Les visites guidées de D. Bouchard pour vous distraire.
Quelques idées de sorties remarquables pour vous distraire en cette fin d'année.
Bonnes visites !
Ci-dessous les visites de l' automne- hiver 2015 organisées par notre guide
DIDIER BOUCHARD que nous remercions.
Vendredi 30 octobre
11h15 (visite à 11h30) : Exposition « Fragonard amoureux » au musée du Luxembourg l’amour au siècle des lumières, dans les tableaux et les dessins de l’auteur du verrou, prêtés par les plus grands musées européens et américains. (20pers.) (Autre visite : le 7-12 à 16h)
Rdv. 19 rue de Vaugirard. 11€+entrée. Sur inscription au 01.43.07.09.69, confirmée par l’envoi du règlement.
Samedi 31 octobre
10h50 (visite à 11h) : Exposition de Manet et Van Gogh à Bonnard et Matisse : la collection privée Hahnloser-bühler, au musée Marmottan.
Les chefs-d’œuvre d’une grande collection suisse de Winterthur, exceptionnellement prêtés au musée Marmottan-Monet.
Rdv. 2 rue louis Boilly. 11€+entrée (20 pers)
Sur inscription au 01.43.07.09.69, confirmée par l’envoi du règlement.
15h : visite intérieure de l’hôtel de Lauzun (1660), plafonds peints et lambris
Dorés. Le plus beau décor du grand-siècle dans une demeure parisienne, histoire de Lauzun et de la grande-mademoiselle, de Baudelaire et du club des Haschischins.
Rdv. 17 quai d’Anjou. 11€+entrée. (15 personnes maximum) .sur inscription au 01.43.07.09.69
Lundi 9 novembre
15h45 (visite à 16h) : exposition « Florence, splendeur des portraits à la cour des Médicis ». Au musée Jacquemart-André. Bronzino, Pontormo : le 16e siècle florentin. Groupe complet : 2e visite le 8-12 à 15h15(rdv. A 15h). Inscription au 01.43.07.09.69
Jeudi 12 novembre
14h30 : la chapelle expiatoire, spécialement ouverte.
Le chef-d’œuvre néo-classique de P.F. Fontaine, et son histoire.
Rdv. 29 rue Pasquier (square louis xvi). 11€+entrée. Sur inscription au 01.43.07.09.69
Vendredi 13 novembre
14h30 (rdv. A 14h15) : le château d’Anet, chef-d’œuvre de Philibert de l’Orme (1550).
Chapelle du château, appartements meublés. Puis chapelle funéraire de Diane de Poitiers, et tombeau de la favorite d’Henri II.
15€+entrée. Quelques places, sur inscription au 01.43.07.09.69 confirmée par l’envoi du règlement.
Samedi 14 novembre
14h30 : le Panthéon, chef-d’œuvre de Soufflot et miroir des querelles françaises.
Rdv. Place du Panthéon, coté façade, devant la grille.
11€+entrée. Sur inscription au 01.43.07.09.69
Jeudi 19 novembre
14h30 le château d’Asnières et ses récentes restaurations.
Quelques places seulement. Sur inscription au 01.43.07.09.69, 11€+entrée
Lundi 7 décembre
16h (visite à 16h15) exposition « Fragonard amoureux » au musée du Luxembourg l’amour au siècle des lumières, dans les tableaux et les dessins de l’auteur du verrou, prêtés par les plus grands musées européens et américains. (20pers.) Quelques places disponibles.
Rdv. 19 rue de Vaugirard. 11€+entrée. Sur inscriptionau 01.43.07.09.69, confirmée par l’envoi du règlement.
Mardi 8 décembre
Visite supplémentaire
15h (visite à 15h15) exposition « Florence, splendeur des portraits a la cour des Médicis ». Au musée Jacquemart-André. Bronzino, Pontormo : le 16e siècle florentin.
Rdv au 158 Boulevard Haussmann. (20 personnes.)
Inscription au 01.43.07.09.69 confirmée par l’envoi du règlement 11€+entrée.
Jeudi 17 décembre
14h15 le Pavillon des Indes de l’exposition de 1878 (visite intérieure), et le pavillon de Suède & Norvège, avec les collections du musée Roybet-Fould.
Quelques places seulement, rdv. Sur inscription au 01.43.07.09.69. (11€)
(Accès possibles par les transports en commun)
Avant-programme 2016
Mercredi 27 janvier 2016
Visite supplémentaire : quelques places
15h40 (rdv. A 15h30) exposition de Manet et van Gogh à bonnard et Matisse : la collection privée Hahnloser-Bühler, au musée Marmottan.
Les chefs-d’œuvre d’une grande collection suisse de Winterthur, exceptionnellement prêtés au musée
Marmottan-Monet. Rdv. 2 rue louis Boilly. 11€+entrée (20 pers)
Sur inscription au 01.43.07.09.69, confirmée par l’envoi du règlement.
Coordonnées : Didier Bouchard
Conférencier national, diplômé de l’Institut d’Art et d’Archéologie de la Sorbonne
Ancien Élève de l’École du Louvre
Boite 17 Bât. D, 8, rue Cannebière
75012 Paris. Tel: 01.43.07.09.69
En passant par Amiens article 2/2
Voici donc la suite de mon article sur la Cathédrale d'Amiens.
Quand vous l'aurez lu et regardé les photos, vous comprendrez pourquoi c'est la plus grande et une des plus belles Cathédrales de France. A la fin, ce petit ange qui pleure ne vous laissera pas indifférent!...
La cathédrale : l'intérieur
La Nef à 6 travées s’élance vers le ciel et sa voûte d’ogive est à 42 m de haut.
Le Transept de 70 m de large, à 3 travées avec bas-côtés est harmonieux
1 Chœur bien développé à 4 travées
1 Chevet à 7 pans avec déambulatoire sur lequel s'ouvrent 7 chapelles rayonnantes.
Le chœur : Admirons ce jubé orné de sculptures et ses grilles
Le maître autel du chœur est baroque : « la gloire eucharistique » tout en marbre et en dorure .
Fort jolie, cette représentation baroque de la résurrection du Christ : ce halo eclatant de rayons de lumière entourés d’anges et d'aiguilles dorées explosant au milieu des nuages d’où s’envole, la colombe symbolisant l’Esprit Saint et la paix.
On ne peut que s’attarder que sur la clôture du Chœur (réalisée entre 1488 et 1530) qui déploient la vie des saints picards, dont St Firmin, plus loin vous découvrez la vie de St Jean-Baptiste, Jésus chassant les marchands du temple, l’histoire de St Jacques : œuvres réalisées par la générosité d’un prévôt : Adrien de Hennecourt.
La chaire en bois de style baroque, élevée par ses statues : la foi, l’espérance et la charité.
Au dos du Chœur, dans le chevet : un ange pleure ! ou : « ch'l'einfant brayeux » en Picard
Ce chérubin a sa main gauche posée sur un sablier qui symbolise la durée de la vie. Son bras droit appuie son coude sur le crâne d'un squelette, symbolisant ainsi la mort. Symboles funéraires qui ornent le mausolée du chanoine Guilain Lucas mort en 1628.
(qui s'occupait des orphelins)
Détails du tombeau du Chanoine Guillain Lucas
Les 110 stalles en chêne sculptées (les plus belles qui existent) en style art flamboyant vous font découvrir plus de 4000 figures. : Ancien testament, Adam et Eve, Noé, Jacob, David, Job…Vierge Marie, Joseph, Nativité, scènes de la vie de jésus etc…. et enfin récit du moyen âge, vous informant sur les us et coutumes de cette période. Elles ont été sculptées par des Maîtres Huchiers. Leurs dos sont ornementés de fleur de lys.(fleur mariale).
Le Chef de st Jean Baptiste
En 1206, un croisé picard nommé, chanoine de Picquigny, rapporte à Amiens la sainte relique du crâne de Saint Jean-Baptiste. Très rapidement, cette relique devient l'objet d'un important pèlerinage. Attirant particulièrement les gens épileptiques, sourds ou aveugles.
Cette vénérable relique est fragile et ne peut être exposée les mois d’hiver, aussi une icône est placée les mois d’hiver. Curieusement on peut se demander comment elle est parvenue jusqu'à Amiens.
Saint Jean fut décapité dans une prison de Palestine. Sa tête emmenée fut cachée à Jérusalem. Des moines hérétiques, l'emportèrent avec eux en Cilicie. L'empereur Théodose prit cette relique et fit bâtir à Constantinople une église pour la recevoir. Mais les Croisés ayant fait la guerre à l'empereur grec, prirent Constantinople en avril 1204. Ils cherchèrent les reliques du saint et là, Wallon de Sarton, chanoine de Picquigny, près d’Amiens trouva son crane dans les ruines d'un vieux palais et le ramena à Amiens.
Le labyrinthe octogonal : Placé au milieu de la nef, il peut vous surprendre ! Ce dallage courant au moyen-âge, appelé aussi « dédale », du nom du héros mythologique crétois où était enfermé le Minotaure, et Thésée ne put sortir que grâce au fil d'Ariane. D’autres vous diront que dans la tradition kabbalistique, il est appelé Labyrinthe de Salomon et représente l'œuvre à accomplir.
Au moyen-âge, certains pèlerins, voulant se sanctifier venaient se recueillir sur les reliques de Saint Jean-Baptiste. Puis ils s’agenouillaient et suivaient à la manière d'un chemin de croix, la ligne noire, longue de 234 mètres.
Au centre, la rose des vents indique les 4 points cardinaux, l'évéque et les trois maîtres d'oeuvre y sont incrustés.
Le monument funéraire du Chanoine Niquet
La chapelle du pilier rouge et ce superbe tableau se situe dans le transept.
Le retable de Notre Dame du Puy, regardez ce détail où la vierge sort un enfant du puits.
Autres chapelles et curiosités
Les vitraux et les orgues
EXTRAIT du petit poème pastoral (ou églogue) prêté par Edouard III roi d’Angleterre, à Philippe de Valois, roi de France. Par M Berville avocat.
Un jour, abandonnant les modestes hameaux,
Ils marchent vers la ville où, par douze canaux,
La Somme, divisant ses ondes fugitives,
A, pour servir les arts, multiplié ses rêves.
A peine ils ont franchi ses paisibles remparts,
Un antique édifice appelle leurs regards
C'est un Dieu qui l'habite, et sa majesté sainte
Semble du temple auguste environner l'enceinte
« Entrons, dit le vieillard plus d'un grand souvenir
A ces lieux révérés devra longtemps s'unir
Des illustres destins, qui furent leur partage,
Ces murs avec orgueil conservent l'héritage .
Il dit, et tous les trois, d'un pas religieux
Franchissent de la nef le sol majestueux.
Ils entrent, et longtemps dans un profond silence
Admirent la grandeur de cette voûte immense,
Ce dôme si hardi, qu'un art industrieux
Sur de légers appuis suspendit dans les cieux
Et ce marbre vivant, où le ciseau mobile,
Artistement conduit par une main habile,
A nos yeux de l'enfant exprimant les douleurs
De la pierre amollie a su tirer des pleurs.
Voici donc un exemple de nos trésors patrimoniaux. Vous qui passez trop rapidement sur les routes et autoroutes, arretez-vous et admirez ces chefs d'oeuvre. (Amiens n'est qu'à 130 km de Paris!)
Christine D
(photos mai 2015)
En passant par Amiens et sa Cathédrale 1/ 2
Nous avons pris le temps de nous arrêter à Amiens en Picardie : Ville très jolie, à visiter absolument.Passez-y une journée lors de vos dimanches d'automne!
Amiens, capitale régionale de la Picardie, traversée par la Somme possède cette empreinte des villes du Nord avec ses maisons de briques rouges, et un cœur de ville de ville : le quartier Saint Leu où il fait bon flâner.
Appelée petite Venise du Nord, les canaux vous rappellent les origines de la ville où l’activité était intense : tanneurs, tisserands teinturiers exerçaient grâce à l’eau et l’énergie des moulins.
Je ne vous parlerai pas des hortillonnages : jardins flottants de maraîchers, fruits et légumes qui se découvrent à pieds ou en barque.
La petite Venise du Nord
Nous voici donc en Picardie, ici pas de trace de voyageurs marchant en long pèlerinage. La terre fut marquée de mille blessures : l’ennemi a attaqué ses côtes, les guerres ont détruits des beffrois, des donjons, des églises. Pourtant les hommes relèvent les défis : architectes, artisans et compagnons décident d’élever la plus belle, la plus gracieuse par sa légèreté des églises de France : la Cathédrale d’Amiens.
Difficile de trouver un tel raffinement et une telle élégance !
Tel un miracle, elle fut épargnée pendant la dernière guerre.
A l’origine de ce lieu chrétien : une église romane, dédiée à St Firmin au IIIème siècle, détruite, remplacée par une cathédrale romane entre 1137 et 1152, où se maria Philippe-Auguste (1193), elle fut la proie d’un gigantesque incendie en 1218.
L’Evêque d’Amiens Evrard de Fouilloy décide donc de faire construire une nouvelle église qui surpasserait toutes les églises connues à cette époque.
C’est Robert de Luzarches qui fut le maître d’œuvre de cette prodigieuse Cathédrale et il fut relayé par les Cormont : Père et Fils.(en 1245)
Construite en un temps record : 50 ans entre 1220 et 1270, elle est la troisième Cathédrale, après ses rivales : Paris et Chartres, bâtie de style gothique classique.
La cathédrale d'Amiens, de 145 m de long est orientée liturgiquement d'Est en Ouest.
Le soleil levant se situe bien à l’orient, d’où l’origine du mot « orienter », cette symbolique chrétienne trouve sa source dans le fait que les Chrétiens attendent le Christ, le dernier jour, comme un soleil levant : la source de lumière. Les synagogues sont, elles, orientées vers Jérusalem.
Deux tours : nord : 66 m et sud 65 m de haut.
Nous voici devant le plus grand édifice gothique au monde. (2 fois ND de Paris)
Impressionnante flèche, même les Saints et La couronne sont couverts de feuilles de plomb.
Les moyens financiers ne manquèrent pas : Amiens était une ville très prospère, et les teinturiers et drapiers exploitaient : l’or bleu : la « Waide » (en picard) ou « Guéde » une plante qui donnait un « Bleu » très prisé. Ses fleurs sont jaunes, ses feuilles sont vertes et les pigments qu'elles génèrent sont bleus. Cette activité très lucrative permit d’aider à la construction de la cathédrale.
Les trois portails nous font bien penser à Notre-Dame de Paris. Les portails de la façade occidentale sont surmontés de deux galeries (dont celle des rois).
Le portail St Firmin : Evangélisateur et premier évêque d’Amiens. Il est entouré de saints et d’anges.
Pour la petite histoire St Firmin le Martyr, décéda dans la prison souterraine du château de la ville en 288, St Firmin le confesseur 3éme évêque d’Amiens fait élever une église sur la tombe du Martyr : Saint Pierre-Saint Paul. Brûlée par les normands en 881, reconstruite, détruite deux fois par la foudre en 1019 et 1107. Alors on décide d’élever la Cathédrale, construite en pierres extraites des carrières de Croissy et Picquigny. L’église ancienne gênant pour finir la croisée septentrionale de la Cathédrale est alors démolie.
La partie basse est très intéressante avec les signes du Zodiaques et les travaux qui se rapportent à ces périodes, sur les bas reliefs. Nous retrouvons régulièrement cette évocation du zodiaque sur d’autres cathédrales, comme Notre-Dame de Paris ou Chartres.
Observons ici : le signe du Cancer (Crabe) et en dessous : on fauche le foin.
Le Lion et la moisson
La vierge et la période où l’on bat le grain
La Balance : période des vendanges.
Le scorpion où on foule le raisin aux pieds
Le Sagittaire période des semailles.
D'autres sculptures évoquent le vice et la vertu qui symbolise la lutte intérieur chez l’homme.
Le portail du Sauveur, dit du « Beau-Dieu » : Son visage est calme, paisible, serein comme pour exprimer que le visiteur trouvera ici : Paix et réconciliation.
Le tympan évoque le jugement dernier. Thème aussi repris sur le portail central de Notre-Dame de Paris. Vous y découvrirez les joies du paradis et les peines de l'enfer.
Le Tympan avec le jugement dernier avec la balance au milieu
Le portail de la vierge, Mère de Dieu :
Belle Vierge dont la physionomie est pleine de douceur.
Au bras sud du transept : Le Portail St Honoré dit de la Vierge dorée.
Regardez cette représentation de la Vierge peu courante :
Vierge au sourire malicieux, et au dessus de sa tête, trois petits anges qui tiennent son nimbe. L'enfant Jésus semble jouer avec une balle.
A suivre pour l'intérieur!
CD
Actualité et histoire de l’union sportive du BHV, par Jean-Pierre Franssens.
Il est toujours intéressant de connaître ou de se souvenir que le BHV avec son côté humaniste, savait se mettre au service de ceux qui souffrent. L’abbé Pierre en fut un exemple, mais l’article raconté par Jean-Pierre en est un autre exemple, tout aussi beau !
Dans le cadre d'un retour sur les diverses sections sportives de l'USBHV et dans le but de mettre en avant le travail de bénévoles appelés « responsable de section », j'ai préparé un sujet sur le Tennis de Table, que vous pourrez découvrir prochainement. Il sera suivi de la discipline animée par Nicole Kerzerho, la « Randonnée ».
Mais l'actualité m'a apporté une priorité, que je vous livre un peu tardivement.
Pourquoi ?
L'US BHV a eu une section « Athlétisme et marches sportives » animée par Philippe Gaulier. Cette section, en plus des « semi-marathons », « marathons » et autres courses, participait à des actions humanitaires nationales.
Des « virades de l'espoir », des raids 1700, 2000kms pour récolter des dons pour les sinistrés de l'Aude-96-. Je reviendrais sur ces événements dans quelques temps, mais aujourd'hui, je vais me fixer sur ce raid de 2002, contre la Mucoviscidose.
Pour récolter des dons et sensibiliser les populations, à travers la Normandie et la Bretagne. La parole est à Philippe, dans la presse.
Dans le cadre des virades de l'espoir, pour AFLM (association de patients, de parents et de médecins), du 9 au 22 juin 2002, de la forêt de Paimpont en Bretagne, jusqu’à Condé sur Sarthe.
A l'origine de ce projet, Philippe, un « Normand de cœur » attaché à sa région.
« Nous allons nous battre pour les enfants malades. Nous allons donner notre souffle pour eux. On court par plaisir et pour soutenir la recherche. Notre combat c'est la maladie. Il faut faire connaître la mucoviscidose et toutes les autres maladies génétiques.»
Rien ne nous arrêtera :
« Pour réunir des fonds, un T-shirt sera créé avec plusieurs symboles : l'ASL Condé et l'US BHV, le drapeau normand et l'église de Condé sur Sarthe. Nous sommes des amoureux de la course à pied, des sportifs de tous les jours. L’important c'est l'endurance, non la performance. Le but est de réussir chaque étape sans la montre à la main : on va courir quel que soit le temps, rien ne nous arrêtera... »
Solidarité :
« Il était 8 heures du matin, les habitants du village (qui en comptait 70) nous attendaient sur le bord de la route autour d'une table avec des croissants. Ils nous ont remis 1500 francs de dons (230 euros). Des gens parfois nous accompagnent à vélos ou rollers ou à pied...c'est extraordinaire.
Sur ce raid, nous serons une vingtaine au départ, y compris les accompagnateurs, famille et amis. Ils nous suivrons en camping- car jusqu'au bout et ferons la fête avec nous à Condé.
Philippe dans son éditorial du livret « le Sport » édition 2001 a écrit :
« Aujourd'hui, cette maladie est en voie de guérison. »
« La recherche contre la mucoviscidose est proche d'aboutir. »
(Désolé pour la qualité des photos. Je n'ai que celles du livret « le sport » scannées et déjà de mauvaise qualité. On ne peut pas faire du neuf avec du vieux,,,)
Merci Jean-Pierre de nous évoquer cette période du BHV, nous ne t'en voulons pas, sois en sûr, pour la qualité des photos. Encore Bravo pour ta participation.
En 2015 eurent lieu des virades dans certaines communes où habitent des membres du réseau comme Erqui, Dieulefit, Marseille, Montargis ou la Loire....
Rappel : *La mucoviscidose est une maladie génétique et héréditaire qui touche les cellules qui tapissent différents organes tels que les voies respiratoires, le tube digestif, les glandes sudorales en altérant leurs sécrétions .La mucoviscidose touche en France près de 200 naissances chaque année. Présente partout dans le monde mais elle est plus fréquente dans certaines régions : l’ouest de la France est plus touché que le reste du territoire. Elle se déclare à des âges variables : à la naissance, pendant l’enfance, ou bien à l’âge adulte dans les cas les moins sévères. Les deux sexes sont également atteints. l
En savoir plus sur l'origine avec l'US BHV : voir le lien ci-dessous
les souffles de l'espoir courir contre la mucoviscidose
Comme tous les marcheurs présents a cette époque, nous faisions partie de la section "marche sportive" de l'US BHV conduite par Hervé Vimont. En septembre 1992, Dominique Hartmann, un ami d'Herv...