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Sorties à Rouen, Pontoise Paris avec notre conférencier Didier Bouchard
Nous sommes heureux d'avoir le nouveau programme de visites guidées de Didier Bouchard.
Vous avez tellement envie de sortir, voir du nouveau...Votre curiosité a été brimée ces derniers mois avec le confinement... Alors ... Découvrez! Profitez !
CD
Didier Bouchard : Conferences.bouchard@orange.fr
Conférencier national, diplômé de l’institut d’art et d’archéologie de la Sorbonne, Ancien élève de l’école du Louvre
Boite 17 bât. D, 8, rue cannebière 75012 Paris. Tel: 06 43 63 35 73
Mercredi 30 septembre
14h à Rouen, l’exposition François Depeaux, et quelques œuvres de la collection permanente du musée des beaux arts.
Quelques places, sur inscription au 06 43 63 35 73, et sous réserve de confirmation.
18€ + entrée
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Jeudi 15 octobre
14h30 le musée Pissarro (œuvres de Camille et Lucien Pissarro et de leurs amis, à Pontoise, et la cathédrale saint-Maclou (importante mise au tombeau Renaissance) visite reportée, groupe complet.
18€+entrée .Inscription sur liste d’attente au 06 43 63 35 73.
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Vendredi 16 0ctobre
15h15 : le musée Rodin de Meudon dans la villa " Les Brillants ": vaste ensemble de sculptures de Rodin, mobilier, tableaux, jardin et tombeau de Rodin et de Rose Beret.
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Rendez-vous :sur inscription au 06 43 63 35 73.
Tarif 16€+entrée. (Accès : RER C, Meudon-Val-fleuri)
Lundi 19 octobre
15h : le tout nouveau «Beaupassage» et l’ancien couvent des récollettes, le jardin Catherine Labouré, l’ancien hôpital Laennec restauré côté jardin, et les Lazaristes de la rue de Sèvre (tombeau de st Vincent de Paul).
Rendez-vous : 53-57 rue de Grenelle (par le métro, rue du Bac).
11€ . Sur inscription au 06 43 63 35 73
Jeudi 22 octobre
14h30 : le musée de l’île de France réouvert dans le château de Sceaux restauré, et le pavillon de l’Aurore. Évocation des Colbert, père et fils.
Château restauré, nouveau jardin à la française, fresque de Le Brun.
Mobilier empire du château de Neuilly, tableaux d’Hubert Robert.
16€+ entrée. Sur inscription au 06 43 63 35 73 et sous réserve de confirmation
Vendredi 23 octobre
15h: Au château de Vincennes: exposition Henri II, un roi de guerre, Sainte-Chapelle restaurée, donjon royal, pavillon du roi restauré (ext.).
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Rendez-vous : sortie métro château de Vincennes, côté château.
11€+entrée. Sur inscription au 06 43 63 35 73
Lundi 26 octobre
15h une visite par an : jardins, cour et (sous réserve) salons des hôtels de Varangéville et Amelot.
Puis l’atelier de Gustave Doré (ext.) Inscription au 06 43 63 35 73
Rendez-vous : .devant le 245 boul. Saint-germain.
11€. Carte d’identité.
Vendredi 30 octobre
9h40 : exposition Turner au musée Jacquemart-André.
(Unique visite)
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Rendez-vous : 158 boul. Haussmann11€+entrée
Sur inscription au 06 43 63 35 73,
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Samedi 7 novembre
15h15 le château de Saint-Ouen : une villa palladienne aux portes de paris. Evocation de zoé du Cayla, la dernière des favorites.
Et de l’affaire Favras : le secret de Louis XVIII.
12€. Sur inscription au 06 43 63 35 73 et sous réserve de confirmation
Mardi 17 novembre
14h30 cloître-mémorial de l’incendie du Bazar de la Charité, chapelle néo-baroque et, (sous réserve), cathédrale Arménienne.
Rendez-vous : .23 rue Jean Goujon.
11€+entrée. Sur inscription au 06 43 63 35 73
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Mercredi 18 novembre
15h à Boulogne : le musée Paul Belmondo dans une folie 18ème, le château Buchillot, puis l’histoire du château Rothschild, dans le parc Rothschild et son jardin anglo-chinois. Rendez-vous : .14 rue de l’Abreuvoir à Boulogne.
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11€+entrée. Quelques places sur inscription au 06 43 63 35 73
Vendredi 20 novembre
14h30 la chapelle expiatoire, chef-d’œuvre néo-classique, et ses statues de Louis XVI et Marie-Antoinette. Nouvelles découvertes sur le cimetière de la Madeleine. Rendez-vous : 29 rue Pasquier.
11€+entrée. Sur inscription au 06 43 63 35 73
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Mardi 1er décembre
15h : exposition Cézanne et les maitres italiens, au musée Marmottan.
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Rendez-vous : .2 rue Louis Boilly.
Quelques places, sur inscription au 06 43 63 35 73. 11€ + entrée. (15 pers.)
Janvier 2020 (date en attente de confirmation)
15h45 exposition « la vie moderne » au musée d’Art-Moderne de la ville de Paris. (Nouvel accrochage, histoire du musée, classiques moderne de Derain, Picasso, Braque, Delaunay, Foujita, etc. Puis la fée électricité de Dufy.
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Rendez-vous : sur inscription au 06 43 63 35 73, (11€ +entrée)
En ballade à Vaux le Vicomte... 4 L'intérieur...deuxième partie.
Un dernier épisode de ce superbe château .... Histoire de vous changer les idées et vous faire revivre un mélange de mythologie et d'Histoire ...
L’antichambre d’Hercule
Au mur la 6e tapisserie d'Aminte et Sylvie dont je vous ai déjà parlé, et le tableau du Duc du Luxembourg sur son cheval
On voit une fois de plus que la mythologie est à la mode à cette époque
Ici plafond, murs décoration : Tout est sur le thème d’Hercule !
On adorera les sculptures admirables de bronze (A.L Barye) qui représentent Hercule terrassant Acheloos * et Hercule vainqueur de Nessus**
*Acheloos ou Achélous, fils du soleil et de la Terre, vaincu par Hercule, il prit la forme d'un serpent, ensuite celle d'un taureau, mais Hercule le prit par les cornes et lui en arracha une. Depuis ce temps il dut se cacher dans le fleuve Thoas. Les naïades remplirent la corne du vaincu de pétales de fleurs et en firent la CORNE D'ABONDANCE !
** Quand à Nessus qui voulut violer la femme d'Hercule, Dejanire, il reçut par une flèche empoisonnée dans la cuisse envoyée par Hercule
Sur la cheminée : la statue en marbre de Neptune.(Dieu des eaux et de la mer)
Un tableau de Lazzaro Baldi : Agar chassé par Abraham (récit biblique)
Mais le plafond du Triomphe d’Hercule accueilli à Olympe, après avoir réussi les 12 travaux, de Charles Lebrun symbolise la force et la réussite de Nicolas Fouquet.
Dans les angles sont représentés 4 des 12 travaux : comme le lion de Némée sur cette photo
La Bibliothèque
Au fond, la tapisserie portière : " La portière des renommées", avec l’emblème de la famille Fouquet : l'écureuil.
Voir le détail, ci-dessous. On s'arrêtera au passage pour regarder ce superbe bureau, à six pieds. (André Charles Boule)
Le plafond
Passons à la chambre du Roi
il est d’usage de prévoir la chambre du Roi dans les châteaux du 17 e.
, peut-être reviendra t’il ce soir?
Statue équestre de Louis XIV, tableau équestre du roi
le même en habit de sacre, ainsi qu’Henriette d’Angleterre, sa cousine.
Le plafond de Le Brun : La vérité soutenue par le temps ou le "Triomphe de la Vérité"
Au centre, on y voit une jeune femme enlevée par un vieillard ailé portant une faux (le temps)
Les 4 demi-cercles qui l'entourent représente à droite Mercure ou la vigilance, en bas Jupiter ou la Puissance à gauche l'abondance ( Mars ou la valeur n'est pas présent sur cette photo)
Le cabinet du Roi :
Cabinet en marqueterie d’étain et d’ivoire sur ébène et un buffet d’exception !
Portrait du roi Louis XV
Ici, le portrait allégorique de l’épouse du Maréchal de Villars.
C'est le Maréchal de Vilars qui racheta le domaine de Vaux à la veuve de Nicolas Fouquet . Mais il n'y fit rien pour l'améliorer.
Puis César Gabriel de Choiseul, marquis de Choiseul puis Duc de Praslin se porta acquéreur, mais n'y fit rien non plus
plafond sculpté
Une photo de la cheminée où sur la plaque, figure au centre l’emblème de Nicolas Fouquet avec l’écureuil
Décors de la salle de Bain
Nous découvrons la salle à manger ou salle des buffets
Émerveillement du sol au plafond
Le buste est celui de Charles Lebrun
Nous descendons au sous-sol et nous entrons dans les cuisines ;Tout ce qu'il faut pour préparer: pain confiture, produits de la chasse et grande cuisine!
La table du personnel et la cave.
Enfin, avant de nous quitter, une représentation historique du masque de fer qui fut le voisin de cellule en prison de Nicolas Fouquet à la forteresse de Pignerol.
Le Château de Vaux-le-Vicomte, est aujourd’hui la propriété de la famille de Vogüé.
Lors d’une vente aux enchères en 1875, Alfred Sommier riche industriel dans les sucreries, se porte acquéreur du domaine de Vaux-le-Vicomte.
Il épouse en 1872 Jeanne de Barante, fille d’un baron.Ils auront trois enfants
Edmé Sommier qui épouse en 1902 Germaine Casimir-Périer , fille de JC Perier, président de la République française de 1894 à 1895.
Lucie Sommier qui épouse en 1897 Robert de Vogüé dont les enfants perpétueront la réhabilitation du domaine.
Alexandre Sommier, meurt hélas, très jeune
Alfred Sommier fait réaliser les travaux importants de restauration du domaine, laissé à l’abandon pendant 30 ans, afin de retrouver son âme initiale.
L’ouverture est faite au public en 1968, grâce à Patrice de Vogüé,
Il est décédé à l'âge de 91 ans le 26 mars 2020.
La cinquième génération: en 2012 Jean-Charles et Alexandre de Vogüé succèdent à leur père à la direction du domaine. En 2015, Ascanio de Vogüé, rejoint ses frères et le château.
Souhaitons que ses 3 enfants s'entendent pour conserver et entretenir une telle splendeur!
Félicitations à cette famille!
Je vous quitte sur cette dernière partie de Vaux le Vicomte et j'espère avoir donné l'envie aux parisiens et provinciaux de passage en Île de France, de venir visiter ce beau domaine .
A bientôt !
CD
En ballade à Vaux le Vicomte... 3 L'intérieur...première partie.
L'intérieur du Château est magnifique. Tant de splendeurs méritaient que nous prenions notre temps pour le visiter. Donc, nous n'aborderons qu'une partie et la suite de la visite est prévue par un prochain article!....
Il est étonnant de découvrir le contraste entre la rigueur et la sobriété extérieure du Château et le faste et le luxe des décors intérieurs. On est émerveillé par les plafonds !
Entrons au rez-de-chaussée dans le grand salon d’apparat, qui donne sur les jardins. Le décor de la coupole ovale est plein de légèreté : un ciel où vole un aigle.
Entre les fenêtres de l’étage supérieur, vous admirerez les cariatides (Girardon) représentant les 12 signes du zodiaque;
au RDC, sur des colonnes divers empereurs.
Entrons dans l'Antichambre du surintendant Fouquet.
Le bureau est en marqueterie de cuivre et d’ébène.
Le cabinet d’ébène (estampillé Jean Macé), très en vogue au XVIIe siècle contient des tiroirs secrets !
Le tableau de la princesse éthiopienne Androméde sauvée par Persée, dont elle deviendra l'épouse...
Tableau (campagne) Paysage : David et les trois héros.(Claude Gellée)
Et enfin ci-dessous : Vénus et l’amour
Le Cabinet du surintendant
Cette pièce permettait au surintendant Fouquet de se retirer pour y travailler
Dans un angle : cette statue en bronze patinée : l’Orant ou l’Ephèbe (jeune garçon en prière) dont l’original est présent dans un musée de Berlin.
Son bureau en marqueterie, la pendule de voyage ,
sur la cheminée le buste de Sénèque. (Philosophe romain du 1 er siècle) dont nous citerons au passage :
"c'est la vie qui nous apprend et non l'école" ou le plus grand obstacle à la vie est l'attente qui espère demain et néglige aujourd'hui"
Au dessus de la cheminée, une copie du tableau : « la Fidélité coupant les ailes à l’amour pour qu’il ne s’envole pas» portrait de la seconde épouse de Nicolas Fouquet peint par Le Brun
Quelle finesse aussi ce cabinet en ébène noir.
Nous arrivons dans la chambre du surintendant
les 120 tapisseries d’origine fabriquées dans le village voisin furent confisquées par le roi.
Nous retrouvons ici quelques copies fabriquées aux Gobelins.
Grande admiration pour ce plafond !
Tableau du Sépulcre de T Bigot
Et s’il revenait !... tout est prêt !
Les appartements de Madame Fouquet
Marie Madeleine de Castille la seconde femme du surintendant Fouquet s'y reposait.
Cette chambre devint pour les propriétaires suivants : la chambre d'invités pour le Maréchal de Villars ou des ducs de Pralins avant de devenir chambre d'enfants dans la famille Sommier
Le cabinet en écaille rouge, orné de 3 potiches et 2 vases japonais du 18 e et au dessus, un beau miroir.
Sur la cheminée la pendule forme tête de poupée en écailles de tortue, ébène, bronze et laiton
Son lit de repos de jour.
Un tableau superbe, « l’annonce faîte à Manué » (par Le Brun).
Le cabinet de Jean de la Fontaine
Ce poète fut un grand ami de Nicolas Fouquet , il composa "Adonis" en 1658 (590 alexandrins sur les amours de Vénus et d'Adonis le chasseur évoquant la fragilité du bonheur humain; le songe de Vaux ( l'auteur nous raconte le Dieu sommeil endormi dans son palais entourés de pavots et une multitude de songes personnifiés.) ce long poème restera inachevé. Elégie aux nymphes de Vaux, où il cherche à défendre Fouquet auprès du Roi Louis XIV, ce dernier lui en voudra et "cassera " sa carrière, puis il devint fablier et conteur et perdra sa fortune.
"Nymphes, qui lui devez vos plus charmants appâts,
Si le long de vos bords Louis porte ses pas,
Tâchez de l'adoucir, fléchissez son courage.
Il aime ses sujets, il est juste, il est sage ;
Du titre de clément rendez-le ambitieux :
C'est par là que les rois sont semblables aux dieux."
Le buste en terre cuite du fablier (JA Houdon) et regardez au fond la représentation de fable de La Fontaine dont le corbeau et le renard à votre gauche ou le loup et la cigogne à droite.
La chambre Louis XV coffre en laque de Chine... Une pendule dite « Cartel »
La chambre Louis XVI. Le portrait est celui du Duc de Praslin.
La chambre carrée est impressionnante pour celui qui aime les tapisseries. Elles racontent l’Histoire de Diane.
Le buste en marbre : Louis XIV ( du sculpteur Le Bernin) .
et ci-dessous celui en bronze : le cardinal de Richelieu.
La chambre des muses du nom des neuf muses peintes au plafond; Vous y verrez Clio,
dans le cercle central : " le triomphe de la Fidélité." peint par Le Brun.
Elle représente la Fidélité de Fouquet à Mazarin (donc au Roi) pendant la Fronde/
(Au centre cette femme en blanc : La Fidélité, accompagnée de la Prudence,; Minerve, une lance à la main incarne la Vertu; soutenue par Clio en orange, muse de l’Histoire.
Les 8 autres muses se trouvent autour, comme celle-ci, muse de la comédie facilement reconnaissable par le masque qu'elle tient à la main !
Les 5 tapisseries racontent l’histoire d’Amyntas et de Sylvie :
Drame pastoral écrit par l'Italien le Tasse en 1573 : Aminte
Le livre, narre les aventures de deux héros, élevés ensemble. Amyntas, petit-fils du dieu Pan, aime Sylvie, petite-fille du fleuve. Il croit que Sylvie a été tuée à la chasse par des loups. De désespoir, Il songe à se suicider. Sylvie vivante pense qu'Amyntas s'est jeté du haut d’un rocher. L’histoire s’achève bien les deux amants se retrouvent
Beau Cabinet en ronce de noyer.
un détail de la chambre des muses
Le Cabinet de jeux
Salle de jeux avec cartes, jacquet, billard : "Trou madame", le lansquenet (ancien Black Jack)
Un plafond splendide : "le sommeil" de Charles le Brun
Qui inspirera J de la Fontaine ... extrait
« Les merveilles de Vaux me tiendront lieu d'Aminte :
Fait que par ces démons leur beauté me soit peinte.
Tu sais que j'ai toujours honoré tes autels ;
Je t'offre plus d'encens que pas un des mortels :
Doux Sommeil, rends-toi donc à ma juste prière. "
Et que voit-on par ces belles fenêtres, aux murs décorés...Les jardins de Le Nôtre, bien sûr !
Nous nous retrouverons très vite pour la suite de cette visite ... La Chambre d'Hercule...la chambre du roi, la bibliothèque, la salle à manger, les cuisines ..... Mais croyez-moi, dès que vous le pourrez, ne passez pas en région parisienne, sans visiter ce lieu mythique ! Trop beau !...
CD
En ballade à Vaux le Vicomte... 2 les jardins...
EXTERIEUR Les jardins
Je commencerai par le Dôme dont je ne vous ai pas parlé, car il offre une vue imprenable sur les jardins
Si vous visitez le château, allez au dôme
La charpente avec poutres en chêne et lattes en châtaignier est impressionnante, nous montons un petit escalier étroit jusqu’au lanternon où une vue extraordinaire s’offre à nous. 1 6 7 jardins et dépendances.
Difficile de vous exprimer une telle beauté ! Redescendons , voici le côté Nord par lequel nous sommes entrés !
Du haut du perron, côté sud, vous contemplez le paysage avec ces larges allées, ces parterres de gazon bordés de buis et de fleurs, plans d’eau où fontaines.... et hélas, lors de cette visite tous les bassins et jets d’eau n’étaient pas remis en action.
Nous restons admiratifs de ces jeux de perspectives, symétries, figures géométriques décorés de vasques, statues, d’arbustes persistants afin de nous offrir de la verdure toute l’année.
Les chiffres :
On se plait à avancer sur ces différentes terrasses, où naissent des bassins et des fontaines; des statues antiques, mythologiques, dieux et déesses se dévoilent pendant tout votre cheminement dans les jardins
Vous arrivez au canal invisible de loin,
vous le contournez pour découvrir les grottes avec encore des sculptures monumentales ou des Atlantes comme
Hercule au repos et Neptune
Les jardins de Vaux le Vicomte, œuvres de Le Nôtre.
Fils d'un jardinier de Louis XIII, il se qualifiait de « surintendant des jardins des Tuileries ». Il avait étudié la peinture avec Simon Vouet. La première manifestation de son œuvre fut Vaux le Vicomte avec cet art nouveau créé par lui.
Le goût artistique de Le Nôtre transforma les jardins. Il inventa le jardin à la française : belle composition où se mêlent des motifs décoratifs, de parterres, des bassins et des statues en marbre et en bronze d’animaux, de dieux ou des déesses.
S’il vous reste un peu de courage, vous marchez jusqu’à la statue d’Hercule !
Et puis, on se retourne pour penser au retour et, d’un coup d’œil, votre vue embrase avec un sentiment profond la splendeur et la grandeur d’un tel paysage avec le château au fin fond.
Versailles et les Gobelins sont d'inspiration de Vaux-le-Vicomte et de la création des tapisseries de Maincy.
Louis XIV, s’entoura pour construire et embellir Versailles des grands artistes de Vaux : Le Brun, Puget, Le Nôtre, Le Vau. Comme quoi, Nicolas Fouquet a contribué sans le savoir à développer chez le roi Louis XIV, le goût des arts.
Mme Fouquet, séparée de biens d'avec son mari, put racheter Vaux aux créanciers.
En 1705, à la mort de son fils, elle vend le château au maréchal de Villars qui négligea complètement les jardins de Vaux.
En 1764, Villars cède Vaux à Gabriel de Choiseul, duc de Praslin, qui ne fit rien non plus!
Heureusement pour Vaux et pour l’Art, un homme de bon goût, M. Alfred Sommier, en 1875, en devient le nouveau propriétaire.
Grâce à lui, le château redevient ce qu’il était au temps de Fouquet, à l'intérieur comme à l'extérieur.
Les cascades et les bassins, en état de ruines recouverts de broussailles, furent remis en eaux. Les jardins retrouvèrent des statues et des groupes de marbre.
L'héritier d'Alfred sommier est son fils Edmé . Cet homme meurt en 1945 sans héritier direct.
C'est donc le neveu Jean de Vogüé qui le transmet à son fils Patrice de Vogüé, qui vient de décédé le 26 mars 2020 . Ses enfants assurent à présent la gestion du Château.
Un petit tour du coté des dépendances que l'on peut visiter comme les équipages ! Il faut savoir que de nombreux films furent tourner dans ce château. (la Folie des grandeurs, la fille de d'Artagnan, James Bond : Moonraker, le Pacte des loups, Vidocq.... et bien d'autres)
Ainsi s'achève cette ballade dans les jardins de Vaux le Vicomte, mais nous nous retrouvons pour une superbe visite de l'intérieur du château, dans le prochain épisode.
Je chausse mes bottes de 7 lieues et à bientôt !.....
CD
En ballade à Vaux le Vicomte... 1 l'extérieur
Pendant cette période de confinement, je viens vous aérer par une promenade historique et artistique à Vaux le Vicomte. Je suis obligée de vous parler du surintendant des Finances de Louis XIV : Nicolas Fouquet, fondateur de ce superbe palais !
( Situé à 50 km au sud-est de Paris, proche de Melun.)
Le reportage étant assez long, je suis obligée de le diviser en 3 parties (peut-être 4)
VAUX-LE-VICOMTE est certainement un des châteaux les mieux réussis du XVIIe siècle. Son concepteur et propriétaire fut Nicolas Fouquet, le surintendant des Finances sous Louis XIV, dont nous apprenons dans les livres d’histoire de France, qu’en tant que Trésorier du roi, il dut relever le défi de redresser les finances publiques en banqueroute (après la guerre de 30 ans).
Né en 1615, cette nomination intervient en 1653.
L’homme : Politique, juriste, financier, intelligent, cultivé, galant, il aime le raffinement.
Nicolas Fouquet a toujours du goût pour les belles demeures. Il achète, à Paris, l'hôtel d'Émery, qu’il agrandit. De même, à Saint-Mandé, il achète une belle maison et en fait une résidence très élégante. Il y ajoute à des jardins remplis de plantes rares, et d'immenses serres où on compte plus de deux cents orangers.
1641 : Il a vingt-six ans lorsqu’il prend possession du domaine de Vaux, ayant hérité d’une grande fortune par son père( qui avait acheté ces terres de Vaux), et d’une autre fortune au décès de sa première femme.
1653: Nicolas Fouquet décide de transformer le manoir médiéval.
Mais tout commence en 1656, où il s’entoure d’hommes d’exception :
l’architecte Le Vau, le décorateur Le Brun, et le paysagiste Le Nôtre.



On peut penser qu’il a été leur collaborateur car Il revoit et corrige les plans, il y apporte sa touche personnelle en matière d’Art.
Cette œuvre ne lui a pas coûté, seulement une somme considérable, mais comme vous allez le lire un peu plus loin, il va le payer de ses biens, de son honneur et de sa liberté.
Cet homme soutient les Arts, les lettres, il sera très proche de Jean de La Fontaine. C’est un artiste, épris de tout ce qui est beau.
Avant de mourir en 1661, Mazarin a desservi le surintendant Fouquet dans l'esprit du roi.
Le roi Louis XIV n'a que 22 ans et décide de gouverner le pays.
Il oblige Nicolas Fouquet à utiliser Colbert, qui heureux d’avoir été remarqué par le roi n’a de cesse, à dévaloriser Fouquet, en mettant sous les yeux de Louis XIV les preuves des dilapidations et de l'irrégularité des comptes de Fouquet!
Aurait t’il confondu ses deniers personnels et fait bourse commune avec les finances de l'État ? Aujourd’hui on parlerait de détournement de fonds publics ! Nul ne le sait vraiment !
Il semble aussi que Fouquet avait adressé une lettre étrange à Louise de La Vallière, maîtresse du roi qui profondément blessée, aurait tout raconté au roi, qui fut très en colère et jaloux.
Le 17 août 1661, Nicolas Fouquet organise une grande fête pour le roi. Six mille invitations sont lancées. Louis XIV en arrivant est étonné de tant de splendeur. Il visite les jardins et reste très admiratif de la création de Le Nôtre; le souverain serait- il envieux de tant de réussite ?
Dix-neuf jours après la fête de Vaux, le 5 septembre 1661, la cour est rassemblée à Nantes pour la tenue des États de Bretagne; Nicolas Fouquet, souffrant y participe, et à la sortie du conseil, le mousquetaire d'Artagnan le fait arrêter sur ordre du roi.
Le procès dure trois ans. Au jugement, neuf voix le condamne à mort et treize au bannissement.
Fouquet méritait un châtiment, mais la colère du roi, les manœuvres de Colbert, les lenteurs et les péripéties du procès, ont concouru à retourner l'opinion et à gagner à l'accusé de la pitié.
Les juges ont voté le bannissement, mais le roi est au-dessus des lois et il décide que Nicolas doit être condamné à la prison.
Fouquet, alors âgé de cinquante ans, fut transféré au château de Pignerol, où il resta treize ans sans aucune communication avec l’extérieur. Il avait pour voisin de cellule le Masque de fer.
Il décède le 23 mars 1680 après seize ans de captivité, au moment où il semblait que sa grâce allait lui être accordée.
Si l'histoire a fait le procès du financier peu scrupuleux, les poètes et les artistes qui l’ont soutenu, protégeront à jamais sa mémoire.
Regardons ce château et ses jardins qui l'entourent : Quelle belle harmonie des lignes et quelle pureté du style.
Le jour où tout a commencé !
On rase le village de Vaux et deux hameaux qui en dépendent, on capte les eaux de la petite rivière d'Anqueuil pour faire le grand canal, et on creuse un réservoir de plus de deux mille mètres cubes dans la partie supérieure des jardins, pour alimenter les vasques, les jets d'eau, les miroirs...
Enfin Fouquet s'attache Le Brun qui arrivait d'Italie, pas seulement comme peintre mais comme décorateur et metteur en scène. Il conseille Le Vau et Le Nôtre, il donne les dessins des vasques et des fontaines, il fait les maquettes des statues, il dessine le modèle des ornements, entrant dans le détail d'une rampe d'escalier, d'une serrure, d'un tapis et d'un meuble.
Vaux fut bâti en cinq ou six ans
L'entrée est d'un aspect grandiose, avec sa première grille dont les pilastres sont formés par douze dieux taillés en façon de gaines de la plus grande allure.
Quand on se trouve dans l’avant-cour, nous voyons des grands fossés. Passons le petit pont et au fond, attardons nous sur la façade majestueuse du palais, le perron occupe toute la largeur de la seconde cour.
La façade Nord :
Le fronton est une pure merveille :
A gauche Apollon, Dieu de la musique et protecteur des Arts. A droite Rhéa, « mère des Dieux »
Les douves font tout le tour du château.
La façade sud est très belle, d'un goût épuré et simple, presque sans ornements.
Quatre statues sur la façade nous interpellent. Elles représentent les quatre vertus :
De gauche à droite : La patience, la vigilance, la Fidélité et la force (de Michel Anguier)
De chaque côté de la façade : 2 fois 2 bustes et sur le devant deux sphinx et deux statues féminines.
Nous nous retrouvons pour visiter les jardins, la semaine prochaine, puis nous visiterons l'intérieur dans un autre article; Ce château est un véritable musée de l'art du XVIIe-XVIIIe siècle...
A bientôt
CD
Visites guidées 1er semestre 2020 avec Didier Bouchard
Le 06/ 02 Réédition du programme suite à des modifications de dates et ajouts
( voir en rouge ci-dessous)
Nous sommes heureux de retrouver notre guide Didier Bouchard pour des visites guidées remarquables en ce 1er semestre 2020 à Paris. Regardez ce programme, il y en a pour tous les goûts artistiques. N'hésitez pas à le contacter, pour les parisiens et les provinciaux qui passent à Paris.
Conférencier national, diplômé de l’institut d’art et d’archéologie de la Sorbonne. Ancien élève de l’école du Louvre
Boite 17 bât. D, 8, rue cannebière 75012 paris. Tel: 06 43 63 35 73
Conferences.bouchard@orange.fr

Jeudi 9 janvier
15h exposition « le Douanier Rousseau, Séraphine, et les peintres naïfs » au musée Maillol.
Sur inscription préalable (accompagnée d’un numéro de téléphone) au 06 43 63 35 73.
RdV. 61 rue de grenelle. 11€+entrée
En cas de poursuite de la grève a la RATP, report possible à la dernière semaine de janvier

Vendredi 10 janvier
17h45 exposition El Greco, au Grand-Palais. Quelques places.
Se renseigner au 06 43 63 35 73

Mardi 14 janvier
15h30 exposition « le Douanier Rousseau, Séraphine, et les peintres naïfs » au musée Maillol.
Sur inscription préalable (accompagnée d’un numéro de téléphone) au 06 43 63 35 73.
RdV. 61 rue de grenelle. 11€+entrée .quelques places seulement

Mercredi 15 janvier
11h30 et 14h30 exposition « Degas et l’Opéra » au musée d’Orsay. (6 personnes maximum – et minimum) sur inscription préalable, au 06 43 63 35 73, et sous réserve de confirmation.
RdV. à l’entrée de l’exposition, billet pris.
12€+entrée
Samedi 25 janvier

15h l’atelier de Guillaume Dubuffe (musée Henner), et ses récentes restaurations. Un atelier de peintre mondain dans la plaine monceau, l’œuvre méconnue de Jean-Jacques Henner.
Salon mauresque, jardin d’hiver ; évocation de Sarah Bernhardt et de la belle Otéro.
RdV. 43 av. De Villiers. 11€+entrée 20 pers.)Quelques places, sur inscription au 0143070969
Mardi 28 janvier

15h30 les fastes de l’hôtel Gaillard (1882) et la cité de l’économie de la banque de France. Décors intérieurs (boiseries gothiques et renaissance en remploi, salle des coffres entourée de douves etc.) Et muséographie de Citeco + collection numismatique de la Banque de France. Il reste une ou deux places. Se renseigner au 06 43 63 35 73
11€+entrée
Samedi 1er février (sous réserve de confirmation)
15h le château de Saint-Ouen : une villa palladienne aux portes de paris (1821, décor intérieur). Evocation de Zoé du Cayla, la dernière favorite royale. L’affaire Favras : un secret de louis XVIII.
RdV. Sortie du métro mairie de Saint-Ouen, côté mairie.11€. Sur inscription au 06 43 63 35 73, accompagnée d’un numéro de téléphone
Mardi 4 février
15h45 exposition Luca Giordano, la gloire du baroque napolitain, au musée du Petit Palais.
RdV. Entrée des groupes. Quelques places sur inscription au 01 43 07 09 69, confirmée par l’envoi du règlement. 11€+entrée

vendredi 7 février (2éme visite
15h45 exposition Luca Giordano, la gloire du baroque napolitain, au musée du Petit Palais.
RdV. Entrée des groupes. Quelques places sur inscription au 01 43 07 09 69, confirmée par l’envoi du règlement. 11€+entrée
Vendredi 6 mars : 11h30 et 15 h : additif à la liste initiale)
Exposition Otto Wagner, le Maître de l'Art-Nouveau Viennois ala cité de l'Architecture et du patrimoine.
Architectures, peintures Mobilers et objet d'Art.
RdV 1place du Trocadéro
12€+entrée
Inscription. Au 06 43 63 35 73
Mardi 10 mars (prévu initialement le 25/ 02 /2020
15h salon impérial, chapelle et jardin de la fondation Eugène-Napoléon, ou « le collier d’Eugénie ». Et cour de l’industrie restaurée architecture d’Hittorff (1856), mobilier, portraits de Napoléon III et Eugénie, fresque de Barrias, histoire de la « maison du collier »
RdV. 254 rue du faubourg-Saint-Antoine. 11€+entrée. Carte d’identité.
Inscription. Au 06 43 63 35 73
Mardi 24 mars
15h exposition Cézanne et les maîtres, rêve d’Italie, au musée Marmottan.
RdV. 2 rue louis Boilly. Sur inscription au 06 43 63 35 73, confirmée par l’envoi du règlement
11€ + entrée.

Mercredi 1er avril
15h45 exposition « La vie moderne » au musée d’Art-Moderne de la ville de Paris.
(Nouvel accrochage, histoire du musée, classiques modernes de Derain, Picasso, Braque, Delaunay, Foujita, etc. Puis la fée électricité de Dufy.
RdV. Sur inscription au 06 43 63 35 73, (11€ +entrée)
Jeudi 2 avril
14h30 le musée Pissarro (œuvres de Camille et Lucien Pissarro et de leurs amis) à Pontoise,
et la cathédrale saint-Maclou (importante mise au tombeau Renaissance)
Sur inscription au 06 43 63 35 73. 18€+entrée

Samedi 04 avril :
15h : le château de Saint-Ouen : une villa Palladienne aux portes de Paris (1821, décor intérieur).
Évocation du Zoé du Cayla, la dernière des Favorites royales. L’affaire Favras : un secret de louis XVIII.
Rdv. sortie du Métro mairie de Saint-Ouen, côté mairie.
12€. Sur inscription au 01 43 07 09 69
Jeudi 16 avril
14h30 une visite par an : les salons 17e et 18e de l’Hôtel du Grand-Maître de l’artillerie, bibliothèque de l’Arsenal. Plafonds peints et boiseries rocaille.
RdV. Métro Sully-Morland, côté rue de Sully.15 pers. (12€ +entrée 2€). Sur inscription au 0143070969 confirmée par l’envoi du règlement.
Vendredi 15 mai
15h15 le musée de Rodin de Meudon (villa les brillants : important ensemble de sculptures de Rodin, mobilier, tableaux, jardin et tombeau de Rodin
RdV. Sur inscription au 06 43 63 35 73. Tarif 16€+entrée


Jeudi 28 mai
14h30 Cloître-mémorial de l’incendie du Bazar de la Charité, chapelle baroque et cathédrale Arménienne.
RdV. 23 rue Jean Goujon. 11€+entrée
Sur inscription au 06 43 63 35 73
Mercredi 10 juin
14h30 exposition Turner au musée Jacquemart-André.
(Unique visite) sur inscription au 06 43 63 35 73, confirmée par l’envoi du règlement.
11€+entrée

De belles expositions pour une belle année 2020 !...
CD
Les visites de notre guide Didier Bouchard
Vivre à Paris ou en région Parisienne Paris, et découvrir des lieux méconnus ou des expositions de peintres célèbres avec toutes les explications nécessaires. S'ajoute une sortie à Dijon exceptionnelle!
Tout vous sera révélé grâce à notre guide : Didier Bouchard.
Conférences Didier Bouchard
Conferences.bouchard@orange.fr
Conférencier national, diplômé de l’institut d’art et d’archéologie de la Sorbonne
Ancien élève de l’école du Louvre
Boite 17 bât. D, 8, rue Cannebière 75012 Paris. Tel: 06 43 63 35 73
Mardi 30 juillet
15h : les salons de l’hôtel de Lauzun : le plus beau décor 17ème de Paris
(1660). Lambris et plafonds peints, histoire de l’hôtel : Lauzun et la grande Mademoiselle, Baudelaire au club des Haschichins.
Rdv. 17 quai d’anjou.11€+entrée. (15 pers.)Inscr. 06 43 63 35 73

Lundi 5 août
15h : une visite par an : les salons de l’hôtel de Ganay (intérieurs):un
Palais de la belle époque près des Champs-Elysées, et son quartier. (Les Hôtels de Caraman et de Wagram).
Rdv. angle av. George v et rue de la Trémoïlle.
Carte D’identité.11€. Inscription au 06 43 63 35 73
Vendredi 30 août
15h : salons et jardins des hôtels de Varangéville et Amelot, escalier d’honneur de l’hôtel de Tavannes, promenade vers l’atelier de Gustave Doré.
(Une visite par an). Trois hôtels particuliers du faubourg saint-Germain (avec visite intérieure
Et celle de leurs 2 jardins, évocation de JM. Charcot qui y vécut, et y reçut S. Freud…
Rdv. 217 boulevard .Saint-Germain. 11€.
Carte d’identité inscription au 01 43 07 09 69

Samedi 31 août
14h30 : Chapelle et parc privé du couvent de Picpus, cimetière Révolutionnaire et tombe de la Fayette.
Rdv. 35 rue de picpus.11€+entrée
Dimanche 1er septembre
15h : Folies Art nouveau du quartier du Gros Caillou, nouvelle église
Russe, écuries impériales et ancien dépôt des marbres (Rodin, Camille
Claudel), hôtels particuliers de la belle époque.
Rdv. angle rues Saint- Dominique et Sédillot. 11€
Avant-programme automne et hiver 2019 (inscriptions ouvertes)
Mercredi 9 octobre

16h40 exposition Toulouse-Lautrec au grand palais. Unique visite
(12 places) sur inscription préalable, confirmée par l’envoi du règlement.
11€+entrée. Tel. 06 43 63 35 73.
Rdv. entrée des groupes.

Jeudi 10 octobre

13h45 : après-midi à Dijon : le puits de Moïse dans l’ancienne chartreuse de Champmol, puis le palais des états et des ducs de Bourgogne et le Musée des Beaux-arts restauré. (Tombeaux de Jean Sans Peur et Philippe le Hardi, retables de la chartreuse de Champmol, cuisines médiévales, salle des gardes etc.)
Inscription au 06 43 63 35 73
20€ (pas de droit d’entrée).
Rdv. gare Sncf de Dijon, sortie Albert 1er
Mardi 22 octobre

15h10 : Exposition MONDRIAN figuratif au musée Marmottan.
Unique visite Mondrian avant l’abstraction : un maître du symbolisme et du fauvisme.
Rdv. 2 rue louis Boilly. 11€+entrée. Inscription au 06 43 63 35 73
Jeudi 24 octobre
14h30 : Décor classé d’une ancienne maison close, hôtel de Saint-Chamond,
Passage du Caire, maison égyptienne.
Quelques places sur Inscription au 01 43 07 09 69. 11€+entrée
Vendredi 25 octobre
15h salon impérial, chapelle et jardin de la fondation Eugène napoléon, ou « le collier d’Eugénie ». et cour de l’industrie Restaurée.
Architecture d’Hittorff (1856), mobilier, portraits de napoléon III et Eugénie, fresque
De Barrias, histoire de la « maison du collier »
Rdv. 254 rue du faubourg-Saint-Antoine. 11€+entrée.
Carte d’identité.
Mercredi 6 novembre
15h40 : Exposition le Greco au Grand-Palais.
Unique visite. Sur inscription au 06 43 63 35 73, confirmée par l’envoi du règlement. 11€+entrée.
Rdv. entrée/groupes
J'apprécie beaucoup cet artiste et partage avec vous quelques photos:
Domenikos Theotokopoulos est nommé « Greco » à Tolède, en Espagne.


L’Assomption, 1577-1579, huile sur toile, 403,2 x 211,8 cm, Chicago, Art Institute
Saint Martin partageant son manteau avec un pauvre, 1597-1599, huile sur toile, 193 x 103 cm, Washington, National Gallery of Art.

L'ouverture du 5e sceau dite la vision de saint Jean vers 1609-1614
huile sur toile, 222,3 x 193 cm, New York, The Metropolitan Museum of Art.
Vendredi 8 novembre

15h30 les fastes de l’hôtel Gaillard (1882) et la cite de l’économie de la
Banque de France. Décors intérieurs (boiseries gothiques et renaissance en remploi, salle des coffres entourés de douves etc.)
Et muséographie de Citeco+ collection numismatique de la Banque de France. Sur inscription au 01 43 07 09 69, confirmée par l’envoi du règlement.
11€+entrée.
Rdv. 1 place du général Catroux (par le m° Malesherbes)
Samedi 9 novembre

15h : le château de Saint-Ouen : une villa Palladienne aux portes de
Paris (1821, décor intérieur). Evocation de Zoé du Cala, la dernière
Favorite royale. L’affaire Favras : un secret de louis XVIII.
Rdv. sortie du Métro mairie de Saint-Ouen, côté mairie.
11€. Sur inscription au 01 43 07 09 69
Mardi 19 novembre

14h30 la maison de Louis Pasteur (visite du musée Pasteur par sa conférencière ;
Mobilier, objets d’art, tableaux, tombeau de pasteur.)
Sur inscription au 06 43 63 35 73.
Mardi 26 novembre
16h exposition « l’Age d’or de la peinture anglaise – le siècle de Reynolds et de Gainsborough » au musée du Luxembourg.
Quelques places sur inscription au 06 43 63 35 73, confirmée par l’envoi du règlement. 11€+entrée

Vendredi 29 novembre
14h30 exposition « la collection Weisman-Michel de New-York » au Musée de Montmartre (Steinlen, Valadon, Bonnard, Rouault…), puis l’atelier de Valadon, la chambre de M. Utrillo, et quelques œuvres de la Collection permanente du musée. 11€+entrée.
Rdv. 12 rue Cortot
Sous réserve de confirmation et sur inscr. Au 06 43 63 35 73.
Mardi 3 décembre
16h : Chefs d’œuvre de la collection Alana au Musée Jacquemart-André.
(Primitifs italiens, et maîtres de la renaissance et du Seicento dans une Grande collection privée).
Quelques places sur inscr. Au 06 43 63 35 73, confirmée par l’envoi du règlement. 11€+entrée.
Rdv. 158 boul. Haussmann.


Jeanne vous invite à l'expo de son époux LIBERTO ROSIñOL dit LLIBERT
Jeanne Rossinol qui a travaillé longtemps au Bhv, nous envoie ce mail d'invitation pour l'expo de 75 tableaux de son mari . Elle serait heureuse que cette invitation soit diffusée au réseau. Elle vous remercie de votre passage.
11 au 31 MAI 2019
CENTRE D'ART LES EGLISES
Esplanade de La Légion d'Honneur 77500 Chelles
Mercredi, jeudi, vendredi 10h à 12h30 / 14h à 17h
Samedi, dimanche et jours fériés 15h à 18h
LIBERTO ROSIñOL dit LLIBERT 1931 - 2005

Le Centre d’Art Les Eglises accueille le travail du peintre Liberto Rosiñol, pour une exposition monographique. A la fois inspiré et passionné, Liberto Rosiñol dit Llibert s’inscrit dans une pratique entière et généreuse. Ses peintures que l’on pourrait qualifier d’influence postimpressionniste sont également proches des mouvements pointilliste ou fauviste sans jamais se laisser aller jusqu’à l’abstraction.
Son travail est reconnaissable par les traits épais qui se confondent avec les touches.
L’ensemble se superpose et ne se mélange jamais tout à fait. Permettant par là une dominante de la couleur sur la forme, il laisse une large place à l’émotion.
La lumière qu’il génère, inonde et irrigue chacun de ses tableaux.
À une époque où les avant-gardes font rage, Liberto s’installe dans une approche sincère et constante de la représentation. Il ne se résoudra pas à délaisser la figuration et continuera de proposer une touche picturale singulière, honnête. Ne débordant jamais du cadre, il peint en se focalisant sur ce qu’il ressent, et tente de nous transmettre cette intensité par son medium de prédilection.
La peinture devient son message : « Jo pinto i prou » comme disait Isidre Nonell, « je peins et puis c’est tout ». D’abord comme une évidence Liberto s’essaie à l’art, ensuite comme une réponse il finit par s’engager totalement dans la carrière artistique. Comme dans une quête il poursuit un cheminement autant esthétique, spirituel que symbolique.
En perpétuelle recherche Llibert entamera un voyage initiatique à travers l’Europe d’après-guerre afin de goûter à l’effervescence artistique. Dans son approche il n’a eu de cesse de continuer à créer jusqu’à la fin. Ce n’est peut-être pas un hasard, s’il porta le prénom « Llibert » et qu’il nous rappelle par-là, à quel point l’art relève d’une pratique de la liberté.
Vernissage le vendredi 10 mai à 19h
Peindre dans la vallée de la Creuse 1830-1930 par Martine Mallein
Martine Mallein nous invite à découvrir une exposition étonnante à l’atelier Grognard, près du Château de Rueil Malmaison.
Nous voici toujours plongés dans cette tranche d’Histoire que nous vivons ensemble chaque semaine. Et, qui mieux que Martine pouvait le mieux, dans notre réseau nous parler sur un plan historique de ce coin de France.
Merci Martine.
La peinture dans la vallée de la Creuse entre 1830 et 1930 avec la contribution de George Sand et de Maurice Rollinat au développement du foyer artistique de Crozant.
A cheval entre les départements de la Creuse et de l’Indre, les gorges de la Creuse invitent au voyage, gorges que l’on qualifiera plus tard de vallée des peintres " Tout y enflamme l’imagination… tout y serre le cœur " dira George Sand émerveillée.
Ce paysage est " si riche que le peintre ne sait où s’arrêter ". De l’éperon rocheux qui domine le confluent encaissé des deux Creuse (grande et petite), les rives de la Sédelle et les restes du château-fort du XIIIè siècle, ces paysages vont inspirer les peintres une centaine d’année.

En effet si George Sand, a découvert, en compagnie de son fils Maurice et de Frédéric Chopin, cette magnifique nature sauvage, Nohant ne se situant qu’à une cinquantaine de km de la vallée de la Creuse, elle fit partager son amour du lieu, au poète Maurice Rollinat.
Maurice Rollinat jouit encore de nos jours d’une grande notoriété en Berry. Fils d’un député de l’Indre, il naît à Châteauroux en 1846 et meurt à Ivry-sur-Seine en 1903.
Il écrit dans les années 1870 ses premiers poèmes qu’il fait lire à George. Celle-ci l'invite à tenter sa chance à Paris. Il y publie son premier recueil Dans les brandes (1877).
Seul au piano, le jeune poète exécute ses poèmes en musique. Ses textes, allant du pastoral au macabre en passant par le fantastique, valent à Rollinat une brève consécration en 1883.
Cette année-là, le poète publie Les Névroses, qui laisse les avis partagés. Génie ou sous-Baudelaire selon Verlaine ? Son ami Barbey d’Aurevilly écrira de son côté « Rollinat pourrait être supérieur à Baudelaire par la sincérité et la profondeur de son diabolisme ». Il qualifie Baudelaire de « diable en velours » et Rollinat de « diable en acier ».
Malade et fatigué, Rollinat, ce poète-musicien, qui aime décrire l’aspect si paisible de la nature berrichonne, décide en 1883 de quitter la vie parisienne et de « s’exiler » définitivement à Fresselines, petit village situé au Nord de la Creuse. Il s’y installe avec sa nouvelle compagne, Cécile Pouettre. Cette terre creusoise ne lui est pas inconnue.
Il y écrira cinq livres de poèmes : l'Abîme (1886), La Nature (1892), Le Livre de la Nature (1893), Les Apparitions (1896) et Paysages et Paysans (1899), ainsi qu'un recueil en prose : En errant (1903).
Quant aux peintres, dès 1830, ils seront inspirés par ce magnifique spectacle des gorges variant selon les saisons. La lumière changeante au fil des heures, les couleurs et les formes du paysage sont sources d’émotions nouvelles pour ces artistes.
De l’arrivée des impressionnistes jusqu’aux années 1930, les courants artistiques paysagistes vont ainsi se succéder au voisinage de la Creuse.
Il faut souligner que ceux qui vont résider sur place ou être simplement de passage vont bénéficier d’une révolution de la peinture non négligeable car apparaissent dès 1841 les premières couleurs industrielles prêtes à l'emploi.
L'invention du tube souple compactable, fermé hermétiquement à l’aide d’une pince permet aux peintres de transporter des tubes de peinture déjà préparés, pouvant ainsi plus facilement leur permettre de s’évader de leurs ateliers pour travailler en plein air.
Maurice Rollinat, amateur d’art, va attirer ainsi dans sa maisonnette de La Pouge à Fresselines, de nombreux peintres.
C’est ainsi qu’il ouvre sa porte à Claude Monet (1840-1926). Au printemps 1889, du 5 ou 6 mars au 19 mai, Claude Monet effectue, à l’invitation de son ami, un séjour en Creuse.
Le peintre déclare dans une lettre de 1889 à Alice Hoschédé : « A force de regarder, je suis enfin entré dans la nature du pays. Je le comprends à présent et vois mieux ce qu’il y a à en faire ». Il réalisera une série sur le site du confluent des deux Creuses et produira 23 toiles dans la vallée, dont le célèbre pont de Vervy.
Pendant un siècle, plus de 400 artistes sont venus chercher l’inspiration dans ces paysages entre Berry et Limousin. On peut citer entre autres Théodore Rousseau, l’un des maîtres de l’Ecole de Barbizon, Armand Guillaumin, Anders Osterlind, Francis Picabia, Othon Friesz, Eugène Alluaud
Chacun aura fait preuve d’une observation minutieuse de la nature, étudiant attentivement les effets changeants de la lumière. Les journaux parisiens se font l’écho du travail des peintres. Il en résulte un engouement touristique certain. Mais en 1926, la construction dans le département de l’Indre du barrage d’Eguzon, créant un lac de retenue, ce qui va modifier considérablement le caractère sauvage des gorges, la forêt envahissant les vallons.
Une très belle exposition à ne pas manquer vient d’ouvrir ses portes à l’Atelier Grognard de Rueil-Malmaison jusqu’au 26 mai 2019 : « Peindre dans la vallée de la Creuse 1830-1930 »
Martine Mallein
Du mardi au dimanche de 13h30 à 18h
6, Avenue du Château de Malmaison, Rueil-Malmaison
Réservations et renseignements
Téléphone : 01 47 14 11 63 Internet : https://www.villederueil.fr
Découvrir les expos à Paris avec Didier Bouchard
2019 commence bien, avec de belles sorties organisées par Didier Bouchard, je vous laisse découvrir son programme. N'hésitez pas à le suivre, vous serez enchantés. Belles découvertes!...
Conférences Didier bouchard
Conferences.bouchard@orange.fr
Conférencier national, diplômé de l’institut d’art et d’archéologie de la Sorbonne
Ancien élève de l’école du Louvre
Boite 17 bât. D, 8, rue cannebière 75012 paris.
Tel: 0643633573
Mardi 29 janvier
14h50 : l’Hôtel Geoffroy (1880) dit Hôtel Eva Perón et ses étranges décors intérieurs (boiseries et vitraux renaissance, cheminée néo-gothique…). Son voisinage : Maupassant, Gounod, Dumas, Sarah Bernhardt.
Sur inscription avant le 27-01 au 01 43 07 09 69. 11€+entrée
Rendez-vous : sortie du métro Malesherbes, côté place du général Catroux
Jeudi 31 janvier (prolongation, derniers jours, unique visite)
15h45 : exposition Alberto Giacometti, entre tradition et avant-garde, au musée Maillol. (Œuvres de Giacometti, mais aussi de Rodin, Maillol, Bourdelle, Lipchitz, Henri Laurens, Zadkine, germaine Richier.)
Sur inscription au 01 43 07 09 69. 11€+entrée, confirmée par l’envoi du règlement. 20 pers.
Rendez-vous : 61 rue de Grenelle.

Vendredi 1er février (derniers jours)
15h45 : exposition « collections privées » au musée Marmottan (tableaux de Monet, Degas, caillebotte, Renoir, matisse, Derain, Vlaminick…) quelques places sur inscription au 01 43 07 09 69confirmée par l’envoi du règlement. 11€+entrée. Rendez-vous : 2, rue louis Boilly.

Vendredi 8 février
14h30 la chapelle de l’humanité, (unique temple positiviste de France), spécialement ouverte, puis la collection suédoise de l’institut Tessin. (Dans la maison de l’architecte François Mansart, un curieux sanctuaire néo-gothique orné du calendrier positiviste…) puis l’art suédois et la France : la collection de l’institut Tessin dans le salon 17ème l’hôtel de marle .
Rendez-vous : 5 rue Payenne. 11€
Samedi 9 février , 14h30 : L’atelier de Guillaume Dubufe (musée Henner), et ses récentes restaurations. Un atelier de peintre mondain dans la plaine Monceau, l’œuvre méconnue de Jean-Jacques Henner (exposition « roux »), salon mauresque, jardin d’hiver ; évocation de Sarah Bernhardt et de la belle Otero.
Rendez-vous : 43 av. De Villiers. 11€+entrée 20 pers.)Inscription au 01 43 07 09 69
Jeudi 21 février
14h30 une visite par an : les salons 17e et 18e de l’hôtel du Grand-Maître de l’Artillerie, bibliothèque de l’Arsenal. Plafonds peints et boiseries rocaille.
Rendez-vous : métro Sully-Morland, côté rue de Sully.15 pers. (12€ +entrée).
Sur inscription au 01 43 07 09 69 confirmée par l’envoi du règlement.

Vendredi 22 février
14h30 : les joyaux de la couronne de France au musée de minéralogie de l’école des mines, puis décor peint de l’escalier, et la façade 18e , côté jardin, de l’hôtel de Vendôme.
Sur inscription au 01 43 07 09 69. 11€+entrée. Rendez-vous : 60 boul. Saint-michel.

Dimanche 24 février
14h30 visite intérieure de l’hôtel Thiers (appartement privé de Thiers, bibliothèque de la fondation Dosne-Thiers, salons de réception) : une fondation de l’institut de France. Tableaux, objets d’art. Evocation de Thiers.
Rendez-vous : 27, place Saint-Georges. 11€+entrée
Lundi 25 février
15h : salon impérial, chapelle et jardin de la fondation Eugène-Napoléon, ou « le collier d’Eugénie ». Et cour de l’industrie restaurée
Architecture d’Hittorff (1856), mobilier, portraits de napoléon III et Eugénie, fresque de Barrias, histoire de la « maison du collier »
Rendez-vous : 254 rue du faubourg-Saint-Antoine. 11€+entrée. Carte d’identité. Inscription. Au 01 43 07 09 69
Avant-programme (inscriptions ouvertes)

Mardi 5 mars, 15h : exposition Foujita a la maison de la culture du japon.
Rendez-vous : 101 bis quai Branly. 11€+entrée. Sur inscription au 01 43 07 09 69.

Vendredi 8 mars : 14h30 décor classé d’une ancienne maison close, hôtel de Saint-Chamond, passage du Caire, maison égyptienne. Rendez-vous : sur inscription au 01 43 07 09 69. 11€+entrée
Mardi 12 mars : 11h l’Hôtel Arturo Lopez, spécialement ouvert à Neuilly, puis le jardin restaure de la folie saint-James. Rendez-vous : 14 rue du centre (Neuilly) quelques places sur inscription au 01 43 07 09 69. 11€.
Samedi 16 mars : 14h30 l’appartement de Le Corbusier restauré
(Nouvelles pièces ouvertes) et les villas des années 20 du quartier des princes.
15 pers. 12€ +entrée sur inscription au 01 43 07 09 69

Jeudi 21 mars : 16h exposition Hammershøi, le maître de la peinture danoise au musée JacquemartAndré. 11€+ entrée. Quelques places sur inscription au 01 43 07 09 69.
Le musée décrit cette expo : "Le peintre a en effet choisi comme sujet de la plupart de ses œuvres son environnement quotidien et les membres de son cercle intime.
De tempérament taciturne, il représente dans ses toiles un monde à son image, baigné d’un étrange silence. Hammershøi joue avec ses intérieurs pour les dépouiller et refuse toute interaction avec son modèle que le spectateur surprend dans une infinie rêverie solitaire."
Mercredi 3 avril : 15h30 exposition, la collection Emil Bührle au musée Maillol.

Une exposition de toiles sur plusieurs courants de l’art les grands noms de l’impressionnisme (Manet, Monet, Pissarro, Degas, Renoir, Sisley) et du postimpressionnisme (Cézanne, Gauguin, Van Gogh, Toulouse-Lautrec), les débuts du XXe siècle avec les Nabis (Bonnard, Vuillard), les Fauves et les Cubistes (Braque, Derain, Vlaminck), et l’École de Paris (Modigliani), pour finir avec Picasso.
Sur inscription au 01 43 07 09 69.11€+entrée
Vendredi 5 avril (et vendredi 3 mai) : exposition l’Orient des peintres
Au musée Marmottan.
Sur inscription au 01 43 07 09 69. 11€+entrée