Lu pour vous dans la Presse Les échos et le Figaro du 27 janvier.
Je vous laisse le soin d'apprécier ces 2 articles parus ce jour concernant le BHV et la SGM.
Tout est dit pour rassurer...
Les échos 27 janvier 2025.
Article de Philippe Bertrand
Le rachat des murs du BHV reste à finaliser.
La société des grands magasins de Frédéric Merlin s’efforce toujours d’acquérir les murs du BHV, au cœur de Paris.
Les galeries Lafayette se sont résolues à accorder des souplesses à son acheteur.
Il y a « des choses qu’on dit et les choses qu’on fait », raconte le cinéaste, Emmanuel, Mouret. Mi-février 2023, les Galeries Lafayette annoncé la vente du BHV à la foncière, société des grands magasins, (SGM) du jeune Frédéric Merlin. Le lyonnais de 32 ans, signé une promesse d’achat pour le fonds de commerce de l’ancien, bazar de l’hôtel de ville et 80 000 m² de bâtiment au cœur de Paris : les murs du grand magasin, des boutiques et des appartements rue du temple, de la verrerie et des archives.
Deux ans plus tard, l’entrepreneur au col roulé et son associé dans l’affaire, l’ancien industriel, Lorrain Jean-Paul Dufour n’ont rien payé des 500 millions d’euros que prévoyait l’accord hormis le droit d’activité du BHV, qui valait peu en raison de ses pertes. Frédéric Merlin avait réussi à convaincre Natixis, dit-il, mais à des taux d’intérêt élevé, incompatibles avec le modèle économique d’un grand magasin.
« À l’époque, les taux d’intérêt remontaient, les liquidités s’asséchaient » explique un expert de l’immobilier. Un an auparavant lorsque la SGM avait racheté sans tracas sept Galeries Lafayette de province, le contexte financier était plus favorable. Les Galeries Lafayette se sont donc résolues à accorder un report de la promesse de vente et une facilité : la possibilité d’un rachat des immeubles. (Plus les murs du BHV du centre commercial, Parly 2, près de Versailles, dans les Yvelines.) par des investisseurs autres que la SGM. Le délai courait jusqu’en mars 2024 et a été de nouveau prorogé jusqu’à l’été 2025.
Relance commerciale.
La foncière 6e Sens, lyonnaise aussi et proche de la SGM, s’est substituée à Frédéric Merlin pour l’acquisition du bloc des rues de la Verrerie, du Temple, et des Archives. La ville de Paris a repris l’immeuble du numéro 42 de la rue de la verrerie. Restent l’immeuble du 13-15, rue de la Verrerie et des locaux du BHV Homme dont les rayons seront déménagés dans le bâtiment numéro un du BHV. La SGM n’en aura plus besoin et ne voit plus d’intérêt à son rachat.
Reste surtout l’immeuble principal. Frédéric Merlin annonce aux échos avoir bouclé un plan de financement. Il ne cite aucune banque mais plusieurs sources affirment que la Caisse des Dépôts regarde le sujet. Selon un proche du dossier pour que la transaction à environ 300 millions d’euros, soit effectuée fin juin, la Caisse devra donner son accord de principe en mars, ou en avril, afin que les autres banques suivent. Une fois cette étape franchie, si elle l’est, le patron de la SGM pourra se consacrer à la finalisation de la relance commerciale du BHV.
En septembre 2024, Mediapart relayait les plaintes de quelques fournisseurs et enseignes locataires du BHV. Les factures n’étaient pas payées et le reversement du chiffre d’affaires, des boutiques tardait. Les Galeries Lafayette s’inquiétaient pour le paiement du loyer d’un bâtiment qui lui appartient encore.
En situation de difficulté, le retard de paiement est un classique, cela soulage la trésorerie. Cela exerce aussi une pression sur des enseignes dont on souhaite le départ, confirme un connaisseur des grands magasins. Frédéric Merlin, met les retards sur le compte du débranchement de l’informatique de l’ancien exploitant et la nécessité de recréer un service comptable. Il assume aussi tirer les délais de paiement vers le maximum autorisé à savoir 45 jours.
Le patron de la SGM poursuit également la refonte de l’offre. La suppression du rayon enfant au cinquième étage a notamment été actée. L’espace du 7e étage a été libéré pour accueillir un grand espace de restauration.
L’entrepreneur n’a pas masqué le creux que les Jeux olympiques ont provoqué : effondrement du chiffre d’affaires de 10 % en juillet et de 20 % en août. Le BHV se situait pendant les compétitions au cœur de la zone rouge d’accès difficile. Les affaires ont repris en septembre. Le trafic a augmenté de 5 % à la fin de l’année 2024. Celle-ci s’est néanmoins achevé avec un recul des ventes de 8 %, à 260 millions d’euros, mais un résultat positif, quand il avait été négatif pendant 20 ans.
La SGM a de nouveau procédé à une recapitalisation du magasin. 20 millions d’euros ont été ajoutés à la première injection de 38 millions. Les impayés ont été purgé. La SGM peut se concentrer sur les murs du BHV. Une source indique qu’en cas de nouveaux problèmes plusieurs investisseurs institutionnels seraient prêts à reprendre le bâtiment en gardant le BHV comme locataire.
Nous construisons un modèle rentable fidèle à l’ADN du grand magasin.
Deux ans après votre rachat aux Galeries Lafayette, où en est le BHV ?
Nous avons atteint notre objectif en étant rentable dès cette première année, même si 2024 a été contrasté en termes d’activité. Au premier semestre, la météo a été plutôt défavorable. Pendant l’été, de mi-juin août, les ventes ont plongé de 25 %.
Notre clientèle, à 90 % parisienne, a déserté la ville lors des Jeux olympiques. Notre situation dans une zone difficile d’accès ne nous a pas permis de capter la des touristes. Et la refonte en cours de notre offre a aussi affecté nos ventes de manière transitoire. À cause de tout cela, nous avons terminé l’année avec un chiffre d’affaires de 260 millions d’euros, en baisse de 8 % même si notre trafic a augmenté de 5 % d’octobre à décembre.
Mais il faut bien comprendre que notre stratégie ne repose pas sur la croissance à tout prix. Nos ventes sont en légère baisse sur l’année, mais nous enregistrons un résultat positif et en hausse. En 2024, nous aurons dégagé 9,6 millions d’euros d’Ebida avant frais de siège, et de 5 millions après frais de siège. Il faut se souvenir que le BHV perdait 15 millions par an depuis une vingtaine d’années.
Mi 2024, une polémique est née autour du fait que le BHV ne payait plus certains fournisseurs, qu’en est-il aujourd’hui ?
Dans la réalité, en août, une dizaine de fournisseurs sur 2000 ont voulu alerter la presse au sujet des délais supplémentaires de paiement, et cette médiatisation a été alimenté par certaines organisation syndicale. Ces délais sont liés à l’autonomisation progressives du BHV vis-à-vis des Galeries Lafayette, qui nécessite de développer un nouveau service de facturation. Ces problèmes ont été largement réglé, même si notre système est encore perfectible. Nous avons dû recruter des comptables et nous n’en avons encore que 30 quand il nous en faut 50. Mais j’assume aussi le fait de renégocier certaines conditions commerciales, notamment quand les contrats prévoyez des délais de paiement de 10 jours alors que la plupart de nos concurrents, règle dans la limite légale des 45 jours, nous devons nous battre à armes égales.
Comment fait pour redresser la rentabilité de ce magasin ?
Nous avons procédé à un travail drastique de contrôle et de diminution des frais généraux. Et nous n’avons pas remplacé une partie des départs à la retraite et des CDD. Les effectifs ont ainsi diminué d’une centaine d’unités sur un total de 1100 sans plan social, mais dans le même temps, nous avons recapitaliser la société à hauteur de 20 millions d’euros qui s’ajoute aux 38 millions injectés lors de la reprise. Et nous avons alloués 9 millions d’euros aux travaux.
Quand s’achèvera la transformation et quelles en seront les grandes lignes.
Nous avons supprimé des rayons non rentables, comme le rayon enfant. Nous allons déménager l’Homme de la rue de la verrerie vers le bâtiment principal. Nous avons aussi arrêté la collaboration avec certaines marques et en avons intégré 200 autres. Nous allons faire du septième étage qui est vide aujourd’hui le plus bel espace de restauration de Paris, avec des restaurants abordables et une offre plus haut de gamme, dans la lignée de ce que nous propose aujourd’hui au sixième, avec les Tables Perchées d’un côté et la Table Cachée de Michel Roth de l’autre.
Pour le reste de l’offre, j’entends rester fidèle à l’ADN du BHV. Pas question de toucher au bricolage et à l’aménagement de la maison, qui représente presque la moitié de nos ventes. Nos bastions, ce sont la maison, la décoration, la mode, la culture et les loisirs. Je souhaite aussi ajouter des offres originales, plus saillantes et en phase avec la clientèle du Marais, sur le modèle d’un concept store. Nous voulons aussi être un acteur de la consommation du quotidien avec une offre alimentaire, un fleuriste… Tout cela nécessite d’importants investissements. Il nous faudra trois ans pour mener à bien cette transformation.
À l’origine, il était prévu que vous rachetiez les murs du BHV, ainsi que tout un ensemble immobilier dans les rues adjacentes. Selon nos informations vous n’avez encore rien acquis. Où en est cet aspect du dossier ?
Nous avons toujours eu le projet de reprendre les murs des bâtiments exploités par le BHV. le projet comporte plusieurs étapes. D’abord, la reprise du fonds de commerce, puis la partie immobilière. Nous avions obtenu début 2023 un financement mais les taux était alors très élevé et nous avons jugé qu’ils étaient incompatibles avec notre modèle économique.
Avec l’accord des Galeries Lafayette, nous avons donc négocié un nouveau délai. Et nous avons organisé l’acquisition de la partie résidentielle par une autre foncière, 6e Sens, un partenaire de longue date du groupe. Le nouveau délai court jusqu’à l’été 2025. Je peux dire que nous avons bouclé notre financement avec des partenaires solides.
Votre groupe ne se résume pas au BHV, comment se porte-t-il ?
En 2024, le groupe SGM a atteint son objectivité de rentabilité sur l’ensemble de ses activités. Nos 11 centres commerciaux, implantés dans le centre de villes de toutes tailles ont généré 27 millions d’euros de loyer. Nous y renouvelons notre offre, ce qui renforce l’attractivité des sites et le trafic. Nous avons ainsi ouvert 41 nouvelles boutiques en 2024, dont des locomotives comme Primark à Mulhouse. Nous en ouvrirons 45 en 2025, le tout a généré 600 millions d’euros de volume d’activité.
Nos 7 Magasins Galeries Lafayette franchisé sont également tous profitables, même si le chiffre d’affaires a légèrement fléchi, à 116 millions d’euros, contre 119 millions en 2023. Car, comme au BHV, nous y avons fait le choix d’un commerce rentable, renouvelé et tourné vers les nouvelles tendances. Nous y avons réalisé 30 millions de travaux et accueilli 50 nouvelles enseignes. Ce pôle dégage un Ebida de 14,5 millions d’euros. Au total, le groupe réalise 430 millions d’euros de chiffre d’affaires consolidé avec un EBITDA de 33,7 millions.
Le Figaro du 27 janvier 2025.
Le BHV renoue avec la rentabilité, selon la Société des grands magasins
Par Le Figaro avec AFP Elena Dijour / stock.adobe.com
Le magasin enregistre « un résultat positif, et en hausse » selon le président du groupe SGM Frédéric Merlin.
Le groupe a affirmé dans un communiqué lundi 27 janvier que « toutes les entités du groupe », y compris le célèbre Bazar de l’Hôtel de Ville parisien avaient été « rentables » l’an dernier.
La foncière Société des grands magasins (SGM) a affirmé dans un communiqué lundi 27 janvier que « toutes les entités du groupe », y compris le célèbre Bazar de l'Hôtel de Ville parisien sur lequel ont plané des inquiétudes en 2024, avaient été « rentables » l'an dernier. Le BHV a « enregistré en 2024 un Ebitda [bénéfice avant intérêts, impôts, dépréciation et amortissement, ndlr] avant frais de siège de 9,6 millions d'euros contre une perte de 15 millions d'euros en 2023 », indique la SGM dans un communiqué. L'Ebitda est un indicateur de rentabilité, mais la société n'a pas publié de résultats exhaustifs.
Dans un entretien aux Echos, le président du groupe SGM Frédéric Merlin précise que les ventes du BHV « sont en légère baisse sur l’année », mais il affirme que le magasin enregistre « un résultat positif, et en hausse ». Il y détaille que le BHV a dégagé un Ebitda « après frais de siège » de 5 millions d'euros. Au global, le groupe revendique un chiffre d'affaires qui « avoisine les 430 millions d'euros et permet d'atteindre un Ebitda avant contribution au siège estimé à 33,7 millions d'euros, conforme à nos prévisions ».
Des retards de facturation « réglés » selon la direction
L'entreprise ne donne pas plus de précision mais son dirigeant assure que « toutes les entités du groupe sont rentables », grâce précise-t-il dans le communiqué à «une gestion optimisée des frais, à la recherche permanente des meilleures organisations» ou encore «à un travail de fond sur la transformation des sites». Les représentants du personnel avaient alerté durant l'année 2024 quant à la santé du BHV, arguant notamment que certains fournisseurs rencontraient des difficultés à se faire payer depuis le changement de propriétaire. Le précédent propriétaire, le groupe des Galeries Lafayette, avait multiplié les refontes pour relancer un magasin qui connaît des difficultés depuis plusieurs années, mais avait fini par le céder fin 2023 à la foncière lyonnaise SGM.
« Une dizaine de fournisseurs sur 2.000 ont voulu alerter la presse au sujet de délais supplémentaires de paiement, et cette médiatisation a été alimentée par certaines organisations syndicales », a réagi Frédéric Merlin lundi dans Les Echos, évoquant un problème de logiciel de facturation. « Ces problèmes ont été largement réglés même si notre système est encore perfectible », a-t-il ajouté. Il précise par ailleurs que les effectifs du BHV « ont diminué d'une centaine d'unités sur un total de 1.100, sans plan social». Il était auparavant question d'environ 1.300 salariés, chiffre ne comptant pas les nombreux démonstrateurs employés par les marques présentes en magasins.
Le BHV en détresse : Une situation inquiétante!
Le BHV en détresse : Une situation inquiétante à l'approche de son 170e Anniversaire !
Le BHV, qui fêtera en 2026 ses 170 ans d'existence, traverse une période difficile.
Les perspectives sont loin d'être joyeuses. Le « Bateau Amiral », surnom du BHV Rivoli, semble être en train de sombrer, et les inquiétudes grandissent parmi les équipes.
Une situation qui dérive : Un manque de visibilité et de leadership
Après l'événement festif de Noël au BHV, nombreux étaient ceux qui espéraient une évolution positive. Mais, en ce début d'année, la situation est marquée par un sentiment de désillusion parmi les managers de vente.
Mais, où sont passés certains cadres supérieurs ?
En effet, trois membres du comité de direction (CODIR) ont été suspendus en « mise à pied conservatoire » : la directrice commerciale, la directrice des achats, et la directrice logistique/facturation.
Des problèmes techniques qui aggravent la situation
Outre la crise de direction, des dysfonctionnements techniques viennent s’ajouter au chaos.
En effet, 2 des 3 ascenseurs du magasin sont en panne. Le contrat de maintenance avec la société Koné a été résilié, et une nouvelle entreprise a été engagée, mais les réparations tardent.
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De plus, 4 des 6 monte-charges sont hors service,
(Pour ceux qui connaissent le magasin :
le 4 et le 9 dans le magasin et
les 16 et 17 du BHV Homme)
et un escalator situé entre le 2e et le 3e étage
ne fonctionne plus.
Ces pannes, bien que techniques, ont un impact direct sur l'expérience client et sur la fluidité des opérations du magasin, alimentant encore un peu plus le climat d’incertitude.
Suppression des rayons Enfant et Jouets : Une réorganisation Imminente
Face à cette situation, la Presse :( le parisien, Actu etc...) a récemment révélé que plusieurs rayons emblématiques du BHV, notamment ceux dédiés aux enfants et aux jouets, allaient être fermés
Cette réorganisation semble être une tentative de libérer de l’espace pour rapatrier les rayons du BHV Homme.
Les bâtiments du BHV Homme et ceux le jouxtant ont été vendus par les Galeries Lafayette à une société immobilière lyonnaise, "6e Sens", dirigée par Nicolas Gagneux. Ce promoteur, connu pour acheter des immeubles afin de les revendre par morceaux, a désormais la main sur ces espaces, soulignant encore l'orientation immobilière du groupe plutôt que commerciale.
Approvisionnement : situation critique
Les rayons bien approvisionnés sont ceux, dont le stock demeure aux Galeries Lafayette, pour les autres rayons dont l’approvisionnement est en direct par les fournisseurs, de nombreuses ruptures subsistent.
La Situation Financière des Galeries Lafayette et de SGM ; leurs conséquences .
Les galeries Lafayette ont besoin d’argent pour rénover Haussmann, on parle de fermer les 2 magasins de Marseille fin 2025. Les GL attendent d’être payé par Frédéric Merlin, pour la vente du BHV, mais jusqu'à quand ?
Le magasin de Dijon appartenant au groupe SGM depuis 3 ans semble se retrouver dans la même situation que le BHV. Les marques des différents Corners ne livrent plus, faute de paiement.
Que penseraient Xavier Ruel, Fondateur du BHV , René, Gérard, Jean-Pierre Boulot qui lui ont succédé en voyant cet exceptionnel Grand Magasin s'effondrer ?
Pour nous tous, qui avons vécu une partie de l’épopée BHV, c’est difficile à accepter !
Christine D.
additif pour ceux qui veulent en savoir plus : L'article Médiapart du 19 décembre 2024.
Le flou persiste sur l’avenir du BHV, malgré les promesses de son patron
Médiapart Mathias Tbêpot - 17 décembre 2024 à 10h25
Après des mois à payer par intermittence ses fournisseurs, le nouveau dirigeant de l'enseigne, Frédéric Merlin, assure à Mediapart qu'il est rentré dans les clous. Mais il lui reste racheter les murs du grand magasin parisien. Trouvera-t-il les fonds ?
En trompe-l'œil. Dès le 6 novembre, le Bazar de l'Hôtel de Ville {BHV), grand magasin emblématique du centre de Paris, inaugurait en grande pompe, rue de Rivoli, ses vitrines et illuminations pour les fêtes de fin d'année. Afin de marquer le coup, son nouveau patron, Frédéric Merlin, 33 ans, qui a repris l'affaire fin 2023, avait convié quelques noms connus du grand public tels que Léna Situations, Adriana Karembeu, ou Marc Lavoine, qui a chanté avec la maire de Paris, Anne Hidalgo.
Une ambiance bon enfant qui contrastait avec celle des derniers mois, éreintants pour les 1000 personnes qui travaillent aux BHV de la rue de Rivoli et de Parly 2. Comme nous le révélions le 12 août, à peine Frédéric Merlin avait-il repris le fonds de commerce aux Galeries Lafayette qu'il accumulait les retards de paiement envers les boutiques et les marques qui peuplent les allées des deux magasins.
Depuis, les doutes peinent à être levés sur sa capacité réelle, financière comme opérationnelle, à faire tourner le BHV et ses 250 millions d'euros de chiffre d'affaires. Les interrogations sont tout aussi nombreuses sur les solutions qu'il pourrait apporter pour remettre d'aplomb ce symbole du commerce parisien, qui accumule les pertes depuis des années, avec 15 millions d'euros de déficit annuel en 2023.
Les syndicats du magasin ont déposé un droit d'alerte économique au printemps, qu'ils ont prolongé ensuite. « Depuis le début, Frédéric Merlin nous ment », s'indignait alors un représentant des salariés, qui attend encore aujourd’hui des réponses claires. Les craintes se multiplient pour l'avenir du grand magasin, censé fêter ses 170 ans en 2026. La mairie de Paris suit le dossier de près : l'adjointe chargée des entreprises, Afaf Gabelotaud, a notamment rencontré l'intersyndicale.
Confronté à ces doutes, et aux nombreuses questions que Mediapart lui a adressées, le nouveau patron du BHV a décidé de s'expliquer longuement. Rendez-vous est donné dans les locaux de la rue de Rivoli. Adoptant une posture très courtoise, Frédéric Merlin admet d'abord un certain nombre d'erreurs dans sa relation avec les marques partenaires de son enseigne :« Qu'il y ait eu des loupés dans tous les sens avec les fournisseurs du BHV, c'est vrai je m’y suis mal pris sur la méthode et il y a a eu des relations difficiles », concède-t-il.
Processus comptable défaillant
Pour une part significative des boutiques installées dans les « corners » du BHV, c’est le magasin qui encaisse les achats des clients, puis rétrocède leur dû aux commerçants, après avoir prélevé une commission. Et durant les neuf premiers mois de 2024, Frédéric Merlin ne rétrocédait que par intermittence aux marques le fruit des ventes, ignorant leurs plaintes et relances répétées.
Il a ainsi laissé s'installer l'idée qu'il ne disposait pas des ressources financières suffisantes pour faire tourner la machine. Pour nombre de petites boutiques installées dans le grand magasin depuis plusieurs années, la situation économique est devenue Intenable et même « insupportable », selon un des patrons concernés. Certaines enseignes ont baissé le rideau en guise de protestation, et d'autres, plus petites, sont carrément parties, voire ont déposé le bilan :au total, une trentaine de fournisseurs » ont coupé les ponts avec le BHV depuis le rachat par Frédéric Merlin.
Ce dernier le promet, les retards de paiement n'auraient cependant rien à voir avec des difficultés financières personnelles ou de son groupe. « J’ai mis38 millions d'euros d'argent frais de mon groupe au capital du BHV, qui perdait 15 millions d'euros par an en 2023. Ce qui me permet potentiellement d'assumer jusqu’à 'à deux ans et demi de pertes. Après avoi mis autant d'argent, quel serait mon intérêt de retenir volontairement le paiement des fournisseurs ?», interroge-t-il.
« Je suis libre de la gestion contractuelle avec mes fournisseurs. Libre ensuite à [eux] de l'accepter ou pas. » F Merlin
Comme il l’avait expliqué en aout, les dysfonctionnements seraient liés à un système de double facturation hérité du temps des Galeries Lafayette. Concrètement, une partie des factures des fournisseurs sont envoyées au siège du BHV, et une autre partie au siège des Galeries Lafayette. Un processus comptable que les nouvelles équipes dirigeantes n'auraient pas réussi à bien appréhender, laissant ainsi les retards de paiement s'accumuler au-delà des quarante-cinq jours maximum prévus par la loi.
Frédéric Merlin jure avoir tout fait pour remédier à cette situation, notamment en investissant « 12 millions d'euros dans un progiciel de gestion afin de gagner en autonomie » vis-à-vis des Galeries Lafayette. Surtout, martèle-t-il, les retards de paiement à n'en plus finir, c’est terminé.
« Il n’a plus de facture payée au-delà de quarante-cinq jours », affirme-t-il. Selon nos informations, il est vrai que les relations commerciales avec ses fournisseurs se sont apaisées à l'automne. « Il a fini par nous régler en octobre », confirme la gérante d'une enseigne, qui reste toutefois sur ses gardes.
Cela dit, il n’est pas question pour Frédéric Merlin de revenir aux pratiques vertueuses des Galeries Lafayette, qui payaient sous dix jours les marques du BHV : « Je suis libre de la gestion contractuelle avec mes fournisseurs : si mes concurrents, par exemple le Printemps, paient à quarante-cinq jours, j'ai le droit de définir une nouvelle règle pour m’adapter. Libre ensuite à mes fournisseurs de l’accepter ou pas ».
Les Yeux plus gros que le ventre ?
Tout aussi préoccupant pour l’avenir du grand magasin, les relations entre Frédéric Merlin et le groupe des Galeries Lafayette se seraient dégradées au fil du temps selon la lettre. Fâcheux alors que les GL sont toujours propriétaires des murs et le soutiennent financièrement pour faciliter la continuité de son activité.
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Origine trouble des fonds
Mais où Frédéric Merlin trouve-t-il l’argent pour grandir autant ? A ce stade, on sait qu’il a à ses côtés un partenaire financier décisif, Jean-Paul Dufour, un ami de sa famille qui résiderait fiscalement en Belgique. Ce dernier est notamment majoritaire au Capital du BHV, même si c’est Frédéric Merlin qui en a le contrôle au sens juridique du terme. Mais au-delà, l’origine de fonds de celui qui dit avoir monté son groupe à partir d’un prêt étudiant reste trouble
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Le ton devient plus sec lorsqu'il s'agit d'évoquer les critiques sur sa gestion financière cavalière. « Le ratio dette sur actif de mon groupe est d’à peine plus de 40 %, c'est-à-dire un niveau conforme au standard d'une entreprise saine financièrement », justifie-t-il, sans donner d'élément qui permettrait de vérifier ses dires.
Sur le profil d'endettement de son groupe, il assure même « gérer son entreprise en bon père de famille ». Il ne trouve cependant pas d'explication convaincante pour justifier qu'en 2022, il a souscrit pour plus de 20 millions d'euros d'emprunts obligataires pour le compte de la SGM, au taux d'intérêt prohibitif de 10 %, comme l'indiquent les comptes officiels du groupe.
300 à 400 millions à trouver
En substance, Frédéric Merlin assure qu'il est sur le chemin de la réussite. Mais il lui reste toujours à franchir la marche la plus haute : parvenir à réunir les fonds restants pour reprendre les murs du magasin de la rue de Rivoli, soit entre 300 et 400 millions d'euros. À Mediapart, il dit d'abord avoir réussi à repousser de six mois la date butoir du rachat, initialement convenue avec les Galeries Lafayette pour le 31décembre.
Officiellement. Aucune inquiétude. « Le tour de table est bouclé », nous a-t-il lancé d'emblée. Comprendre : le patron estime qu'avec le concours de son associé Jean-Paul Dufour, l'apport en capital serait déjà suffisant pour que l'opération se fasse. Impossible de vérifier ses dires.
Et reste toujours à trouver les prêts nécessaires pour boucler le montage. Il n'a pour l'instant réussi à convaincre que la banque Natixis. Frédéric Merlin ne serait pas opposé à accueillir au capital un autre investisseur institutionnel, pour donner de la crédibilité au projet. Mais les fonds privés ne se bousculent pas au portillon pour investir dans le modèle du grand magasin.
Alors, Frédéric Merlin s'est tourné vers des banques publiques. La Lettre a dévoilé que la Caisse des dépôts et consignations (CDC) et Bpifrance avaient été approchées. Bpifrance a indiqué à Mediapart avoir décliné la proposition. Côté CDC, « on regarde le dossier, mais aucune décision n'est prise à ce stade », déclare-t-on, précisant que l'institution pourrait « privilégier un financement sous forme de prêt à un investissement au capital ».
Mais pourquoi une banque publique irait-t-elle sauver un entrepreneur aux reins peut-être pas suffisamment solides pour assumer sa folie des grandeurs ? « Le BHV est un actif emblématique pour la mairie de Paris, qui souhaite que le magasin reste sous pavillon français, décrypte une source interne à la CDC. Le bâtiment de la rue de Rivoli est très bien placé [en face de l'hôtel de ville)] et risque d'attirer des fonds étrangers qui ne seraient intéressés que par l’immobilier. C'est donc presque un sujet de souveraineté. »
Contactée, la mairie de Paris réfute être « à l'origine » de la demande à la Caisse des dépôts de sauver le BHV. Un peu agacé par le fait que l'on puisse penser que le dossier prenne une tournure politique, et donc qu'il ne soit plus seul maître à bord, Frédéric Merlin tient à l’affirmer : «je ne suis pas un pantin. »
Nous attendrons donc de voir comment réagira la famille Houzé qui s’impatiente lorsque nous arriverons au mois de mars.
Découverte de la maison PICASSIETTE par Emmanuel Collin
C'est avec plaisir que nous accueillons comme premier article de l'année ce reportage bien sympathique et très interessant de notre collègue Emmanuel Collin. Nous le remercions vivement.
Nous comptons sur vous pour nous envoyer d'autres reportages !
Au détour de la vélo route menant de Paris au mont st Michel nous avons découvert en passant à Chartres la maison Picassiette. Si d'aventure vous passez par-là, ne la manquez pas !
Raymond Isidore, né en 1900 dans une famille modeste et sans instruction, a créé une œuvre unique, née d'une passion inattendue. Sans but précis au départ, il a commencé à ramasser des morceaux de faïence pour décorer sa maison. Peu à peu, cette collection de débris a envahi chaque recoin : murs intérieurs et extérieurs, jardin, meubles et même des objets du quotidien !
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Son surnom, bien qu'il soit peut-être donné sur le ton de l'ironie, marque pourtant le début de la reconnaissance.
Modeste jusqu'au bout, Monsieur Isidore a vu, à la fin de sa vie, des artistes célèbres venir admirer son travail.
Aujourd’hui, sa maison est classée et abrite un musée, un témoignage vivant de sa créativité débordante.
Un grand merci à Mme Isidore pour sa patience et son soutien sans faille, car sans elle, rien de tout cela n'aurait été possible ! Cette œuvre, pleine de naïveté et d'inventivité, rappelle en quelque sorte le palais du facteur Cheval, un autre exemple de beauté née de l’âme d'un homme.
Peut-être avez-vous près de chez vous d'autres réalisations originales ? Ouvrez l'œil !
Inscrite au patrimoine du XXe siècle, cette œuvre unique se trouve à la frontière entre l’architecture naïve et l’art brut. Plus qu’un lieu de beauté, cette maison nous invite à découvrir l'univers intime d’un homme simple, puisqu’il fut cantonnier pour la ville de Chartres, guidé par une passion intense et une spiritualité profonde.
Emmanuel Collin
23 Tour de France Noël 2024 : Occitanie
Pierre Mouchon vient vous présenter ses meilleurs voeux pour 2025 : santé, courage et paix.
C'est de Sète qu'il nous envoie les jolies photos qu'il a réalisées pour nous.
C'est Monique Fabarez qui vient vous souhaiter une bonne et heureuse année.
Monique habite un petit village Laroque des Alberes, près d'Argeles et de Collioures.
Ce village pittoresque est animé par des associations bien dynamiques.
On restaure le moulin...la chapelle et on prépare les décors de Noël, tout à la main avec les moyens locaux.
C'est fantastique, je vous laisse découvrir! Bravo Monique à toi et ton équipe !
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Monique Barré Zago est heureuse de vous souhaiter une bonne année ! de la joie... de la bonne humeur...de la santé ...avec les photos qu'elle a réalisées à Perpignan et à Port Barcarès.
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Voici Port Barcarès.
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Joelle Foixet pense à nous et tiens à vous présenter
ses meilleurs voeux pour 2025 avec ses 2 photos de st Cyprien.
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Voici, le dernier reportage de la saison et je remercie tous les collègues qui ont participé à cette grande chaîne Tour de France des illuminations de la grande famille du réseau.
Encore bonne année 2025 à tous !
CD
22 Tour de France Noël 2024 : PACA
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Roger Vantomme vous souhaite
une heureuse année 2025
pleine de joies, de détente et de soleil.
Il nous invite à découvrir Sanary et
ses décorations de Noël.
C'est très joli.
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Gilles Paris vous souhaite une excellente année 2025. Que tous vos souhaits se réalisent.
Il nous a fait parvenir ses sympathiques photos de Saint Tropez.
France Lesclinquet-Cipriano est allé nous photographier Sanary également.
Elle vous souhaite une bonne année de soleil et de bonheur !
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21 Tour de France Noël 2024 : Rhône-Alpes
Dans cette région, nous retouvons, Thierry Trouvay, Pierre-jean Perbet et Martine Riou.
Nous voici donc à Lyon avec la fête des Lumières (photos d'un ami du BHV, Richard D) et
les bons voeux de bonheur, joies et santé de Thierry Trouvay .
Pierre-Jean Perbet vous présente ses voeux de paix et santé pour 2025 avec ses photos de Lyon
Et la surprise... C'est la participation de Martine Riou qui pourtant fort occupée, est allée, exprès pour nous...réaliser des photos à Villefranche sur Saône.
Martine est heureuse de vous présenter ses meilleurs voeux pour 2025.
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20 Tour de France Noël 2024 : Nouvelle Aquitaine 2/2
Christian Trouvay est allé faire un petit tour à Bordeaux...
Christian et Marie Noël vous présentent des voeux de joies et de santé pour 2025.
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J'ajoute quelques photos de Bordeaux en complément... et vous souhaite de joyeuses fêtes de fin d'année.
Christine
C'est à présent Jacqueline Pivost Apollonio qui se promène dans une autre région que la sienne qui vient apporter une touche colorée du pays basque.
Comme on dit là-bas : "Urte ona izan !" ou Bonne année !
Promenons nous à Anglet et Bayonne...
Voici Bayonne
19 Tour de France Noël 2024 : Nouvelle Aquitaine 1/2
Jean-Marie Ballion qui vit maintenant à Libourne vous envoie ses meilleurs voeux de santé et bonheur .
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Gérard Bellec souvent sur le basin d'Arcachon profite de ses photos pour nous envoyer des voeux de bonne et heureuse année 2025
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Bernard Michaud de passage à Arcachon
nous a photographié également cette jolie ville
dont voici le complément...
avec ses meilleurs voeux pour 2025 :
Santé et bonheur
Marie-Ange et Georges Bordais heureux dans leur région gourmande sont heureux de partager leurs photos de Sarlat. Ils vous présentent leurs meilleurs voeux pour 2025.
18 Tour de France Noël 2024 : Vendée et l'Yonne
On commencera par notre collègue Michel Mathieu qui vous présente ses meilleurs voeux pour 2025.
Avec ces belles photos d'Avallon (J'avoue avoir débordé un peu de la région, mais je n'ai pas fait d'article sur le centre.)
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Nous accueillons avec plaisir ce message d'Evelyne Petit :
"Voilà un an que nous avons quitté la région parisienne pour Montaigu en Vendée, jolie petite ville avec tous les commerces. Je me suis rapprochée de ma fille, petits enfants et arrière petite fille dont je profite pleinement. A tous je vous souhaite une année 2025 plus que sereine."
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