Eté 2016 à Paris avec notre guide Didier Bouchard
Ville de Paris, Ville touristique, Paris ensoleillée, Paris si jolie l’été, et si distrayante à découvrir avec notre guide : Didier Bouchard.
Parisiens ou Provinciaux de passage à Paris ce programme est pour vous.
Conférences Didier Bouchard
Conférencier national, diplômé de l’institut d’art et d’archéologie de la Sorbonne
Ancien élève de l’école du Louvre
Boite 17, bât. D,
8, rue Cannebière
75012 paris.
Tel: 01.43.07.09.69.
Dimanche 31 juillet
15h pavillons fleuris des « Carrières d’Amérique », et villas art-déco autour des Buttes Chaumont. Le plus vaste quartier pavillonnaire de paris, à deux pas des Buttes Chaumont.
Rendez-vous. Métro Danube. 11€. Inscription au 01 43 07 09 69
Vendredi 5 août
15h une visite par an : les salons de l’Hôtel de Ganay (intérieurs):un palais de la belle époque près des Champs-Elysées, et son quartier.
Rendez-vous. Angle av. George V et rue de la Trémie. Carte d’identité.11€. Inscription au 01 43 07 09 69
Samedi 6 août
15h le village des Batignolles, sur les pas des Impressionnistes et de leurs amis : (Monet, Bazille, Sisley, Zola, Mallarmé), et la cité des fleurs. Rendez-vous. Métro Rome. 11€. Inscription au 01 43 07 09 69
Dimanche 7 août
15h Ménilmontant insolite, au fil des hameaux fleuris et des jardins
Insoupçonnés : la maison des saint-simoniens, le pavillon carré de Beaudouin
(1771), la Bellevilloise, l’immeuble Borel, le passage des soupirs…
Evocation de Jean-Jacques rousseau et des frères Goncourt.
Rendez-vous. Métro Gambetta, sortie côté rue des Pyrénées. 11€
sur inscription au 01 43 07 09 69
Jeudi 25 août
14h visite intérieure de l’Hôtel de Lauzun (1660), plafonds peints, lambris dorés. Le plus beau décor 17ème de paris.
Rendez-vous. 17 quai d’Anjou. 11€+entrée.
(Nombre limité) inscription au 01 43 07 09 69
Vendredi 26 août
15h un chef-d’œuvre art-déco restauré : le Collège néerlandais (1929, classé M.H.), et d’autres salons fermés au public dans la cité internationale universitaire. (Salon indochinois, tapisseries d’Aubusson…)
Rendez-vous : Devant le 57 boulevard Jourdan. 11€+entrée. Carte d’identité.
Inscription au 01 43 07 09 69
Samedi 27 août
14h30 chapelle et parc du couvent de Picpus, cimetière révolutionnaire, tombeau du marquis de la Fayette.
Rendez-vous. 35 rue de Picpus. 11€+entrée. Inscription au 01 43 07 09 69
Dimanche 28 août
15h nouvelle église russe, folies Art-nouveau et palais de la Belle époque au gros-caillou et au champ-de-mars. (Immeubles art-nouveau de jules Lavirotte, l’ancien dépôt des marbres, les écuries impériales, évocation de m. Proust et p. Morand.)
Rendez-vous. Angle rues saint-Dominique et Sédillot.11€.
Inscription au 01 43 07 09 69
Vendredi 2 septembre
15h parties fermées au public de la Sorbonne, salons du rectorat, grand-amphithéâtre, chapelle et tombeau de richelieu ; puis découverte d’un collège méconnu. Rendez-vous. 46 rue Saint-Jacques. 11€+entrée.
Sur inscription au 01 43 07 09 69. Carte d’identité
Samedi 3 septembre
15h le village des Batignolles, sur les pas des impressionnistes et de leurs amis (Monet, Bazille, Sisley, Zola, Mallarmé), et la cité des fleurs. Rendez-vous. Métro Rome. 11€. Inscription au 01 43 07 09 69
Dimanche 4 septembre
15h atelier d’artistes et villas art-déco du quartier Montsouris : sur les traces de Foujita, Braque, Derain, Soutine, Henry Miller. Architectures d’auguste Perret et le Corbusier.
Rendez-vous. RER cité-universitaire. 11€ inscription au 01 43 07 09 69
Lundi 5 septembre
15h jardins et salons des Hôtels de Varangéville et Amelot, escalier de l’Hôtel de Tavannes, promenade vers l’atelier de Gustave Doré. (Une visite par an)Rendez-vous. 217, boulevard saint-germain. 11€.
Carte d’identité et sur inscription au 01 43 07 09 69
Mardi 6 septembre
15h une adresse de Talleyrand, salons et jardin de l’Hôtel de Galliffet (1785), ancien ministère des relations extérieures.
Evocation de Bonaparte et de Mme de Staël.
Sur inscription au 01 43 07 09 69
Vendredi 9 septembre
15h visite de la fondation Jérome-Seydoux-Pathé .façade sculptée par Rodin (1869), bulle de verre, aluminium et bois de Renzo Piano. (2014).appareils anciens, et affiches des débuts du cinéma. Exposition des récentes acquisitions de la fondation. Accès à la coupole.
Rendez-vous, devant le 73 av. Des gobelins. 11€+entrée donnant droit à une séance de cinéma. A 19h.nombre limité. Inscription : 01 43 07 09 69
Jeudi 22 septembre
Rouen : à 14h30 exposition « scènes de la vie impressionniste au musée des beaux-arts (Manet, Monet, Renoir, Cézanne, Bazille, Caillebotte) à 16h : chefs-d’œuvre de la collection permanente (Caravage, Velasquez, poussin, Géricault, Sisley).15€+entrée.
Sur inscription au 01 43 07 09 69.
Mardi 4 octobre
14h30 visite de la fondation Jérôme-Seydoux-Pathé .façade sculptée par Rodin (1869), bulle de verre, aluminium et bois de Renzo piano. (2014).appareils anciens, et affiches des débuts du cinéma. Exposition des récentes acquisitions de la fondation.
Accès à la coupole. Rendez-vous. devant le 73 av. Des gobelins. 11€+entrée donnant droit à une séance de cinéma. A 16h.nombre limité. Inscription : 01 43 07 09 69
Jeudi 6 octobre
14h30 forteresse de Château-Gaillard, églises et maisons anciennes du petit Andelys. Musée Nicolas Poussin
Quelques places sur inscription au 01 43 07 09 69, confirmée par l’envoi du règlement
15€+entrée (quelques places en autocar au départ de paris à 13h. Se renseigner)
Avant programme : expositions
23-11 à 15h45 Rembrandt intime (musée jacquemart-André)
6-12 à 15h Monet, Hodler et Munch (musée Marmottan).
20-01-2017 : 16h30 Fantin-Latour (musée du Luxembourg)
11€+entrée.
Sur inscription au 01 43 07 09 69, confirmée par l’envoi du règlement.
Le Bibi du BHV par Gérard Bonnimond
Profitons de cette période anniversaire du BHV, pour rappeler un sympathique souvenir !
Nous sommes dans les années 1950- 1960 et plus ?, et si l’un d’entre vous peut nous éclaircir sur les dates, nous en serions ravis.
Gérard se souvient et nous raconte….
Merci Gérard pour ta participation à la mémoire du BHV.
C’est une des plus belles campagnes publicitaires que le magasin ait organisée.
Trois semaines avant le début de la vente, une équipe distribuait dans tout Paris, à la sortie des métros, devant les gares, un prospectus avec comme seule indication : « Le BIBI », sans donner aucune explication sur le sujet, sur le papier distribué !
Le jour J, une grande campagne d’affichage se déclenche avec en photo, le : « Bibi » du BHV : C’est un magnifique lapin gonflable façon « Walt Disney »
Durant la saison jouets, tous les samedis, des vedettes venaient signer les « BIBI » au BHV. J’ai eu pour ma part : Bourvil et Georges Guétary.
Des milliers de « BIBI » furent vendus.
A la vue du succès de cette opération, la Direction décida de relancer l’opération l’année suivante : Bibichou et Bibichette connaîtront à leur tour un triomphe !
Mais la troisième année, il y eut Toto du Texas : le petit cow-boy du Texas gonflable, jaune et noir, mais les parisiens n’ont pas aimé et ce fut un flop retentissant !
Le lapin est un symbole de gentillesse dans la culture populaire, on raconte des histoires et on chante les lapins.
A cette période, si Bibi lapin faisait partie de nos bandes dessinées, Mac Do et les cow-boys n’avaient pas encore franchi le seuil français !
L'hibiscus pourpre par Antoine Eminian
Vous ne savez pas quel livre emporter dans vos bagages! Demandez à Antoine, il vous conseillera...
Nous lui faisons confiance pour ce livre : "L'hibiscus pourpre"!
Et si vous aussi, vous avez une recommandation littéraire, ou un joli voyage en France, en Europe ou ailleurs, n'hésitez pas à nous en faire part aussi!
Merci Antoine de ta participation et de cette recommandation sur ce roman poignant traité avec finesse.
Les vacances approchent ou sont là, vous avez plus de temps disponible pour la lecture, je vous propose un excellent roman, qui plus est dans une collection de poche, pour un investissement faible et un gain de place certain dans vos bagages : « L’Hibiscus pourpre » de Chimamanda Ngozi Adichie.
J’ai découvert cette écrivaine nigériane il y a quelques mois seulement – malgré sa renommée internationale avérée – et je me suis pris une grosse claque ! J’ai lu deux de ses romans, « Americanah » et cet « Hibiscus pourpre » qui sont bons tous les deux, mais je préfère celui-ci. Alors si le cœur vous en dit, en route pour l’Afrique !
Chimamanda Ngozi Adichie est née en 1977 au Nigeria. A l’âge de 19 ans, elle quitte son pays pour les Etats-Unis, d’abord à Philadelphie puis dans le Connecticut afin de vivre plus près de sa sœur. Elle poursuit là ses études en communication et en sciences politiques et en 2001, elle y décroche son diplôme universitaire avec mention avant d’achever ensuite un master en création littéraire à l’université Johns Hopkins de Baltimore en 2003. Auteur du roman très remarqué, « Americanah » ainsi que d’un essai, « Nous sommes tous des féministes », son premier roman, « L'Hibiscus pourpre », paru en 2003, vient d’être réédité en poche.
La narratrice, Kambili, à peine seize ans, vit dans une famille nigérienne aisée, entourée de sa mère, de son frère aîné Jaja et de son père Eugene, patron d’usines et d’un journal mais aussi et surtout catholique fondamentaliste, très respecté dans la communauté d’Enugu, leur petite ville où il dispense ses largesses. Si Kambili a une vie de privilégiée, son quotidien n’est pas facile pour autant car le père mène la maison d’une main de fer, dictée par ses croyances religieuses faisant régner la peur et bien qu’il aime ses enfants, il n’hésite pas à employer la violence pour les punir du moindre écart. Un jour, les circonstances amènent Kambili et Jaja à passer quelque temps chez la sœur de leur père, Tatie Ifeoma, une universitaire, et ses trois enfants. Ils vont y découvrir un autre monde riche en enseignements pratiques et moraux.
Précisons tout de suite que le bouquin ne démarre réellement qu’après une centaine de pages et l’entrée en scène de Tatie Ifeoma, donc si vous trouvez le début d’un intérêt mince, ne renoncez pas, la suite vous remboursera largement. Le roman est très frais, de cette fraicheur insufflée par la jeunesse en cours d’apprentissage de la vie - et prendre une jeune fille pour narratrice, ça marche à tous les coups.
Kambili et Jaja, habitués à la vie guindée et sévère prônée par leur père, se retrouvent plongés dans un environnement beaucoup plus libéral, où l’on rit, « Il y avait toujours des éclats de rire qui fusaient dans la maison de Tatie Ifeoma », où il n’y a pas de domestiques chacun participant aux tâches ménagères, où l’on peut discuter, mais aussi devoir faire avec le manque d’argent. Des journées sans emploi du temps strict, sans le poids de la religion, une liberté qui effraie et attire. Les deux enfants vont apprendre à connaître leur grand-père Papa-Nnukwu, paria aux yeux d’Eugene car il refuse la religion, préférant s’en tenir à ses croyances ancestrales.
Le roman de Chimamanda Ngozi Adichie traite de nombreux sujets. Celui de l’identité, leur père a adopté la religion des Blancs et leur mode de vie, jusqu’à leur langue (l’anglais) tandis que son propre père, un vieillard, est resté fidèle à son passé, sa culture, sa langue natale (ibo), entre les deux Tatie Ifeoma montre plus de pragmatisme. Kambili et Jaja confrontés à une autre vision du monde vont prendre leurs distances avec l’éducation donnée par leur père, s’émancipant du joug, tandis qu’en parallèle, la jeune fille va frémir, pour la première fois, au contact du Père Amadi, ce qui nous vaut de très belles pages pleines d’émotion. Autre questionnement, devant la situation politique du pays, doit-on rester et combattre ou bien partir ? « Les gens instruits s’en vont, les gens qui ont le potentiel pour redresser les torts. Ils abandonnent les faibles derrière eux. Les tyrans continuent de régner parce que les faibles n’ont pas la force de résister. Tu ne vois pas que c’est un cycle ? Qui va briser ce cycle ? »
Si la tonalité générale de l’écriture est douce, le fond l’est beaucoup moins par sa violence physique et morale, esquissée ou suggérée. L’auteur sait aussi glisser dans son texte, des références à la situation sociale et politique de son pays, l’essence qui manque, les queues à la banque, la corruption généralisée, le coup d’Etat et les violences contre les journalistes indépendants… Et la dernière partie du roman voit ce microcosme, la famille d’Eugene d’un côté et celle d’Ifeoma de l’autre, éclater dramatiquement, avant de se clore sur une note d’espoir qui demande à être confirmée.
Un très bon roman qui mérite le voyage.
« C’était ce que faisait Tatie Ifeoma avec mes cousins, me rendis-je compte alors : leur placer la barre de plus en plus haut dans sa façon de leur parler, dans ce qu’elle attendait d’eux. Elle le faisait tout le temps, confiante qu’ils pouvaient franchir la barre. Et ils la franchissaient. C’était différent pour Jaja et pour moi. Nous ne franchissions pas la barre parce que nous nous en croyions capables, nous la franchissions parce que nous étions terrifiés à la pensée de ne pas y arriver. »
Chimamanda Ngozi Adichie « L’Hibiscus pourpre » Folio - 400 pages –
Pour information, je vous rappelle que vous pouvez retrouver toutes mes chroniques littéraires sur mon blog
Blog d'Antoine
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Bon anniversaire au BHV pour ses 160 ans!
Le BHV a 160 ans … un quart de cette période à mon actif!…comme beaucoup de collègues. Cela me laisse songeur. Une foule de souvenirs me revient à l’esprit, tout comme pour vous les anciens du BHV et ce serait sympa de me faire parvenir vos souvenirs : l'implantation des rayons ou des expos...etc...
Exemple : 1963 et les premières nocturnes ou autre exemple : 1968… les grèves, les contrats d’extra à 40F. Le 3éme étage : le rayon Bâtiment avec la vente d’éviers, de portes, fenêtres, gouttières, carreaux de faïence, ou plastique Nony, Panolac, Polyrey, Formica… les revêtements adhésifs et plastique Skaï vendus au mètre, les revêtements de sol dalles Gerflex ou Nairn et lino Balamundi et moquettes…
Le meuble de cuisine… Tout cela a disparu depuis longtemps. La climatisation n’était pas installée et je me souviens de ce client qui par fortes chaleurs me dit : « Ma pauvre petite, comme cela doit être difficile de travailler avec cette chaleur ! »
Je pense à Jean-Claude Charmoy, Gérard Strobel, Paulette G, Bernard Bot..,Jean-Luc Lesueur, Jacques Bouloc, Gérard Bureau qui ont bien connu ce 3éme étage. Les rayons Ménage, Arts de la table étaient encore au RDC…
A l’occasion des 160 ans du BHV MARAIS, Vous pouvez visiter une exposition remarquable
Cette exposition patrimoniale est ouverte au public en libre accès jusqu’au 1er octobre 2016 à L’Observatoire, au 5e étage du magasin, du lundi au dimanche de 11h à 19 h.
En se plongeant dans les archives de l’entreprise, et en partenariat avec l’Institut National de la Propriété Industrielle et l’Institut National de l’Audiovisuel, la direction du patrimoine a conçu une exposition qui donne accès au public à des sources inédites.
A travers une scénographie ludique et interactive, l’exposition révèle l’histoire passionnante de Xavier Ruel, fondateur du BHV. (Je vous laisse relire sur ce même blog, toute l’histoire.)
et stop ! Je ne vous en dis pas plus !...
Allez découvrir cette exposition en famille, avec vos amis.
Plus qu’une simple exposition, c’est une invitation au voyage à travers l’histoire, les objets, et les écrits.
Lecteurs de ce blog, vous allez vivre une aventure surprenante au cœur d’un siècle d’or et vous les anciens du BHV, vous allez certainement apprécier et faire resurgir en vous des merveilleux souvenirs.
Je serais ravie d'accueillir vos impressions.
CD
Nous ferons peut-être un additif à cet article.
En attendant : tous mes remerciements à Stéphanie D (Patrimoine) et Antoine pour les éléments et photos ayant permis cet article.
Stade de Bordeaux et quart de finale !
Je ne viendrais pas vous parler du Match en quart de finale : Allemagne-Italie !
Vous l’avez sans doute vu !... Mais le stade !...
Très beau stade ! Pour moi, qui m’intéresse plus à l’Art qu’au Foot, c'est une pure merveille !
Ce nouveau stade, achevé au printemps 2015 à Bordeaux, se situe à l’entrée nord de la ville, bien placé au cœur de la verdure. Construit sur 18 ha (600 arbres plantés), il jouxte le bois de Bordeaux 80 ha et le parc floral de 30 ha.
C’est le 5éme stade par sa taille en France, il est prévu pour 42 000 places modulables, bien moins que St Denis avec 81 000 places ou Lyon 59 000 places.
Cela lui confère une allure de stade à dimension humaine.
Il est rectangulaire : 233 m de long, et 210 m de large, un toit qui permet une acoustique parfaite et aussi la protection du public.
Ce stade multifonctionnel permet d’accueillir des événements sportifs divers : équestres, rugby, moto, cyclisme. .. Des concerts et des spectacles.
Admirez sa forme rectangulaire, sa légèreté avec ses colonnes qui s’élancent vers le ciel.
Certains diront : comme une forêt de pins et d'autres comme les piliers d'une cathédrale.
Il remplace l’ancien stade Lescure (Chaban-Delmas), construit sur les boulevards au centre de Bordeaux en 1938.
Ci-dessous les photos: un peu "rétro"!
A regarder la télé, ce nouveau stade « Matmut-Atlantique » du nom de son sponsor, a donné l’impression de faire le plein.
(Hélas, je n’ai pas eu l’occasion de le visiter intérieurement.)
Nous resterons donc sur les images de ce match... qui ne m'ont pas franchement emballée !
L'Allemagne s'est qualifiée pour les demi-finales aux tirs au but !... A suivre...