Il était une fois l’US B H V …. Par Aimé Calandri
Nous allons retrouver Aimé Calandri et Jean-Pierre Franssens pendant quelques temps qui vont nous faire revivre la grande aventure de l'US BHV.
Au jourd'hui c'est Aimé qui nous conte .... Presqu'un siècle s'est écoulé:
La création de l’union sportive remonte aux années Vingt….
A cette époque, les hommes oubliant les affres de la Grande Guerre ressentirent à nouveau le besoin d’activités physiques.
Les entreprises, et plus particulièrement les « grands magasins » organisèrent des manifestations sportives qui outre le bien être apporté à leur personnel, renforçaient l’esprit d’équipe sur le plan professionnel.
Au BHV différentes sections virent le jour avec l’athlétisme facile à pratiquer en tout lieu.
Conduits par P. Cotanze nos sociétaires se distinguèrent sur les tours de pistes ou le cross-country en réalisant de belles performances notamment dans le célèbre Cross du Figaro au Bois de Boulogne.
Mais notre entreprise ne possédait aucune installation (infrastructure ?) contrairement au Bon Marché propriétaire d’un stade à Wissous comprenant ; un terrain de football, une piste d’athlétisme, des courts de tennis, et un club house !
Chez nous la gymnastique se pratiquait dans les cours intérieures …
Le football attirait un grand nombre de participants, d’autant plus que venait de se créer « l’inter magasins sports » qui organisait un championnat ….
Mais alors pas question de « taper la balle » sur le parvis de l’hôtel de ville ! Il fallait un terrain ou à défaut des pelouses et les plus proches se trouvaient au Bois de Vincennes où il fallait délimiter l’espace de jeu et apporter les buts.
Mr Bouilly (que les anciens ont connu au jardinage) m’a raconté que les joueurs transportaient les poteaux sur leur dos ce qui leur tenait lieu « d’échauffement » à l’aller et de « décrassage » lors du retour
Une Epopée Héroïque vous dis-je !!!!
L’obtention de terrains et gymnases fut toujours une préoccupation majeure pour les dirigeants de l’U.S, d’autant plus que les activités se multiplièrent rapidement.
A l’orée des années cinquante, une mutation majeure apparu : la « pub » remplaça la « réclame » et de nouveaux supports virent le jour…
Quelques visionnaires, dont Gérard Boulot (alors président de l’U.S) conseillé par son ami Jacques Godet (patron de tour de France) supputèrent que le sport allait devenir vecteur de la publicité.
Mais les fédérations sportives s’opposaient à ce que les maillots affichent de la Pub.
Le duo précité contourna la difficulté : le nom de l’entreprise était prohibé mais pas celui du club corporatif…
B H V pouvait figurer bien en évidence en lettres blanches sur maillot vert !!!
Un des premiers à l’arborer fut un cycliste nommé Lucien Tartrat Il faisait vibrer les spectateurs lorsque dans un style particulier il « plongeait » du haut du virage pour « empocher la mise » !!!!
Cet homme habitait Alfortville et travaillait à l'entrepôt d'Ivry. Nous en gardons un bon souvenir.
Aimé Vainqueur en 1954
A suivre
Réservez votre dimanche 16 juin au Vésinet.
Une sortie sympa .... et le soleil sera de la partie.
Notre collègue François Clerget vous invite à participer à un rassemblement de voitures à l'ancienne. Vous allez passer un moment bien agréable en famille.
« Le 16 juin, j’organise au Vésinet un rassemblement de voitures anciennes qui permettra à chacun de monter dans la ou les autos de son choix pour un tour de 6 km. Tout le monde sera la bienvenue !
Plaisir, nostalgie, ceux qui le souhaitent pourront ainsi essayer les Ferrari 308GTB, Rolls Royce Corniche, Dino 208GT4, AC Cobra 427, Citroen DS Cabriolet, Lotus Seven, Jaguar Type E, Ford Mustang ou encore des populaires Citroen Traction 11B, Citroen Dyane, Renault 4cv, ou encore la Rover P5B coupé ex Margaret Tatcher ou une Healey 3000 avec capote Vuitton fabriquée spécialement pour une publicité, ou une rarissime Invicta 1928, ou bien une très vieille Clement de 1898, etc … , toutes ces voitures et bien d’autres seront présentes sur la Pelouse des Ibis.
Photos DSC0650 : Georges et Claude Pompidou dans la SM Présidentielle de passage au Vésinet
Il sera demandé une participation de 5 euros pour le tour, directement et entièrement reversés à une association caritative présente sur place.
Ce rassemblement aura lieu dans le cadre de la Fête de la Marguerite, fête traditionnelle au Vésinet, avec des animations (montgolfière, barques, stands « parcs et jardins », etc …). Il sera possible d’y déjeuner, soit en apportant son propre piquenique, des barbecues, tables et chaises seront à la disposition de tous, soit en achetant sur place sur les stands de traiteurs.
Si certains anciens du BHV sont propriétaires de voiture ancienne, ou si vous souhaitez d’avantage d’informations, n’hésitez pas à me contacter. »
Vous avez les coordonnées de François sur la liste des membres, mais vous pouvez toujours nous contacter, par le biais de ce blog.
Merci et à bientôt!
François
Du bonheur pour tous!
La tradition demeure : On offre un brin de muguet à la personne qu’on aime.
Belle fleur en clochettes : Elle vous apportera la santé, le bonheur et le plaisir de lire ce blog. Cette année, c'est notre ambassadeur Jean-claude Charmoy qui nous a découvert ce petit brin, à votre attention.
Bonjour Chers Amis
L'ensemble des Ambassadeurs du Rezo-Bazar, vous offre ce petit brin de muguet "Porte-Bonheur", malgré sa rareté, cette année.
Bonnes vacances scolaires, pour ceux qui accompagnent leurs enfants ou petits-enfants et bonne reprise aux autres.
A bientôt pour d'autres articles sur le blog.
Il parait qu’en Grèce, le muguet s’appelle aussi " Gazon du Parnasse" car créé par le Apollon, dieu du mont Parnasse, afin que les neuf muses puissent marcher sur le tapis sans heurter la délicatesse de leurs pieds. »…
Sympa!
Merci Jean-Claude!
2012 01 17 Cofinoga supprimerait des emplois...
Cofinoga s'apprête à supprimer des centaines d'emplois (presse)
Lu sur Cbanque, PARIS, 17 jan 2012 (AFP)
L'établissement de crédit à la consommation Cofinoga, filiale du groupe LaSer (Galeries Lafayette/BNP Paribas), s'apprête à supprimer "plusieurs centaines d'emplois" sur son site de Mérignac rapporte Les Echos dans son édition à paraître mercredi.
La société "souffre d'une baisse d'utilisation des crédits et d'une hausse des risques" (impayés), croit savoir le quotidien.
La Loi Lagarde, votée en 2010 mais dont les derniers textes d'application ont été publiés au printemps 2011, a profondément bouleversé le modèle même du crédit à la consommation en France.
Les établissements dont c'est la spécialité ont donc été contraints d'opérer une profonde mutation, toujours en cours.
Cofinoga est filiale de LaSer, lui-même contrôlé à parité par le groupe Galeries Lafayette et la banque BNP Paribas.
"Sans que cela soit forcément lié" aux suppressions de postes prévues, Les Echos indiquent également que deux des principaux adhérents du programme de fidélisation S'Miles, la SNCF et la banque Caisse d'Epargne, ont décidé d'en sortir.
Ce programme est commun à un groupe d'enseignes, dont Galeries Lafayette qui y associe Cofinoga, et permet de bénéficier d'avantage liés à des achats réalisés chez un des partenaires.
La SNCF et la Caisse d'Epargne étaient les seuls établissements membres de S'Miles à ne pas faire partie des groupes de distribution Galeries Lafayette ou Casino.
2011 02 Fondation d'Art GL dans des anciens locaux BHV
Lu dans les échos.fr
Les Galeries Lafayette devraient créer leur fondation d'art avant l'été
21/02/11 | 07:00 | Martine Robert
Martine ROBERT
Voilà un moment que l'on en parle, mais cette fois le projet se précise. La fondation des Galeries Lafayette, qui fera le lien entre création contemporaine, mode et design, devrait être créée avant l'été. Un espace de 2.500 mètres carrés devrait lui être attribué au sein d'un ancien bâtiment du BHV situé dans le Marais, lequel pourrait ouvrir en 2013 ou 2014. La fondation est portée par Guillaume Houzé, directeur du mécénat et directeur adjoint du marketing des Galeries Lafayette. Ce collectionneur n'est pas seulement l'héritier d'une saga entrepreneuriale, mais aussi celui d'une réelle passion familiale pour l'art. Son arrière-grand-père et ses grands-parents collectionnaient les œuvres impressionnistes ou les artistes de l'école de Paris.
Guillaume Houzé soutient déjà la scène artistique française, via ses expositions « Antidote », organisées dans la Galerie des Galeries, au 1 er étage du magasin du boulevard Haussmann à Paris. Là encore, ce n'est pas une première puisque les Galeries Lafayette avaient accueilli en 1946 le Salon de mai. L'entreprise, qui a octroyé son soutien aux expositions de Mathieu Mercier et Didier Marcel au musée d'Art moderne de la Ville de Paris et à l'aventure versaillaise de Xavier Veilhan, est le sponsor principal de la Fiac et partenaire du Centre Pompidou.
A chaque exposition « Antidote », Guillaume Houzé a acquis les œuvres présentées. La dernière édition a élargi les accrochages à la scène internationale. A la tête de 250 œuvres, ce jeune dirigeant de trente ans envisage la fondation des Galeries Lafayette comme un laboratoire et un lieu de production autant que d'exposition, ouvert sur des partenariats européens dans le domaine de l'art, de la mode et du design.
MARTINE ROBERT, Les Echos
2011 10 10 Qu'est devenu le BHV Rosny?
Lu dans la presse:
La Fnac double sa surface à Rosny 2
L’enseigne culturelle, présente depuis 2001, va emménager sur 4500 m2 à la place du BHV déco, aux cotés de Desigual, la marque de mode espagnole
Il va y avoir du changement au centre commercial Rosny 2.
Les anciens locaux du BHV déco, situé au niveau 1, ont enfin de nouveaux locataires, deux ans après le départ de l’enseigne. La Fnac va y ouvrir ses portes en avril 2012 tandis que la marque de vêtements Desigual accueillera ses clients à la fin de mois de novembre.
Deux autres boutiques sont encore à commercialiser dans le même espace.
« Ces aménagements ont pris du temps car Unibail Rodamco a dû acheter les murs aux Galeries Lafayette détaille-t-on à Rosny 2. Ensuite, la Fnac a pris le temps de mener des enquêtes pour adapter son offre à la clientèle. » Le mail central sera ainsi prolongé pour permettre l’accès à
l’ensemble de ces nouvelles offres.
source : Sébastien thomas | Publié le 04.10.2011. Le
parisien
2011 06 30 retraites complémentaires
Retraites complémentaires : plus de 350 millions d'euros de déficit en 2010
LEMONDE.FR avec AFP | 29.06.11 | 19h27
Les régimes de retraites complémentaires Agirc-Arrco des salariés du privé ont enregistré en 2010 un déficit global de plus de 350 millions d'euros, selon des résultats présentés mercredi 29 juin.
L'Arrco, régime de retraite complémentaire des salariés, a enregistré un résultat global excédentaire de 355 millions d'euros. Ce résultat global est obtenu après prise en compte d'un transfert financier vers l'Agirc (régime complémentaire des cadres) et des produits financiers du régime (plus de 1,5 milliard d'euros).
En ne tenant pas compte de ces transferts, le résultat de l'Arrco est déficitaire de 139 millions d'euros (contre un excédent de 900 millions d'euros en 2009). Cette dégradation est liée à une progression des dépenses du régime plus rapide que celle de ses ressources.
L'Agirc a de son côté enregistré un déficit global de 709 millions d'euros. Mais en ne tenant pas compte des transferts financiers en provenance de l'Arrco et des produits financiers du régime, le déficit enregistré par l'Agirc apparaît bien plus élevé, à 2,52 milliards d'euros en 2010 (contre 2,03 milliards en 2009).
Au total, le résultat global (après différents transferts) de l'ensemble Agirc-Arrco est donc déficitaire de plus de 350 millions d'euros en 2010.
Les partenaires sociaux, qui assurent conjointement la gestion de l'Agirc-Arrco, ont signé un accord en mars dernier pour tenter de limiter le creusement prévu de ces déficits dans les prochaines années.
Ce texte (que la CGT et la CFE-CGC ont refusé de signer) a notamment aligné les bornes d'âge des régimes complémentaires sur celles du régime de base après la réforme de novembre 2010 (reculs progressifs de l'âge légal de départ à 62 ans et de l'âge du taux plein à 67 ans à partir du 1er juillet 2011).
Il a aussi baissé le rendement du régime des cadres (ce que rapporte en termes de pension les sommes cotisées) et prévu que les rendements des deux régimes, en chute ces dernières années, seraient stabilisés jusqu'en 2015.
L'accord a aussi revu à la baisse les majorations de pension pour les familles nombreuses à l'Agirc et introduit un plafond de 1 000 euros par an pour ces majorations dans les deux régimes.
2011 06 30 Agirc Arrco
Agirc ARRCO
COMMUNIQUE DE PRESSE
Le 11 avril 2011
Retraite complémentaire Agirc et Arrco
Nouvelles valeurs des points de retraite Nouveaux salaires de référence
Conformément à l’accord du 18 mars 2011, les représentants des organisations syndicales et patronales réunis en Commissions paritaires le 11 avril 2011, ont décidé d’augmenter les valeurs des points de retraite Agirc et Arrco respectivement de 0,41 % (soit une moyenne annuelle de 0,49%) et de 2,11 % (soit une moyenne annuelle de 1,76 %) à effet du 1er avril 2011.
Elles sont portées :
- pour l’Agirc à 0,4233 €,
- pour l’Arrco à 1,2135 €.
Cette différence de revalorisation entre l’Agirc et l’Arrco est inscrite dans l’accord du 18 mars, qui prévoit un alignement des rendements* des deux régimes en 2012. Ceux-ci seront ensuite stabilisés jusqu’en 2015. Objectif : rééquilibrer la situation des deux régimes alors que le régime des cadres, au rendement un peu plus élevé, fait face à une situation financière plus difficile.
Les retraites versées trimestriellement au 1er juillet 2011 prendront en compte cette augmentation, ainsi que la régularisation due au titre de l’échéance versée début avril.
Concernant les salaires de référence ou prix d’achat du point, ils ont été augmentés de 2,2 % pour 2011, soit un montant :
- pour l’Agirc de 5,1354 €,
- pour l’Arrco de 14,7216 €.
*rendement brut effectif = valeur de service du point
salaire de référence x taux d’appel
CONTACT PRESSE
dc.presse@agirc-arrco.fr
2011 05 21 Système U a racheté Telemarket
Antoine BOUDET, Les Echos, le 18/05/2011
Système U, le troisième groupementde commerçants indépendants français, a annoncé, hier, l'acquisition de « la totalité des titres » de la société Telemarket, pionnier de la vente en ligne de produits alimentaires sur Internet. Le montant de l'opération, bouclée le 13 mai, n'est pas précisé pour le rachat du cybermarché dont le chiffre d'affaires hors taxes, réalisé principalement en Ile-de-France, a atteint 49 millions d'euros en 2010 généré grâce à plus de 300.000 commandes par an.
Bien connu des Parisiens, Telemarket est à l'origine du premier supermarché à domicile lancé dans la capitale en 1983, via le téléphone puis le Minitel. Contrôlé par les Galeries Lafayette de 1989 à 2005, Telemarket a ouvert son premier site Internet en 1998.
Cherchant depuis 2001 à sortir du capital de sa filiale commune avec Monoprix et Casino, le groupe Galeries Lafayette a cédé Telemarket en 2005 à Roland Coutas, fondateur et ancien dirigeant du site de voyages en ligne Travelprice.fr, et Olivier Le Gargean, directeur général de Telemark, et depuis 2002 soutenus par les fonds d'investissement gérés par AGF Private Equity et Cita Gestion.
Telemarket, qui n'aurait jamais été bénéficiaire, était approvisionné depuis 2009 par la centrale d'achats de Casino, qui avait remplacé alors celle de Monoprix. « Du fait de cette acquisition, Telemarket bénéficiera du savoir-faire de l'enseigne en matière d'offre commerciale, de prix et de communication », explique Système U dans un communiqué.
Pour le groupe d'indépendants, ce rachat réalisé au travers d'Expan U, une structure dédiée au financement des reprises et filiale à 100 % de la coopérative, « s'inscrit en cohérence avec la stratégie multi-canal du groupement et contribue à son ambition de représenter 12 % de part de marché de la distribution alimentaire en 2015 ». En 2010, Système U avait une part de marché de 9,1 %.
Telemarket, rebaptisé U-Telemarket, sera présidé par Serge Papin, président de Système U. Tout en se félicitant, par ailleurs, du succès des U-drive (ces points de retrait d'ores et déjà accolés à quelque 380 magasins et permettant de retirer les commandes passées par Internet), il estime que cette acquisition va accélérer le développement de l'e-commerce dans le groupe et aussi permettre à Système U « d'attaquer le marché parisien ».
2011 04 12 Articles sur les résultats GL-BHV 2010
3 Les Galeries Lafayette en pleine forme
Par Florentin Collomp
05/04/2011 | Le figaro
Sortis de la crise, les grands magasins renouent avec la croissance. Et notamment celui du boulevard Haussmann dont les recettes ont bondi de 24%.
Le groupe Galeries Lafayette affiche une croissance de 8 % en 2010, ses ventes TTC au détail atteignant 5,47 milliards d'euros (le chiffre d'affaires consolidé hors taxes, qui exclut les ventes des stands en concession, atteint 4,9 milliards d'euros). Le groupe a dégagé un résultat opérationnel courant de 354,8 millions d'euros (+8,3 %).
La palme de la performance revient au navire amiral parisien du boulevard Haussmann: le plus grand magasin du monde a vu ses recettes bondir de 24 % l'an passé, grâce à une fréquentation touristique en hausse. Les établissements de province ont enregistré une croissance de 5 %. Au total, l'enseigne réalise un chiffre d'affaires de 2,8 milliards d'euros (+12 %).
En difficulté depuis plusieurs années, le BHV (489,5 millions d'euros) inverse la tendance. La chaîne déco progresse de 2,9 %, le magasin historique de la rue de Rivoli de 3,1 %.
Monoprix, détenu à moitié par le groupe Galeries Lafayette (à parité avec Casino), a vu son activité progresser de 4,6 %, soutenu par une politique d'expansion, notamment Monop et Naturalia. A périmètre comparable, la croissance atteint 2,5 % grâce à la bonne santé du rayon alimentation. Enfin l'enseigne d'horlogerie Louis Pion a connu une croissance de 4,8 %.
«Au premier trimestre 2011, l'activité du groupe poursuit sa progression active», précise Philippe Houzé, président du directoire.
Par Christine Galimant
06/04/2011 - Fashion Daily News
Les magasins Galeries Lafayette ont surperformé l'an dernier avec une hausse de leurs ventes de près de 12 %. Toutes les enseignes du groupe ont enregistré une progression de leur activité, à l'exception de LaSer, le pôle crédit et services.
L'année 2010 a été placée sous le signe de la croissance pour le Groupe
Galeries Lafayette. Le résultat opérationnel courant s'est apprécié de 8,3 %, à 354,8 millions d'euros tandis que les ventes au détail TTC se sont accrues de 8 %, à 5,47 milliards, soit + 7 % en
comparable. L'activité des grands magasins Galeries Lafayette a été particulièrement soutenue puisqu'elle affiche une progression de 11,9 % portée par la performance « historique » du vaisseau
amiral du boulevard Haussmann (+ 24,1 %). Les ventes dans les magasins de province affichent pour leur part une augmentation de 5,1 %. Le BHV a également enregistré une hausse de ses ventes de
2,9 % (+ 3,1 % pour le magasin de la rue de Rivoli, à Paris). Les enseignes du pôle montres Louis Pion et Royal Quartz ont renoué avec la croissance l'an dernier grâce à une hausse de 23,8 % de
l'activité du luxe et des boutiques d'aéroports.
Quant à l'enseigne de magasins populaires Monoprix détenue à parité avec le groupe Casino, elle a vu ses ventes s'améliorer de 2,5 %. In fine, le chiffre d'affaires consolidé hors taxes du groupe
(qui n'inclut pas notamment les ventes réalisées par les stands en concession ou en commission à la vente) présidé par Philippe Houzé s'est établi à 4,92 milliards d'euros (+ 3,8 %) : 4,12
milliards (+ 5,2 %) pour le pôle distribution et 797,4 millions (- 2,7 %) pour les activités de crédit et services de LaSer (détenu à 50/50 par Groupe Galeries Lafayette et BNP Paribas).
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Challenges.fr 06 04 2011
Bond historique des ventes pour les Galeries Lafayette Haussmann
Le groupe Galeries Lafayette (Galeries Lafayette, BHV, Louis Pion, Monoprix, LaSer), non coté, a réalisé en 2010 un chiffre d'affaires hors taxes en hausse de 3,8% à 4,9 milliards d'euros.
Le groupe Galeries Lafayette (Galeries Lafayette, BHV, Louis Pion,
Monoprix, LaSer), non coté, a annoncé, mardi 5 avril, avoir réalisé en 2010 un chiffre d'affaires hors taxes en hausse de 3,8% à 4,9 milliards d'euros,.
Les activités de distribution ont progressé de 5,2% à 4,1 milliards d'euros, tandis que les activités de crédit et services de LaSer ont reculé de 2,7% à 797,4 millions d'euros.
Les ventes au détail TTC, qui intégrent les ventes réalisées par des stands en concession ou en commission à la vente, ont crû quant à elles de 8% à 5,47 milliards d'euros.
Pour la branche grands magasins (+10,2%), les ventes des Galeries Lafayette ont progressé de 12% à 2,86 milliards d'euros et celles du BHV ont engrangé une hausse de 0,7% à 489 millions
d'euros.
A noter, le bond "historique" de 24% des ventes du magasin des Galeries Lafayette Haussmann à Paris qui "profite d'une activité touristique très soutenue".
Les ventes du groupe de distribution Monoprix, détenu à parité avec Casino, ont progressé de 4,6% à 2 milliards d'euros.
Celles
de Louis Pion/Royal Quartz ont augmenté de 5,8% à 112,8 millions d'euros.
Le résultat opérationnel courant du groupe a atteint 354,8 millions d'euros, en hausse de 8,3%.
(Challenges.fr)