète ce reportage:
La comtesse de Valon, Apollonie de La Rochelambert (1825- 1904) a écrit les souvenirs de sa vie:
Le vieux manoir de la Rochelambert est une des curiosités du massif central. Le lieu paraît avoir été habité depuis les temps préhistoriques. Au-dessous des fondations actuelles se trouvent encore des grottes, qui ont servi de retraite aux troglodytes de l'âge de pierre.
Les Gallo-Romains ont passé par là, car la charrue met souvent au jour ces briques bétonnées et ces tuiles à rebord qui marquent leur tracé. Dès le haut moyen âge, un château-rocher se dressait sur cette terrasse et, au onzième siècle, il y avait des seigneurs de la Rochelambert.
George Sand, incitée par certains souvenirs de sa jeunesse, a fait vivre en cette demeure si suggestive le héros d'un de ses romans les plus agréables, Jean de la Roche.
Juin 1859 :
Elle en a donné une description remarquable que nous ne pouvons reproduire qu'en partie, à raison de ses détails étendus :
"Le château de la Roche est bizarrement incrusté dans l'excavation d'une muraille de basalte de cinq cents pieds d'élévation.
La base de cette muraille forme, avec son vis-à-vis de roches identiques, une étroite et sinueuse vallée où, à travers de charmantes prairies, serpente et bondit en cascatelles impétueuses un torrent inoffensif..."
Il était une fois Noël ... Centre - Rhône-Alpes
Philippe Bassot nous emmène à Vichy voir un super spectacle de Noël à Vichy.
Une superbe parade d'ours géants ! et une ville absolument féérique...
Quelques superbes illuminations de Bourges . Vraiment, notre reporter, Philippe Bassot, nous fait vivre des fêtes de fin d'année peu habituelles. Nous le remercions pour ces très jolies photos
Nos belles région : Visite dans l'Aveyron : Brousse le Château, par Evelyne
Ce petit coin de France aux carrefours de l’Auvergne et de l’Aubrac cachent une multitude de châteaux perchés et de villages classés : les plus beaux de France !
Grace à Evelyne et Marc B. Découvrons ce magnifique reportage !
Un petit tour en Aveyron fin mai Notre séjour commence par la visite de Brousse le Château situé entre Albi et Millau. Au cœur de cette vallée sauvage, découvrez ce paysage bucolique.
Ce village fut protégé par son château qui le domine du haut de son éperon rocheux depuis le moyen-âge.
Cette forteresse militaire après avoir appartenu aux comtes de Rouergue, de Toulouse puis de Rodez, devient la propriété de la famille d'Arpajon pendant près de 500 ans.
Au XV ème siècle, il perd sa vocation défensive et devient alors résidence. En 1839, la commune en fait l'acquisition et y installe le presbytère de la paroisse.
Le site est toujours géré par la commune avec le soutien de bénévoles qui en assurent l'entretien.
La petite église de style ogival datant du XVème siècle, dédiée à St Jacques le Majeur, flanquée d’un cimetière et d’un oratoire, et de superbes fresques.
Ci-dessus les jardins intérieurs du château et la construction du logis seigneurial qui s'étale de la Renaissance jusqu'au XVIII ème siècle
Merci Evelyne pour ces superbes photos et ce reportage !
CD
Le château de Bouges, une élégante « folie » du XVIIIè siècle. par Martine Mallein 2/2
Nous retrouvons ce reportage de Martine sur le château de Bouges ayant appartenu au grand directeur du BHV, Henri Viguier. Merci Martine et Gérard.
Les époux Viguier vont décorer et remeubler le château jusqu’en 1967. Ils vont chercher toujours à améliorer son confort en installant l’électricité et le chauffage central.
Chacune des 7 chambres va être dotée d’une salle de bains ou d’un cabinet de toilette avec l’eau courante.
Renée Viguier va multiplier les acquisitions de boiseries et de meubles.
Ils achètent un mobilier de qualité, relevant de la production courante des grands ébénistes parisiens. Parmi les pièces remarquables de mobilier, on peut citer notamment une table de jeu avec aux quatre coins des « oreilles » pour disposer des chandeliers et des bouteilles pour se rafraîchir.
La table de la salle à manger dispose de 12 pieds et de 16 allonges, permettant ainsi d’accueillir 30 invités. Dans la chambre d’Henri Viguier, un chiffonnier comporte 10 tiroirs, un par jour… à l’époque Révolutionnaire !
Passionné de photographies, grand amateur de chasse, Henri Viguier est membre de la Société des Courses de Châteauroux et président du Cercle de l’Etrier. Il possède sa propre écurie, à casaque bleu et jonquille. De luxueux équipages sont remisés dans les communs, ainsi qu’une exposition de harnais, de pièces de sellerie. N’oublions pas que Henri Viguier organise des chasses réputées. Un musée de voitures hippomobiles complète cet ensemble. Il sera maire de la petite ville jusqu’à son décès.
En 1944, le domaine fait l’objet d’une demande de réquisition par les autorités allemandes, mais grâce à Michel Ranjard, architecte en chef des Monuments historiques, une exemption est obtenue pour le château.
En mai 1966, Renée Viguier décède. Henri Viguier, sans héritier direct, lègue son domaine à la Caisse nationale des Monuments historiques et des Sites, classé depuis 2001. Il disparaît[1], âgé de 89 ans, le 22 août 1967. Son testament précise que les revenus du domaine sont destinés à assurer l’entretien et la restauration du château, des communs et du parc.
[1] Georges Lillaz prendra sa succession en tant que PDG du BHV jusqu’en 1968.
Le château de Bouges, une élégante « folie » du XVIIIè siècle. par Martine Mallein 1/2
Parler du château de Bouges n'est pas un hasard! Voici un moment que des articles sont édités sur le BHV à travers l'histoire , l'histoire du commerce et la vie des Français.
Un homme s'est distingué au BHV : Monsieur Henri Viguier, qui a succédé en 1900, à Xavier Ruel . Henri Viguier était propriétaire d'un château....
Merci Martine pour ce reportage qui passera en 2 fois .
A une cinquantaine de km au sud de Bourges, on découvre Bouges-le-Château, (département de l’Indre) petite ville située au cœur de la Champagne berrichonne. Géologiquement cette région est un vaste et morne plateau faiblement ondulé, où domine à perte de vue la monoculture céréalière.
C’est là qu’Henri Viguier[1] (1877-1967), propriétaire du grand magasin, le Bazar de l’Hôtel de Ville, au XXè siècle, et son épouse Renée[2] se portèrent acquéreurs en 1917 d’un petit bijou berrichon, en pierre blanche de Villentrois, de style néo-classique, le château de Bouges, dont on dit qu’il fut inspiré par l’architecture du petit Trianon de Versailles. Il est qualifié de « folie », nom venant du latin folia (feuille) employé depuis le Moyen-Age pour désigner une demeure luxueuse où des gens fortunés, aristocrates ou non, recevaient.
Le château de Bouges a été attribué sans preuve à Ange-Jacques Gabriel sur la foi d'une approximative similitude avec le Petit Trianon de Versailles bâti par le célèbre architecte entre 1762 et 1768 soit exactement à la même époque, ce qui suffit à rendre cette attribution hautement improbable. Elle est aujourd'hui récusée par tous les auteurs.
Extérieurement, le château est une construction de plan rectangulaire comprenant neuf travées sur les grandes façades et cinq travées sur les façades latérales. Les façades principales ouvrent l'une sur la cour d'honneur et l'autre sur la grande perspective du "tapis vert". Un fronton triangulaire décore la façade côté jardin sous lequel figure un grand balcon au ler étage sur lequel s’ouvrent trois baies.
Autour de la ravissante demeure s’étend un magnifique jardin arboré de 80 ha, dessiné et restauré par les architectes-paysagistes Henri (1841-1902) et Achille Duchêne (1866-1947), agrémenté d’un étang et d’un généreux jardin de fleurs qui, cueillies, viennent décorer toutes les pièces de la maison.
Les serres recevant des plantes rares ou exotiques, complètent ce jardin, labellisé « jardin remarquable ».
A l’emplacement d’une ancienne maison-forte, Charles-François Leblanc de Marnaval, maître de forges et directeur de la Manufacture royale de draps de Châteauroux y fit construire dans les années 1760 le château actuel. Il en resta propriétaire jusqu’en 1781. Plusieurs propriétaires se succédèrent dont Charles-Maurice de Talleyrand de 1818 à 1826. Ce dernier le mit à la disposition de l’épouse de son neveu, la duchesse Dorothée de Dino. La propriété des Viguier acquise en 1917 était vidée de tout son mobilier et de ses décorations[3].
En pénétrant à l’intérieur de la demeure, on est frappé par l'ingéniosité de son organisation intérieure en triple profondeur qui ménage une ouverture maximale sur l'extérieur. La création, très probablement à la fin du XIXe siècle d'une verrière éclairée par un lanterneau au-dessus du vide central, a introduit un axe lumineux très original en tirant un intéressant parti de la disposition d'origine.
[1] Petit-fils de Xavier Ruel, fondateur du BHV.
[2] Marie-Claire, Renée Normant est issue d’une riche famille de drapiers de Romorantin qui va fournir le drap bleu des uniformes de l’armée.
[3] En raison de la succession difficile du précédent propriétaire, Henri Dufour. Sa veuve qui vit à Biarritz fait enlever toutes les tapisseries de la salle à manger et les dessus-de porte, des trumeaux façon du peintre à la Boucher .
A suivre...
CD
Noel en France : 9 Région Centre, Val de Loire Bourgogne
Avallon dans l'Yonne en Bourgogne Franche-Comté... Jolie petite ville à découvrir!
Michel Mathieu nous a fait parvenir de superbes photos.
Il vous souhaite une excellente année 2021 !
Continuons notre escapade.... Pour retrouver Gérard et Martine Mallein dans le Berry... bien sûr !...
Lors d'un passage à Bourges dans le Cher, ils ont photographiés la Cathédrale Saint Etienne, datant de la fin du XIIe siècle, début de l'ére gothique. On y retrouve des similitudes avec Notre Dame de Paris.
Nous retrouverons Martine qui vous parlera de son nouveau livre, courant Janvier...
En attendant, ils vous adressent leurs meilleurs voeux, plein d'espoir !
Toujours aussi sympathique ce tour de France "Réseau BHV", merci Michel, Martine et Gérard.
CD