Mémoires : Le BHV à travers l'Histoire n°13 1897-1899
Xavier Ruel
Le rythme des acquisitions s’accélère vivement, sur deux ans :
En 1897 : rue de la Verrerie : le n°43 en février, le n°53 en avril et le n°51 en mai.
En 1898 : Entre janvier et avril : n°33, 35, 55 Verrerie,
En janvier les, n° 6 et 8 de la rue du Temple ; les numéros : 8 et 10 impasse du Coq st Jean, ainsi que le n° 49 Rue de la Verrerie,
En mars, le n° 47 de la rue de la Verrerie et le n° 3 de la rue des Archives.
Je vous laisse imaginer!....
Le 2 novembre 1899, sera construit sur 575 m² un bâtiment à usage commercial.
Xavier Ruel avait une autre face moins connue de sa personnalité : la Politique.
Le 4 mai 1884, il fut élu conseiller municipal de Paris pour le quartier de Notre-Dame comme Républicain indépendant contre un Monsieur Guyot.
Il fut élevé « Chevalier de la Légion d’honneur » en 1893.
Grands magasins :
Les galeries Lafayette s’agrandissent, les deux créateurs Kahn et Bader achètent l’immeuble dont il louait une partie.
En 1899 Les Galeries Lafayette deviendront Société Anonyme.
Le Printemps : Alors que le magasin fut reconstruit après l’incendie de 1881, en utilisant les nouvelles techniques du fer et du verre, il est superbe en 1884. Son créateur est élu député de la Nièvre (terre de son enfance) de 1889 à 1902. Il se diversifie dans la Nièvre (Chaussures, passementerie, cimenterie).
La mode est présente, dans toutes les grandes enseignes de Paris. Les produits de beauté bénéficient de publicité.
Félix Faure décède brutalement à l’Elysée en 1899.
C’est Emile Loubet qui lui succède et deviendra président, jusqu’en 1906. Il reçoit le tsar Nicolas II de Russie en 1901.
Paris progresse ...
Les travaux de la ligne de métro n°1 que vous avez fréquentée, commenceront en octobre 1898 pour s'achever en juillet 1900. Quelle aubaine pour le BHV.
De 1897 à 1900 est élevé le Grand palais, ainsi que le Petit Palais de style néoclassique.
Les grands magasins agissent sur le plan social.
Comment se déplacer à Paris! Vous avez le choix!...
La triplette.......ou les patins Bicyclette ,
Préférez-vous l'omnibus ?
Ou l'automobile ?
La pratique du sport s'élargit :
Terminons cette fin d'année 1999 par cette superbe affiche du BHV
A suivre...
75e Anniversaire du Débarquement 6 Juin 1944, par JC Charmoy
C'est notre histoire!... l'histoire de notre pays , n'oublions jamais!...
Jean-Claude Charmoy, vient ici nous rappeler la commémoration animée qui se déroulera prochainement à Franceville-Merville.
Je vous en parle dès à présent car pour ceux qui voudraient y assister, il est temps de réserver votre spectacle et votre hébergement.
Pour les autres ce 75e anniversaire du débarquement sera à suivre de près sur les différents médias.
Merci Jean-Claude.
75e Anniversaire du Débarquement 6 Juin 1944
Les 6, 7, 8 et 9 juin :
20h00 : Concert gratuit de cornemuses par le groupe Auld Alliance Pipe Band Normandy.
22h00 : Grande fresque historique en 4 tableaux :
"Ils ne savaient pas que c'était impossible..."
Revivez en immersion totale (son digital surround spatial, effets spéciaux pyrotechniques) le drame qui s'est déroulé à Merville à l'aube du 6 juin.
Plus de 150 acteurs et figurants au service du devoir de mémoire.
Billets disponibles au musée et sur notre site internet. Tarif unique 15 €.
Vous pourrez voir aussi la reconstitution de campements britanniques et allemands.
Et vous pourrez pénétrer dans le C47 DAKOTA dont Jean-claude vous a déjà parlé.
Dimanche 2 et 9 juin : Marche des Héros
9h30 : Départ de l’église de Gonneville-en-Auge.
Réservation jusqu’au 31 mai au musée ou au départ de la marche.
Place du 9ème Bataillon 14810 Merville-Franceville-Plage -
Tél. 02 31 91 47 53
musee@batterie-merville.com - www.batterie-merville.com
On attendait les messages à la Radio !....
Pour mémoire :
LES PREPARATIFS : Angleterre Novembre 1943
Pendant 6 mois les troupes du Général Gale, commandant la 6ème Division Aéroportée Britannique, s’entraînent dans un « Camp secret » dans la campagne Anglaise. Leur mission, détruire « à tout prix » la Batterie de Merville qui menace les côtes de « Sword-Beach * », déclarée « site prioritaire » pour le jour J.
L’ASSAUT « Ils ne savaient pas que c’était impossible »
Le 5 juin 1944, à 22h, départ d’Angleterre pour les côtes Normandes.
Après les bombardements des Halifax et Lancaster, des centaines de C47-Dakota qui larguent leurs 750 parachutistes, du 9ème Bataillon commandé par le Lieutenant Colonel Terence Otway.
Mission :
- Neutraliser la Batterie de Merville équipée de 4 canons de 150 mm, ayant une portée de 60 km.
- Détruire tous les Ponts sur la Dives de Troarn à Caen pour stopper tout renfort allemand.
En pleine nuit, avec une météo désastreuse, sans repères, les pilotes confondent la Dives et l’Orne… Ce sera un massacre avec la perte de tout le gros matériel.
Les paras pris au piège dans les marais de Varaville et de Troarn périrent pour la plupart noyés. Sur 750 hommes parachutés, 150 s’en sortirent.
4h30 Le Major Parry réorganise 4 « Groupes d’Assaut ». Le Lieutenant-Colonel Otway après avoir regroupé ses hommes et récupéré une mitrailleuse Wickers et 2 Torpilles Bagalore, décide de donné l’ASSAUT.
Avec une grenade offensive Sid Capon détruira la porte d’accès de la Casemate N°1….Ce fut un carnage au corps à corps…
5h00 les canons sont neutralisés.Les corps jonchent le sol, 50 combattants répondent à l’appel.
6h30 l’Opération OVERLORD a commencé sur les plages de Saint-Aubin à Ouistreham.
Merville-Franceville fut libéré 2 mois plus tard, le 17 Aout 1944.
75 ans après, reste 5 vétérans du 9ème Bataillon, dont Léon Gautier, 97 ans qui faisait partie du Commando N°4 du « Groupe Kieffer ».
La Batterie de Merville « dite aveugle » est située à 2,5 km dans les terres et non visible de la côte ; en réalité les bunkers, sont équipés de 4 canons Skoda de 100 mm, datant de 1914 avec une portée de 10 km.
Si vous voulez en savoir plus, Jean-Claude vous suggère ces 2 petits livres.
Nous sommes à la veille des élections européennes. Les pères fondateurs de la construction européenne : R Schuman, A de Gaspéri, K Adenauer et J Monnet ont pensé que la collaboration entre les peuples des pays européens qui étaient entrés en guerre, et qui voulaient se réconcilier, seraient une image forte aux yeux du Monde.
Ces commémorations doivent nous rappeler que pour donner une âme à l'Europe, il faut privilégier l'Homme avec ses racines culturelles : sciences, Musique, Art, littérature et aussi religieuses.
CD
Nouvelles découvertes avec notre guide Didier Bouchard
Il va faire beau... C'est le moment de découvrir notre superbe patrimoine d'Ile de France avec Didier Bouchard. C'est avec plaisir qu'il vous guidera...
Conferences.bouchard@orange.fr
Conférencier national, diplômé de l’institut d’art et d’archéologie de la Sorbonne
Ancien élève de l’école du Louvre
Boite 17 bât. D, 8, rue Cannebière 75012 Paris.
Tel: 06 43 63 35 73
Jeudi 16 mai
11h30 : exposition Franz Marc et August Macke, l’aventure du cavalier bleu, au musée de l’orangerie. Pour 6 personnes seulement.
Sur inscription au 01 43 07 09 69 , et sous réserve de confirmation. 12€+entrée.
Mardi 21 mai
14h30 : Décor classé d’une ancienne maison close, hôtel de Saint-Chamond, passage du Caire, maison égyptienne.
Rendez-vous : 2 place du Caire.
Sur inscription au 01 43 07 09 69. 11€+entrée
Mardi 28 mai
15h : Les Joyaux de la couronne de France au musée de Minéralogie de l’école des Mines (+nouvelle vitrine de gemmes)
puis le décor peint de l’escalier, et
la façade 18e, côté jardin, de l’hôtel de Vendôme.
Sur inscription au 01 43 07 09 69 : 11€+entrée.
Rendez-vous : 60 boulevard Saint-Michel.
Lundi 3 juin
14h30 : Exposition Henri II au château de Saint-Germain en Laye, puis architecture et histoire du château.
Henri II et sa cour : tableaux, sculptures, objets d’art, exposés dans les salles renaissance et la chapelle gothique.
Puis l’histoire du château, de François Ier à Napoléon III.
Unique visite.
13€+entrée. Sur inscription au 01 43 07 09 69, confirmée par l’envoi du règlement.. Rendez-vous : sortie du RER, côté château.
Mercredi 5 juin
13h45 : la collégiale de Mantes, petite sœur de Notre Dame de paris, puis aux Andelys : le Château-Gaillard, le petit-Andelys, et le musée Nicolas Poussin.
Quelques places sur inscription (et sous réserve de confirmation) au 01 43 07 09 69.
16€+entrées.
Vendredi 7 juin
15h : Parties fermées au public de Bicêtre : grand-puits, réservoir et manège de Boffrand (18ème siècle). Puis, la force et les loges de Pinel.
L’hôpital du grand renfermement (1656) et le complexe hydraulique spectaculaire créé par Germain Boffrand sous le règne de louis xv. La force et son histoire révolutionnaire.
Rendez-vous : au métro Kremlin-Bicêtre.
Sous réserve de confirmation et sur inscription au 01 43 07 09 69 , 11€+entrée
Samedi 8 juin
15h : Le château de Saint-Ouen : une villa Palladienne aux portes de Paris (1821, décor intérieur). Evocation de Zoé du Cayla, la dernière favorite royale.
L’affaire Favras : un secret de louis XVIII
Rendez-vous : sortie du métro mairie de Saint-Ouen.
11€. Sur inscription au 01 43 07 09 69, et sous réserve de confirmation
Jeudi 13 juin
14h : après-midi à Auvers sur Oise : sur les pas de Daubigny, Corot et Van Gogh.
Visite de l’atelier de Daubigny (décor intérieur), de l’exposition Corot , du musée Daubigny (les Corot du musée des Beaux-arts de Reims), puis de la maison et du jardin du docteur Gachet, ainsi que les lieux de Vincent van Gogh : la mairie et l’église d’Auvers, et de Cézanne : la maison du pendu.
16€+entrées. Sur inscription au 01 43 07 09 69, confirmée par l’envoi du règlement.
Vendredi 14 juin
15h30 : l’Arc de Triomphe et la place de l’Etoile.
Sous réserve de confirmation.et sur inscription au 01 43 07 09 69.
11€+entrée
Lundi 17 juin
15 h : Exposition les Nabis et le décor, au musée du Luxembourg..
(Unique visite).
Ensembles décoratifs cloisonistes et japoniants (paravents, panneaux muraux, plafonds peints) de Bonnard, Vuillard, Maurice Denis, KX Roussel etc...
Rendez-vous : 19 rue de Vaugirard.
20 pers. Maximum.
Sur inscription au 01 43 07 09 69, confirmée par l’envoi du règlement. 11€+entrée
Avant-programme :
Vendredi 5 juillet
15h :hôtels particuliers, ateliers d’artistes et maisons closes du quartier de l’Europe, sur les traces de Manet, Caillebotte, et Zola.
Rendez-vous : Métro Europe.11€
Samedi 6 juillet
15 h : le village des Batignolles, et la cité des fleurs, sur les traces des peintres impressionnistes et des écrivains: (Mallarmé, Zola, Manet, Sisley, Bazille). Rendez-vous : métro Rome.11€.
Lundi 8 juillet
15h : salon impérial, chapelle et jardin de la fondation Eugène-Napoléon, ou « le collier d’Eugénie ». Et cour de l’industrie restaurée
Architecture d’Hittorff (1856), mobilier, portraits de Napoléon III et Eugénie, fresque de Barrias, histoire de la « maison du collier ».
Rendez-vous. 254 rue du faubourg-Saint-Antoine. 11€+entrée. Carte d’identité. Inscription. Au 01 43 07 09 69 .
Roman d'été : Un Silence brutal de Ron Rash présenté par Antoine Eminian
Un roman à lire : Un Silence brutal de Ron Rash présenté par notre critique littéraire Antoine Eminian.
Merci Antoine pour cet article, comme toujours remarquable.
Bonne lecture à tous!
Ron Rash, né en Caroline du Sud en 1953, titulaire d’une chaire à l’Université, écrit des poèmes, des nouvelles et des romans. Son premier roman paru en France en 2009, Un pied au paradis, avait fait forte impression et Serena en 2011, l’imposera comme l’un des grands écrivains américains contemporains. Son nouveau roman, Un Silence brutal, vient tout juste de paraître.
Une bourgade dans les Appalaches, un coin perdu de Caroline du Nord entre rivière et montagnes, qui fut certainement jadis une imitation du Paradis. Ici tout le monde se connait depuis l’enfance. Les, le shérif n’est plus qu’à quelques semaines de la retraite mais ses derniers jours vont être bien difficiles à gérer quand Tucker, propriétaire d’un relais Nature et Pêche attirant de riches touristes en quête de truites mouchetées, accuse Gerald d’avoir empoisonné la rivière pour couler son entreprise. Le vieux Gerald, malade du cœur, un peu braconnier certes mais amoureux fou de ces poissons pleins de vie, aurait commis ce crime ? Becky, la poétesse, garde forestière éprise de nature, n’y croit pas et Les ne semble pas vraiment convaincu non plus…
Ron Rash est de retour avec un roman franchement superbe offrant de multiples motifs de satisfaction. Vous aimez la nature, vous serez comblé, la faune, la flore, l’air ambiant, les décors sont des cartes postales à rendre écologistes les plus réfractaires. Vous aimez les polars, celui-ci tient la route sans être particulièrement démoniaque non plus et pouvant convenir à tous les publics. Vous aimez les romans avec des personnages dont on s’entiche immédiatement, vous allez être servi car c’est le point fort de ce bouquin.
Roman à deux voix, Les et Becky en sont les protagonistes principaux. Elle et lui ont des passés chargés : Becky, l’homme de sa vie, terroriste écolo est décédé ; Les, sa femme l’a quitté avant de mourir. Chacun évoquera avec ses mots, ses moments de leurs vies d’hier ou de la timide idylle qui faillit les unir autrefois. Ron Rash associe à ces voix, un style d’écriture distinct, à l’identique de ces groupes de rock où les deux guitaristes jouant d’instruments de modèles différents peuvent mêler leurs solos tout en restant bien identifiable l’un de l’autre.
J’ai parlé de nature et de Paradis jadis, mais aujourd’hui, même en ces contrées reculées la drogue (la meth) fait des ravages. Un jeune adjoint du shérif écœuré rendra son insigne après un épisode sordide. Pourtant, Rash ne voulant pas noircir le tableau, en tire une belle image : sur un bout de terrain jonché d’immondices de drogués, seringues et autres joyeusetés, pousse une fleur rare… Le monde va de mal en pis, « Je vous jure, Les, c’est devenu tellement moche que je trouve pas les mots pour le dire, pas vous ? » Si Les n’en dit rien, lui le flic pragmatique et adepte du compromis, on devine que le monde d’hier n’est déjà plus sa préoccupation : il va boucler l’affaire d’une manière toute personnelle, favorisant le bon sens plutôt que la loi, et après… une autre vie commencera.
Un roman dont je me suis régalé, lu lentement pour ne pas arriver trop vite à l’épilogue. Un rythme légèrement traînant, des personnages très humains, c'est-à-dire fragiles et forts, hantés par le doute, des mauvais mais pas trop, des gentils mais pas complètement innocents, tous très attachants néanmoins.
« - On a tué des truites au sommet de la cascade, Les, des truites mouchetées, reprit Becky, dont la voix trahissait à présent davantage d’émotion. « Je suis montée là-haut avec Gerald pour les observer, cet automne. Si tu nous avais accompagnés, ce matin-là… oui, tu saurais que ça ne peut pas être lui. Ces truites mouchetées, Gerald ne voulait pas les prendre pour les manger. Il voulait tout simplement qu’elles soient là, et qu’elles y restent, poursuivit-elle d’une voix qui se brisait. Si tu avais vu comment il les regardait, Les, il les aimait. »
Ron Rash Un Silence brutal Gallimard La Noire - 257 pages –
Traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Isabelle Reinharez
POLAR
COUP DE CŒUR
Jeanne vous invite à l'expo de son époux LIBERTO ROSIñOL dit LLIBERT
Jeanne Rossinol qui a travaillé longtemps au Bhv, nous envoie ce mail d'invitation pour l'expo de 75 tableaux de son mari . Elle serait heureuse que cette invitation soit diffusée au réseau. Elle vous remercie de votre passage.
11 au 31 MAI 2019
CENTRE D'ART LES EGLISES
Esplanade de La Légion d'Honneur 77500 Chelles
Mercredi, jeudi, vendredi 10h à 12h30 / 14h à 17h
Samedi, dimanche et jours fériés 15h à 18h
LIBERTO ROSIñOL dit LLIBERT 1931 - 2005
Le Centre d’Art Les Eglises accueille le travail du peintre Liberto Rosiñol, pour une exposition monographique. A la fois inspiré et passionné, Liberto Rosiñol dit Llibert s’inscrit dans une pratique entière et généreuse. Ses peintures que l’on pourrait qualifier d’influence postimpressionniste sont également proches des mouvements pointilliste ou fauviste sans jamais se laisser aller jusqu’à l’abstraction.
Son travail est reconnaissable par les traits épais qui se confondent avec les touches.
L’ensemble se superpose et ne se mélange jamais tout à fait. Permettant par là une dominante de la couleur sur la forme, il laisse une large place à l’émotion.
La lumière qu’il génère, inonde et irrigue chacun de ses tableaux.
À une époque où les avant-gardes font rage, Liberto s’installe dans une approche sincère et constante de la représentation. Il ne se résoudra pas à délaisser la figuration et continuera de proposer une touche picturale singulière, honnête. Ne débordant jamais du cadre, il peint en se focalisant sur ce qu’il ressent, et tente de nous transmettre cette intensité par son medium de prédilection.
La peinture devient son message : « Jo pinto i prou » comme disait Isidre Nonell, « je peins et puis c’est tout ». D’abord comme une évidence Liberto s’essaie à l’art, ensuite comme une réponse il finit par s’engager totalement dans la carrière artistique. Comme dans une quête il poursuit un cheminement autant esthétique, spirituel que symbolique.
En perpétuelle recherche Llibert entamera un voyage initiatique à travers l’Europe d’après-guerre afin de goûter à l’effervescence artistique. Dans son approche il n’a eu de cesse de continuer à créer jusqu’à la fin. Ce n’est peut-être pas un hasard, s’il porta le prénom « Llibert » et qu’il nous rappelle par-là, à quel point l’art relève d’une pratique de la liberté.
Vernissage le vendredi 10 mai à 19h